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Citationes

« Je sais que c’est par la parole beaucoup plus que par les écrits que l’on gagne les hommes : tous les grands mouvements de l’histoire doivent beaucoup plus aux orateurs qu’aux écrivains. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 15


« À Linz, il n’y avait qu’une petite minorité de Juifs. Au cours des années, ils s’étaient répandus dans toute l’Europe et ils ne différaient pas des autres hommes ; je les prenais même pour des Allemands. Je ne voyais pas le côté absurde de cette illusion, parce qu’il m’apparaissait que leur religion était la seule chose qui nous séparât. Persuadé qu’ils avaient été persécutés pour leur croyances, les propos dont on les accablait m’étaient des plus antipathiques, et parfois allaient jusqu’à l’horreur. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 50


« [...] un Juif n’est pas un Allemand [...]. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 57


« Ce fut l’époque où se fit en moi la révolution la plus profonde que j’aie jamais eu à mener à son terme.

Le cosmopolite sans énergie que j’avais été jusqu’alors devint un antisémite fanatique. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 59


« Si le Juif, à l’aide de sa profession de foi marxiste, remporte la victoire sur les peuples de ce monde, son diadème sera la couronne mortuaire de l’humanité. Alors notre planète recommencera à parcourir l’éther comme elle l’a fait il y a des millions d’année : il n’y aura plus d’hommes à sa surface. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 60


« En me défendant contre le Juif, je combats pour défendre l’œuvre du Seigneur. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 60


« Dans l’Europe occidentale actuelle, la démocratie est le précurseur du marxisme, que l’on ne pourrait concevoir sans elle. Elle est pour cette peste mondiale le terrain de culture, sur lequel peut se propager l’épidémie. Et elle trouve son expression dans le parlementarisme avorton chez qui toute étincelle divine a malheureusement cessé d’animer la boue dont il est fait. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 70


« Le critérium de l’homme d’État est-il de posséder au même degré l’art de convaincre et la finesse diplomatique nécessaire pour saisir les grands principes et prendre les grandes décisions ? »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 71


« Toute action de valeur n’est-elle pas ici-bas une offensive prise par le génie contre l’inertie de la masse ? »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 71


« Mais, en général, on doit se rappeler que le but suprême de l’existence des hommes n’est pas la conservation d’un État : c’est la conservation de leur race. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 82


« [...] les races moins dépourvues de scrupules et de plus haute civilisation doivent déjà réduire, par suite de leur territoire limité, leur accroissement à un moment où des peuples moins civilisés et plus brutaux de nature, se trouvent, grâce à de vastes territoires de peuplement, en mesure de se développer en nombre et sans souci de limitation.

En d’autres termes, le monde sera un jour aux mains d’une humanité de moins haute culture, mais plus énergique. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 111


« Beaucoup de nos maux actuels ne sont que la conséquence du rapport faussé entre les populations urbaine et rurale.

Une solide couche de petits et moyens paysans fut de tout temps la meilleurs protection contre les malaises sociaux qui sont aujourd’hui les nôtres. C’est aussi le seul moyen d’assurer à une nation son pain quotidien dans le cadre d’une économie fermée. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 113


« L’État juif ne fut jamais délimité dans l’espace ; répandu sans limites dans l’univers, il comprend cependant exclusivement les membres d’une même race. C’est pour cela que ce peuple a formé partout un État dans l’État. C’est l’un des tours de passe-passe les plus ingénieux au monde que d’avoir fait naviguer cet État sous l’étiquette de “religion”, et de lui assurer ainsi la tolérance que l’Aryen est toujours prêt à accorder à la croyance religieuse. En réalité, la religion de Moïse n’est rien d’autre que la doctrine de la conservation de la race juive. C’est pour cela qu’elle embrasse aussi presque tout le domaine des sciences sociales, politiques et économiques qui peuvent s’y rapporter. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 122-123


« Mais alors, à la vérité, se posait cette question : est-il possible, en somme, d’exterminer avec l’épée une conception de l’esprit ? Peut-on, par l’emploi de la force brutale, lutter contre des “idées philosophiques” ?

Je m’étais déjà posé à ce moment plus d’une fois cette question.

En réfléchissant à des cas analogues que l’on trouve dans l’histoire, particulièrement lorsqu’il s’agit de questions de religion, on aboutit à la notion fondamentale suivante : les conceptions et les idées philosophiques, de même que les mouvements motivés par des tendances spirituelle déterminées, qu’ils soient exacts ou faut, ne peuvent plus, à partir d’un certain moment, être brisés par la force matérielle qu’à une condition ; c’est que cette force matérielle soit au service d’une idée ou d’une conception philosophique nouvelle allumant un nouveau flambeau. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 139


« Car plus l’oeuvre d’un homme est grande pour la postérité, moins les contemporains peuvent la comprendre ; d’autant plus dure est la lutte et d’autant plus difficile le succès. Toutefois si, au cours des siècles, le succès favoris un tel homme, il recevra peut-être au cours de sa vie même quelques pâles rayons de sa gloire future. Il est vrai que ces grands hommes ne sont que les coureurs de Marathon de l’histoire : la couronne de lauriers des contemporains n’effleure plus les tempes du héros mourant. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 171


« [...] la lutte la plus difficile devrait être menée non contre les peuples ennemis, mais contre le capital international. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 172


« La lutte contre la finance internationale et le capital de prêt est devenue le point le plus important de la lutte de la nation allemande pour son indépendance et sa liberté économique. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 172


« Renoncer à gagner de nouveaux territoires et rêver, en compensation, d’une conquête économique mondiale, ceci devait conduire, en dernière analyse, à une industrialisation tout aussi démesurée que nuisible.

La première conséquence — et de la plus haute importance — de cette conception, fut l’affaiblissement de la condition des paysans. Dans la mesure même de ce recul, croissait de jour en jour le prolétariat des grandes villes jusqu’à ce que l’équilibre se trouvât enfin complètement rompu. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 188


« Le règne de l’argent fut malheureusement ratifié par l’autorité qui aurait dû le plus se dresser contre lui : Sa Majesté l’Empereur eut un geste malheureux quand il attira la noblesse, en particulier, sous la bannière de la finance. Certes, il faut lui tenir compte de ce que même Bismarck n’avait pas reconnu le danger menaçant sur ce point. Mais ainsi les vertus élevées le cédaient en fait à la valeur de l’argent, car il était clair qu’une fois engagée dans cette voie, la noblesse du sang devrait céder la place à la noblesse financière. Les opérations financières réussissent plus facilement que les batailles. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 189


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Ludwig Wittgenstein and Adolf Hitler in the same school in Linz, Austria
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