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Citationes

"The most foolish mistake we could possibly make would be to allow the subject races to possess arms. History shows that all conquerors who have allowed the subject races to carry arms have prepared their own downfall by so doing. Indeed, I would go so far as to say that the supply of arms to the underdogs is a sine qua non for the overthrow of any sovereignty."

  • Adolf Hitler, edict of March 18, 1938, H.R. Trevor-Roper, Hitler's Table Talks 1941-1944 (London: Widenfeld and Nicolson, 1953, p. 425-426), 1938(9?)-03-18
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Ludwig Wittgenstein and Adolf Hitler in the same school in Linz, Austria

"Next to this we must consider the American Union as one of the foremost among the colossal States, also Russia and China. These are enormous spaces, some of which are more than ten times greater in territorial extent than the present German REICH. France must also be ranked among these colossal States. Not only because she is adding to the strength of her army in a constantly increasing measure by recruiting coloured troops from the population of her gigantic empire, but also because France is racially becoming more and more negroid, so much so that now one can actually speak of the creation of an African State on European soil. The contemporary colonial policy of France cannot be compared with that of Germany in the past. If France develops along the lines it has taken in our day, and should that development continue for the next three hundred years, all traces of French blood will finally be submerged in the formation of a Euro-African Mulatto State. This would represent a formidable and compact colonial territory stretching from the Rhine to the Congo, inhabited by an inferior race which had developed through a slow and steady process of bastardization. That process distinguishes French colonial policy from the policy followed by the old Germany. The former German colonial policy was carried out by half-measures, as was almost everything they did at that time. They did not gain an expanse of territory for the settlement of German nationals nor did they attempt to reinforce the power of the REICH through the enlistment of black troops, which would have been a criminal undertaking."

  • Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), translation James Vincent Murphy
« Nous devons encore considérer en première ligne comme Etats géants les Etats-Unis, puis la Russie et la Chine. Il s’agit là de formations territoriales qui, pour partie, ont une surface plus de dix fois supérieure à celle de l’empire allemand actuel. La France même doit être comptée au nombre de ces Etats. Non seulement du fait qu’elle complète son armée, dans une proportion toujours croissante, grâce aux ressources des populations de couleur de son gigantesque empire, mais aussi du fait que son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un Etat africain sur le sol de l’Europe. La politique coloniale de la France d’aujourd’hui n’est pas à comparer avec celle de l’Allemagne de jadis. Si l’évolution de la France se prolongeait encore trois cents ans dans son style actuel, les derniers restes du sang franc disparaîtraient dans l’Etat mulâtre africano-européen qui est en train de se constituer : un immense territoire de peuplement autonome s’étendant du Rhin au Congo, rempli de la race inférieure qui se forme lentement sous l’influence d’un métissage prolongé. C’est là ce qui distingue la politique coloniale française de l’ancienne politique coloniale allemande. Cette dernière était toute en demi-mesures, comme tout ce que nous faisions. Elle n’a ni agrandi les territoires de peuplement de la race allemande, ni entrepris la tentative – encore que criminelle – de renforcer la puissance du Reich par un recours au sang noir. »
  • Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), traduction Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes

« Si seulement on avait placé devant les gaz ennemis 14 000 Hébreux intellectuels corrupteurs, l'Allemagne n'aurait pas perdu la guerre. »

« Je serai encore un prophète. Si la finance juive internationale en Europe et hors d'Europe devait parvenir encore une fois à précipiter les peuples dans une guerre mondiale, alors le résultat serait l'anéantissement de la race juive. »

« Il me serait difficile aujourd'hui, sinon impossible, de dire à quelle époque le nom de Juif éveilla pour la première fois en moi des idées particulières. Je ne me souviens pas d'avoir entendu prononcer ce mot dans la maison paternelle du vivant de mon père. Je crois que ce digne homme aurait considéré comme arriérés des gens qui auraient prononcé ce nom sur un certain ton. Il avait, au cours de sa vie, fini par incliner à un cosmopolitisme plus ou moins déclaré qui, non seulement avait pu s imposer à son esprit malgré ses convictions nationales très fermes, mais avait déteint sur moi.

A l'école, rien ne me conduisit à modifier les idées prises à la maison.

A la Realschule je fis bien la connaissance d'un jeune Juif avec lequel nous nous tenions tous sur nos gardes, mais simplement parce que différents incidents nous avaient amenés à n'avoir dans sa discrétion qu'une confiance très limitée. D'ailleurs, ni mes camarades, ni moi, nous ne tirâmes de ce fait des conclusions particulières.

Ce fut seulement quand j'eus quatorze ou quinze ans que je tombai fréquemment sur le mot de Juif, surtout quand on causait politique. Ces propos m'inspiraient une légère aversion et je ne pouvais m'empêcher d'éprouver le sentiment désagréable qu'éveillaient chez moi, lorsque j'en étais témoin, les querelles au sujet des confessions religieuses.

A cette époque, je ne voyais pas la question sous un autre aspect.

Il n'y avait que très peu de Juifs à Linz. Au cours des siècles ils s'étaient européanisés extérieurement et ils ressemblaient aux autres hommes ; je les tenais même pour des Allemands. Je n'apercevais pas l'absurdité de cette illusion, parce que leur religion étrangère me semblait la seule différence qui existât entre eux et nous. Persuadé qu'ils avaient été persécutés pour leurs croyances, les propos défavorables tenus sur leur compte m'inspiraient une antipathie qui, parfois, allait presque jusqu'à l'horreur.

Je ne soupçonnais pas encore qu'il pût y avoir des adversaires systématiques des Juifs. »

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