Différences entre les versions de « Discussion:Joseph de Maistre »

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«  L’Evangile, hors de l’Eglise, est un poison.  »
 
«  L’Evangile, hors de l’Eglise, est un poison.  »
 
« Si l'on avait un dictionnaire des langues sauvages, on y trouverait des restes évidents d'une langue antérieure parlée par un peuple éclairé, et quand même nous ne les trouverions pas, il en résulterait seulement que la dégradation est arrivée au point d'effacer ces derniers restes. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_De_Maistre Joseph de Maistre], ''Les soirées de Saint-Pétersbourg'' (1821), cité par [[Gustave Flaubert]], Brouillons de Bouvard, cité par Geneviève Bollème
 
  
 
« La foi est une croyance par amour, et l’amour n’argumente pas. »
 
« La foi est une croyance par amour, et l’amour n’argumente pas. »

Version du 21 mars 2024 à 15:04

«  L’Evangile, hors de l’Eglise, est un poison.  »

« La foi est une croyance par amour, et l’amour n’argumente pas. »

« [...] le sang innocent couvrant les échafauds, des hommes frisant et poudrant des têtes sanglantes, et la bouche même des femmes souillée de sang humain. »

« La révolution est debout sans doute, et non seulement elle est debout, mais elle marche, elle court, elle rue - rangez-vous Messieurs et Mesdames. La seule différence que j'aperçois entre cette époque et celle du grand Robespierre, c'est qu'alors les têtes tombaient et qu'aujourd'hui elle tournent. »

« Nul ne sait ce que c'est que la guerre s'il n'y a pas son fils. »

« Il est infiniment probable que la franc-maçonnerie de France a servi à la Révolution ; non point, à ce que je pense, comme franc-maçonnerie, mais comme association de clubs. Les quatre cinquièmes des gens qui les composaient étaient des révolutionnaires. Ils se trouvaient rassemblés. Leur Chef était à la tête de la Révolution; il est assez naturel qu'il se soit servi de cette association pour favoriser ses vues, et que les loges françaises se soient converties en clubs. »

  • Joseph de Maistre, Franc-maçonnerie Et Révolution française, 30 avril 1793, Journal


"Le Juif converti au Christianisme, boit le même sang qu'il a versé (sur le Calvaire). »

J. de Maistre (Eclaircissement sur les sacrifices)