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=== [[Colonization]] ===
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== Citations ==
  
« L'on peut parler de la réussite des nouveaux peuplements dans le cas des continents pratiquement vides. Cela explique les États-Unis d'Amérique, cela explique l'Australie. Des réussites, d'accord. Mais uniquement sur le plan matériel. Ce sont des constructions artificielles, des corps sans âge, dont on ignore s'ils ont dépassé l'état d'enfance ou s'ils sont touchés déjà par la sénilité. Dans les continents habités ; l'échec fut encore plus marqué. Là, les blancs ne se sont imposés que par la force, et leur action sur les habitants a été quasiment nulle. Les Hindous sont restés des Hindous, les Chinois des Chinois, les Musulmans des Musulmans. Pas de transformations profondes, sur le plan religieux moins que sur les autres et en dépit de l'effort gigantesque des missions chrétiennes. D'assez rares cas de conversions, et dont presque toujours l'on peut suspecter la sincérité, à moins qu'il ne s'agisse de simples d'esprit. '''Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples [colonisés], le pire qu’ils pussent leur apporter, les plaies du monde qui est le nôtre : le matérialisme, le fanatisme, l’alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes''' [...] Une seule réussite à l’actif des colonisateurs : ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela ! Qu'on me dise si la colonisation a fait augmenter le nombre des chrétiens par le monde ! Où sont les conversions en masse qui font le succès de l'Islam ? Je vois, çà et là, des îlots de chrétiens, de nom plus encore que de fait. Voilà tout le succès de cette magnifique religion chrétienne, détentrice de la suprême vérité ! »
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« '''Si l’on avait, au début et au cours de la guerre, tenu une seule fois douze ou quinze mille de ces Hébreux corrupteurs du peuple sous les gaz empoisonnés que des centaines de milliers de nos meilleurs travailleurs allemands de toute origine et de toutes professions ont dû endurer sur le front, le sacrifice de millions d’hommes n’eût pas été vain.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Testament politique d’Hitler'', notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 7 février 1945, p. 71-72
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=== [[Sin]] ===
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« [...] '''l’aspiration du peuple juif à la domination universelle, tendance aussi naturelle que celle qui pousse l’Anglo-Saxon à s’assurer le pouvoir sur cette terre.''' Et le Juif agit tout comme l’Anglo-Saxon, qui avance dans cette voie à sa manière et mène la lutte avec les armes qui lui sont familières. Le Juif aussi suit sa voie, cette voie qui le conduit à se faufiler dans les peuples et à les vider de leur substance ; et il combat avec ses armes, qui sont le mensonge et la calomnie [...]. »
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« De quoi vivrait l'Église, si ce n'est du péché de ses fidèles ? »
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« [...] ''ce ne sont plus les princes et les maîtresses des princes qui marchandent les frontières des États, mais c’est maintenant l’inexorable Juif cosmopolite qui combat pour la domination des autres peuples.'' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler]
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=== [[Revolution]] ===
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« L’importance de ce fait ne saurait être surestimée. Le peuple allemand, déchiré par l’excès d’individualisme, fruit de la diversité des races qu’il enferme, recouvra, grâce à la discipline de l’armée prussienne, une partie au moins des facultés d’organisation qui, depuis longtemps, lui étaient devenues étrangères.
  
« À toutes époques révolutionnaires, les événements ont été produits non par les mots écrits, mais par les mots parlés. »
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Encore dix générations d’Allemands sans le correctif d’une instruction militaire, abandonnées à l’influence défavorable de la diversité des races et, par suite, des conceptions philosophiques, et notre peuple aurait réellement perdu le dernier reste d’une existence indépendante sur cette planète. L’esprit allemand ne pourrait plus apporter son tribut à la civilisation que par des individus isolés au sein de nations étrangères, sans qu’on en reconnaisse seulement la provenance. Il ne serait plus qu’un engrais de civilisation, jusqu’à ce qu’enfin le dernier reste de sang aryen nordique dépérisse et s’éteigne en nous. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Mein Kampf''
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=== [[Tradition]] ===
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« Nous devons encore considérer en première ligne comme États géants les États-Unis, puis la Russie et la Chine. Il s’agit là de formations territoriales qui, pour partie, ont une surface plus de dix fois supérieure à celle de l’Empire allemand actuel. La France même doit être comptée au nombre de ces États. Non seulement du fait qu’elle complète son armée, dans une proportion toujours croissante, grâce aux ressources des populations de couleur de son gigantesque empire, mais aussi du fait que son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un État africain sur le sol de l’Europe. La politique coloniale de la France d’aujourd’hui n’est pas à comparer avec celle de l’Allemagne de jadis. '''Si l’évolution de la France se prolongeait encore trois cents ans dans son style actuel, les derniers restes du sang franc disparaîtraient dans l’État mulâtre africano-européen qui est en train de se constituer''' un immense territoire de peuplement autonome s’étendant du Rhin au Congo, rempli de la race inférieure qui se forme lentement sous l’influence d’un métissage prolongé. C’est là ce qui distingue la politique coloniale française de l’ancienne politique coloniale allemande.
  
"What we must fight for is to safeguard the existence and reproduction of our race and our people, the sustenance of our children and the purity of our blood, the freedom and independence of the fatherland, so that our people may mature for the fulfillment of the mission allotted it by the creator of the universe. Every thought and every idea, every doctrine and all knowledge, must serve this purpose. And everything must be examined from this point of view and used or rejected according to its utility."
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Cette dernière était toute en demi-mesures, comme tout ce que nous faisions. Elle n’a ni agrandi les territoires de peuplement de la race allemande, ni entrepris la tentative — encore criminelle — de renforcer la puissance du Reich par un recours au sang noir. »
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Hitler Adolf Hitler], ''Mein Kampf'', Volume 1, Chapter 8
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=== [[Communism]] ===
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« [...] la question la plus importante de notre politique extérieure, à savoir notre attitude à l’égard de la Russie [...]. »
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"We are socialist, we are enemies of today's capitalistic economic system for the exploitation of the economically weak, with its unfair salaries, with its unseemly evaluation of a human beings according to wealth and property instead of responsibility and performance, and we are all determined to destroy this system under all conditions."
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« '''Les Juifs sont les maîtres des puissances financières des États-Unis.''' [...]
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Hitler Adolf Hitler], Hitler's speech on May 1, 1927. Cited in Toland, J. (1976) Adolf Hitler Garden City, N.Y. : Doubleday Speech. May 1, 1927. p. 224
 
:« Nous sommes socialistes, et ennemis du système économique capitaliste actuel, qui exploite les économiquement faibles, avec ses salaires injustes, qui évalue un être humain selon sa richesse et ses biens et non selon la responsabilité et la performance, et nous sommes déterminés à détruire ce système à tout prix. »
 
:*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], discours du 1er mai 1927 à Berlin
 
  
=== [[Nationalism]] ===
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Avec une perfide habileté, ils pétrissent l’opinion publique et en font l’instrument de leur grandeur future.
  
« Il y a plus de choses qui nous lient au communisme que des choses qui nous en séparent dit-il un jour à Hermann Rauschning. Il y a par-dessus tout le sentiment révolutionnaire. J'en ai toujours tenu compte et j'ai donné des ordres pour que les anciens communistes soient admis au Parti aussitôt. Le social-démocrate et le syndicaliste petit-bourgeois ne seront jamais nationaux-socialistes, mais le communiste le sera toujours. »
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Les meilleurs cerveaux de la juiverie croient déjà voir approcher le moment où sera réalisé le mot d’ordre donné par l’Ancien Testament et suivant lequel Israël dévorera les autres peuples.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler]
 
  
« Le coup le plus dur qui ait frappé l’humanité, c’est l’avènement du christianisme. »
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S’il restait encore, au milieu du grand troupeau des pays dénationalisés et devenus colonies juives, un seul État indépendant, toute l’entreprise pourrait échouer à la dernière heure. Car un monde bolchévisé ne peut subsister que s’il embrasse toute le globe.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion
 
  
« Si le monde antique a été si pur, si léger, si serein, c’est parce qu’il a ignoré ces deux fléaux : la vérole et le christianisme. »
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S’il reste un seul État possédant encore son énergie et sa grandeur nationales, l’Empire mondial que veulent édifier les satrapes juifs sera vaincu, comme toute tyrannie ici-bas, par la force de l’idée nationale. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion
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« Le christianisme a retardé de mille ans l’épanouissement du monde germanique. »
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« C’est pour cette raison que la France est, et reste, l’ennemi que nous avons le plus à craindre. ''Ce peuple, qui tombe de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qu’il prête aux Juifs pour attendre leu but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe.'' Car la contamination provoquée par l’afflux de sang nègre sur le Rhin, au cœur de l’Europe, répond aussi bien à la soif de vengeance sadique et perverse de cet ennemi héréditaire de notre peuple qu’au froid calcul du Juif, qui y voit le moyen de commencer le métissage du continent européen en son centre et, en infectant la race blanche avec le sang d’une basse humanité, de poser les fondations de sa propre domination.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion
 
  
« Si le danger n’avait pas existé que le péril rouge submergeât l’Europe, je n’eusse pas contrecarré la révolution en Espagne. Le clergé eût été exterminé. »
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''Le rôle que la France, aiguillonnée par sa soif de vengeance et systématiquement guidée par les Juifs, joue aujourd’hui en Europe, est un péché contre l’existence de l’humanité blanche et déchaînera un jour contre ce peuple tous les esprits vengeurs d’une génération qui aura reconnu dans la pollution des races le péché héréditaire de l’humanité.'' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion
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« L’Église catholique n’a qu’un seul désir, c’est notre effondrement. »
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« [...] '''depuis trois cent ans, l’histoire de notre contient a été dominée par les visées politiques de l’Angleterre''' ; par l’équilibre des forces qu’elle obtenait, '''en opposant les unes aux autres les différentes puissances européennes''', elle assurait indirectement ses derrières et pouvait, en toute sûreté, atteindre les buts poursuivis par la politique mondiale de la diplomatie britannique. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion
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« La conclusion du concordat me paraît apporter la garantie suffisante que les citoyens du Reich de confession catholique se mettront dorénavant sans réserve au service du nouvel État national-socialiste. »
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« '''Plus une idée est riche et fertile en ferments révolutionnaires, plus ses propagateurs doivent être actifs, vu que la force subversive d’une telle doctrine risque d’en éloigner les petits-bourgeois lâches.''' Ils pourront, dans leur for intérieur, se sentir des partisans, mais refuseront de le reconnaître ouvertement. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], communiqué publié dans la presse allemande le 10 juillet 1933
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« La principale activité des curés consiste à saper la politique nationale-socialiste. »
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« [...] le Juif détruit ce qui constitue les bases de notre existence en tant que race et, ''par là, détruit notre peuple pour toujours.'' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion
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« Attendons la fin de la guerre, et un terme sera mis au Concordat. Je me réserve le plaisir de rappeler moi-même à l’Église les nombreux cas où elle l’a violé. Qu’on songe, par exemple, à la collusion de l’Église avec les meurtriers de Heydrich. Non seulement des prêtres leur ont permis de se cacher dans une église de la banlieue de Prague. Mais ils leur ont permis de se terrer dans le sanctuaire de cette église. »
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« Cette contamination pestilentielle de notre sang, que ne savent pas voir des centaines de milliers de nos concitoyens, est pratiquée aujourd’hui systématiquement par les Juifs. Systématiquement, ces parasites aux cheveux noirs, qui vivent aux dépens de notre peuple, souillent nos jeunes filles inexpérimentées et causent ainsi des ravages que rien en ce monde ne pourra plus compenser. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion
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« L'État est le contenant et la race est le contenu. »
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« ''Le manque de toute grande idée réformatrice a toujours impliqué une limitation de la force combative. La conviction d’avoir le droit d’employer les armes les plus brutales est toujours liée à l’existence d’une loi fanatique en la nécessité de la victoire d’un nouvel ordre de choses révolutionnaire.'' [...] C’est aussi l’une des leçons éternelles de l’histoire qu’une idée philosophique appuyée par la terreur ne peut jamais être vaincue par des méthodes administratives abstraites, mais seulement par une nouvelle idée philosophique, se traduisant en action aussi audacieuses que décidées. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Mein Kampf''
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« Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d'une mort soudaine. »
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« La conscience du devoir, l’observation du devoir et l’obéissance ne sont pas des buts en soi, de même que l’État n’est pas un but en soi : ils doivent être seulement des moyens de rendre possible et d’assurer l’existence sur cette terre d’une communauté d’êtres vivants, unis par des affinités morales et physiques. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler]
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« Le Fuehrer est le Parti et le Parti est le Fuehrer. Juste comme je me sens moi-même une partie seulement du Parti, le Parti se sent lui-même seulement comme une partie de moi. »
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« '''Dans le ''rouge'', nous voyions l’idée sociale du mouvement ; dans le ''blanc'' l’idée nationaliste ; dans la croix gammée, la mission de la lutte pour le triomphe de l’aryen et aussi pour le triomphe de l’idée du travail productif, idée qui fut et restera éternellement antisémite.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], congrès Nazi, 1935
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« Nous n’avons rien à perdre et tout à gagner. Etant données les contraintes qui pèsent sur nous, notre situation économique ne nous permet pas de tenir plus de quelques années. Göring peut le confirmer. Nous n’avons pas d’autre choix. »
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« Car une doctrine n’est pas tolérante ; elle ne peut être “un parti parmi les autres” ; elle exige impérieusement la reconnaissance exclusive et totale de ses conceptions, qui doivent transformer toute la vie politique. Elle ne peut tolérer près d’elle aucun vestige de l’ancien régime.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], cité par Ian Kershaw, ''Qu’est-ce que le Nazisme ? Problèmes et perspectives d’interprétation'', Gallimard, 2008, p. 117
 
  
=== [[Islam]] ===
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C’est la même chose pour les religions.
  
"The only religion I respect is Islam. The only prophet I admire is the Prophet Muhammad."
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Le christianisme non plus n’a pas pu se contenter d’élever ses propres autels, il lui fallait procéder à la destruction des autels païens. Seule cette intolérance fanatique devait créer la foi apodictique ; elle en était une condition première absolue.
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], quoted by Ahmed Huber, Kevin Coogan, "The Mysterious Achmed Huber: Friend to Hitler, Allah … and Ibn Laden?", in: Hit List Vol. 3 (avril/mai 2002), p. 120-125
 
  
« L'allié italien nous a gênés presque partout. C'est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire [...] Seuls, nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Égypte et dans le Proche-Orient asservis par les Anglais. D'avoir notre sort lié à celui des Italiens, cela rendait une telle politique impossible. Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens nous paralysait, et elle créait un malaise chez nos amis de l'Islam, car ils voyaient en nous des complices, volontaires ou non, de leurs oppresseurs [...] Le souvenir des barbares représailles exercées contre les Senoussis y est toujours vivant. Et d'autre part la ridicule prétention du Duce d'être considéré comme le "Glaive de l'Islam" entretient encore le long ricanement qu'elle suscita avant la guerre. Ce titre qui convient à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'était fait donner par quelques pauvres bougres, qu'il avait payés ou terrorisés. Il y avait une grande politique à faire à l'égard de l'Islam. C'est raté - comme tant d'autres choses que nous avons ratées par fidélité à l'alliance italienne! Les Italiens, sur ce théâtre d'opérations, nous ont donc empêchés de jouer l'une de nos meilleures cartes: qui consistait à émanciper tous les protégés français et à soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique. »
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On peut objecter, à juste titre, que ces deux précédents historiques sont spécifiquement juifs — et même que ce genre d’intolérance et de fanatisme sont foncièrement juifs. Ceci peut être mille fois vrai et on peut aussi le déplorer profondément ; on peut constater, avec une inquiétude qui n’est que trop justifiée, que l’apparition de cette doctrine dans l’histoire de l’humanité y introduisait quelque chose que l’on ne connaissait pas encore ; mais cela ne sert de rien et il s’agit maintenant d’un état de fait. Les hommes qui veulent sortir notre peuple allemand de sa situation actuelle, n’ont pas à se casser la tête pour imaginer combien ce serait beau si telle ou telle chose n’existait pas ; ils doivent recherche et déterminer comment on peut supprimer ce qui en fait est donné. Mais une doctrine pleine de la plus infernale intolérance ne sera brisée que par la doctrine qui lui opposera le même esprit, qui luttera avec la même âpre volonté et qui, par surcroît, portera en elle-même une pensée nouvelle pure et absolument conforme à la vérité. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Testament politique d'Hitler'', Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 17 février 1945, p. 100
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« L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées. »
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« [...] notre première tâche n’est pas de créer une forme d’État ''völkisch'', mais de détruire l’État juif actuel. Comme l’histoire le montre bien souvent, la principale difficulté n’est pas d’instituer un nouvel état de choses, mais bien de lui faire la place libre. Préjugés et intérêts s’entremêlent en une phalange serrée et tentent d’empêcher, par tous les moyens, la victoire d’une idée qui leur est désagréable ou leur paraît menaçante. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 1er août 1942, p. 227
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« Les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l'esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive. »
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« L’évolution que nous sommes en train de subir, si elle n’était enrayée, nous mettrait un jour devant la prophétie panjuive : “Le Juif dévorera effectivement les peuples de la terre et deviendra leur seigneur.»
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Testament politique d'Hitler'', Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180
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« La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en réalité un héritage des Arabes. »
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« Car les plus grandes inventions, les plus grandes découvertes, les travaux qui ont le plus profondément révolutionné la science, les monuments les plus splendides de la civilisation humaine ne sont pas des cadeaux qu’aurait faits au monde la poursuite de gains matériels. Tout au contraire, s’il ont vu le jour, ce fut souvent parce que leurs auteurs avaient renoncé au bonheur matériel que procure la richesse.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, 28 août 1942, p. 297
 
  
« Je conçois que l'on puisse s'enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais le fade paradis des chrétiens ! »
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Il se peut qu’aujourd’hui l’or soit le dominateur exclusif de la vie ; pourtant il viendra un jour où l’homme rendra hommage à des dieux plus nobles. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141
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« Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade!) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés. »
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« Mais il est fort à craindre que l’homme, une fois aveuglé, ne continue à abattre les barrières qui séparent les races, jusqu’à ce que soit définitivement perdu ce qu’il y avait de meilleur en lui. Il ne restera alors qu’une sorte de bouillie unitaire dont les fameux réformateurs que nous entendons aujourd’hui font leur idéal ; mais ce mélange informe signifierait la mort de tout idéal en ce monde. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297
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« Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n'avons nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante. »
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« [...] ''quand, au sein d’un peuple, s’unissent, pour poursuivre'' un ''seul but, un certain nombre d’hommes doués au plus haut degré d’énergie et de force active, et qu’ils sont ainsi définitivement dégagés de la paresse où s’engourdissent les masses, ces quelques hommes deviennent les maîtres de l’ensemble du peuple. '''L’histoire du monde est faite par les minorités''', chaque fois que les minorités de nombre incarnent la majorité de la volonté et de la décision.'' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Au cœur du troisième Reich'', Albert Speer, propos d'Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138
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« On doit garantir à tous les membres musulmans des Waffen-SS et de la police le droit indiscutable, prévu par leur religion, à ne pas manger de la viande de porc et à ne pas boire de boissons alcooliques. Il faudra leur garantir des menus équivalents. […] Je ne veux pas que, par la stupidité et l'étroitesse d'esprit de quelques individus isolés, un seul de ces héroïques volontaires eut à ressentir une gêne et à se croire privé des droits qui leur ont été assurés. […] J’ordonne que chaque infraction à ces dispositions soit punie sans la moindre hésitation et qu'on m'en rende compte. »
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« [...] '''dans un monde métissé et envahi par la descendance de nègres, toutes les conceptions humaines de beauté et de noblesse, de même que toutes les espérances en un avenir idéal de notre humanité, seraient perdues à jamais.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], 6 août 1943
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=== [[Environmentalism]] ===
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« [...] '''lorsque le sionisme cherche à faire croire au reste du monde que la conscience nationale des Juifs trouverait satisfaction dans la création d’un État palestinien, les Juifs dupent encore une fois les sots goyim de la façon la plus patente.''' Ils n’ont pas du tout l’intention d’édifier en Palestine un État juif pour aller s’y fixer ; ils ont simplement en vue d’y installer l’organisation centrale de leur entreprise charlatanesque d’internationalisme universel ; elle serait ainsi pourvue de droits de souveraineté et soustraite à l’intervention des autres États ; elle serait un lieu d’asile pour tous les gredins démasqués et une école supérieure pour les futurs bateleurs. »
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« Je crois que celui qui contemple l’univers avec des yeux grands ouverts est l’homme le plus naturellement pieux : pas dans le sens où l’entendent les religions, mais dans le sens d’un accord intime avec les choses. »
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« [...] '''le Talmud n’est pas un livre préparant à la vie dans l’au-delà ; il enseigne seulement à mener ici-bas une vie pratique et supportable.'''
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion, t. 1, p. 6
 
  
« Celui qui vit en communion avec la nature entre nécessairement en opposition avec les Églises. Et c’est pourquoi elles vont à leur perte ― car la science doit remporter la victoire. »
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La doctrine religieuse des Juifs est, en première ligne, une instruction tendant à maintenir la pureté du sang juif et un code réglant les rapports des Juifs entre eux, et surtout ceux qu’ils doivent observer avec le reste du monde, c’est-à-dire avec les non-juifs. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann'', Adolf Hitler, éd. Flammarion, t. 1, pp. 61-62
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"In the new Reich, no more animal cruelty will be allowed."
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« Comme le Juif n’a jamais connu de royaume avec des frontières déterminées et, par suite, n’a jamais eu de civilisation qui lui fût propre, on a cru avoir affaire à un peuple qui devait être classé parmi les nomades. C’est une erreur aussi profonde que dangereuse. Le nomade possède son territoire nettement délimité où il vit ; seulement il ne le cultive pas comme un agriculteur sédentaire, mais se nourrit du produit de ses troupeaux, avec lesquels il parcourt son domaine. La raison de ce mode d’existence est le peu de fertilité du sol qui n’autorise pas d’établissement fixe. Mais la cause réelle est la disproportion existant entre la civilisation technique d’une époque ou d’un peuple et la pauvreté naturelle d’une région. Il est des pays où l’Aryen est parvenu, grâce à sa technique, qu’il a perfectionnée au cours de plus de mille années, à fonder des établissement fixes et à se rendre maître d’un territoire très étendu d’où il a tiré tout ce qui est indispensable à la vie. À défaut de cette technique, il lui aurait fallu, ou abandonner ces contrées, ou y mener la vie misérable du nomade changeant continuellement de résidence, à supposer que la formation qu’il avait reçue depuis des milliers d’années et l’habitude qu’il avait de la vie sédentaire ne lui eussent pas rendu insupportable une telle existence. On doit se souvenir qu’au moment où le continent de l’Amérique s’ouvrît aux colons, de nombreux Aryens gagnèrent péniblement leur vie comme trappeurs, chasseurs, etc., errant souvent en bandes avec femmes et enfants, de sorte que leur vie ressemblait complètement à celle des nomades. Mais, aussitôt qu’ils devinrent plus nombreux et que des ressources plus importantes leur permirent de défricher le sol et de tenir tête aux indigènes, leurs établissements fixes se multiplièrent dans ce pays. »
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler]
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{{Réf Livre
:« Dans le nouveau Reich il ne devra plus y avoir de place pour la cruauté des bêtes. »
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|auteur=Adolf Hitler
:*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler]
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|titre=Mein Kampf
::„Im neuen Reich darf es keine Tierquälerei mehr geben.“
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|année d'origine=1925
::*[http://de.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler]
+
|traducteur=Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes
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|année=2016
 +
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|page=242-243}}
  
=== [[Art]] ===
+
« '''Ce que le Juif produit dans le domaine de l’art n’est que bousillage ou vol intellectuel.''' »
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|année d'origine=1925
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|éditeur=Kontre Kulture
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« La seule réalisation impérissable du travail et de l'énergie humain, c'est l'art. »
+
« Le peuple juif ne possède donc pas, malgré toutes les facultés intellectuelles dont il est doué en apparence, une vraie civilisation, notamment une civilisation qui lui soit propre. Ce que le Juif possède aujourd’hui de civilisation apparente n’est que le bien des autres peuples qui s’en en grande partie corrompu entre ses mains. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Ma doctrine''
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=== [[Israel]] ===
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« C’est pourquoi l’État Juif — qui doit être l’organisme vivant destiné à conserver et multiplier une race — est, au point de vue territorial, sans aucune limite. Car la délimitation du territoire d’un État suppose toujours une disposition d’esprit idéaliste chez la race qui le constitue et notamment une conception exacte de ce que signifie le travail. »
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« Si seulement on avait placé devant les gaz ennemis 14 000 Hébreux intellectuels corrupteurs, l'Allemagne n'aurait pas perdu la guerre. »
+
« Sitôt que l’égoïsme établit sa domination sur un peuple, les liens de l’ordre se relâchent et, en poursuivant leur propre bonheur, les hommes sont précipités du ciel dans l’enfer.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Mein Kampf''
 
  
« Je serai encore un prophète. Si la finance juive internationale en Europe et hors d'Europe devait parvenir encore une fois à précipiter les peuples dans une guerre mondiale, alors le résultat serait l'anéantissement de la race juive. »
+
La postérité oublie les hommes qui n’ont recherché que leurs propres intérêts et glorifie les héros qui ont renoncé à leur bonheur particulier. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], discours devant le Bundestag, 30 janvier 1939
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« Le marxisme est l'enfant du christianisme, tout ça c'est l'inventions des juifs. »
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« Le mélange des sangs et l’abaissement du niveau des races, qui en est la conséquence inéluctable, sont les seules causes de la mort des anciennes civilisations ; car ce ne sont pas les guerres perdues qui entraînent la ruine des peuples, mais la disparition de cette force de résistance qui est la propriété exclusive d’un sang pur. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], 1944
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=== [[Politics]] ===
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« '''L’Aryen est le Prométhée de l’humanité ; l’étincelle divine du génie a de tout temps jailli de son front lumineux''' ; il a toujours allumé à nouveau ce feu qui, sous la forme de la connaissance, éclairait l’obscurité, recouvrant les mystères obstinément muets et montrait ainsi à l’homme le chemin qu’il devait suivre pour devenir le maître des autres êtres vivants sur cette terre. Si on le faisait disparaître, une ombre profonde descendrait sur la terre ; en quelques siècles, la civilisation humaine s’évanouirait et le monde deviendrait un désert. »
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« Je suis prêt à parapher et à signer tout ce qu'on voudra. Je ferai toutes les concessions pour rester libre de poursuivre ma politique. Je garantirai toutes les frontières, je conclurai tous les pactes de non-agression et les pactes d'amitié que l'on me demandera. Il serait enfantin de ma part de ne pas me servir de ces moyens, sous prétexte qu'un jour peut-être je devrai violer mes engagements les plus solennels. Il n'y a pas de pacte solennel qui, tôt ou tard, n'ait été rompu ou ne soit devenu caduc. Il n'existe pas de contrats éternels. L'homme scrupuleux qui se croit obligé de consulter sa conscience avant de donner sa signature n'est qu'un nigaud : qu'il se tienne à l'écart de la politique. »
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« Tout ce que nous admirons aujourd’hui sur cette terre — science et art, technique et inventions — est le résultat de l’activité créatrice de peuples peu nombreux et peut-être, primitivement, d’une seule race. C’est d’eux que dépend la permanence de toute la civilisation. S’ils périssent, ce qui fait la beauté de cette terre ira avec eux dans la tombe. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], reporté par Hermann Rauschning dans ''Hitler m'a dit'', première édition, en langue allemande, publiée en Suisse en 1939, version française publiée dans la collection Pluriel, Le Livre de Poche, 1979 p. 168
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=== [[Journalism]] ===
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Le « '''principe juif de l’adoration aveugle du nombre''' [...]. »
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« Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues. »
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« La rêverie humanitaire est à la mode, et, en cédant mollement aux aberrations et en épargnant les individus, on sacrifie l’avenir de plusieurs millions d’êtres. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Mein Kampf''
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« Toute propagande efficace doit se limiter à des points fort peu nombreux et les faire valoir à coups de formules stéréotypées aussi longtemps qu'il le faudra, pour que le dernier des auditeurs soit à même de saisir l'idée. »
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« Au XIXe siècle, nos villes commencèrent à perdre de plus en plus le caractère de centres de civilisation, pour descendre au niveau de simples centres d’immigration. Le peu d’attachement que le prolétariat moderne de nos grandes villes éprouve pour la localité où il habite, résulte de ce qu’il ne s’agit plus ici vraiment que du point de stationnement occasionnel de chacun, et rien de plus. Ceci tient en partie aux changements de résidence fréquents, nécessités par les conditions sociales, qui ne laissent pas à l’homme le temps de s’attacher étroitement à sa ville, mais cela résulte aussi du manque de caractère au point de vue culturel général et de la sécheresse de nos ville d’aujourd’hui. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler Adolf Hitler], ''Mein Kampf''
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== Quotes about Adolf Hitler ==
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« Le règne de l’argent fut malheureusement ratifié par l’autorité qui aurait dû le plus se dresser contre lui : Sa Majesté l’Empereur eut un geste malheureux quand il attira la noblesse, en particulier, sous la bannière de la finance. Certes, il faut lui tenir compte de ce que même Bismarck n’avait pas reconnu le danger menaçant sur ce point. Mais ainsi les vertus élevées le cédaient en fait à la valeur de l’argent, car il était clair qu’une fois engagée dans cette voie, la noblesse du sang devrait céder la place à la noblesse financière. Les opérations financières réussissent plus facilement que les batailles. »
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« Tout Français doit lire ce livre. »
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« Renoncer à gagner de nouveaux territoires et rêver, en compensation, d’une conquête économique mondiale, ceci devait conduire, en dernière analyse, à une industrialisation tout aussi démesurée que nuisible.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Hubert_Lyautey Hubert Lyautey], à propos de ''Mein Kampf'' d'Adolf Hitler
 
  
« C'est très réellement le chef-d'œuvre du crétinisme excité... Cette lecture m'a affligé. »
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La première conséquence — et de la plus haute importance — de cette conception, fut l’affaiblissement de la condition des paysans. Dans la mesure même de ce recul, croissait de jour en jour le prolétariat des grandes villes jusqu’à ce que l’équilibre se trouvât enfin complètement rompu. »
*[[Robert Brasillach]], après avoir lu ''Mein Kampf'' en 1935, Philippe d'Hugues, « Brasillac et l'Allemagne », ''La Nouvelle Revue d'Histoire'', n° 50, septembre-octobre 2010, p. 45-48
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« On peut ne pas aimer le système de Hitler et admirer cependant l'oeuvre patriotique qu'il a accomplie. Si jamais notre peuple connaissait la défaite, j'éspère que nous trouverions un champion aussi indomptable que lui, pour nous rendre notre courage et nous conduire de nouveau à la place qui nous revient dans le concert des nations. »
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« '''La lutte contre la finance internationale et le capital de prêt est devenue le point le plus important de la lutte de la nation allemande pour son indépendance et sa liberté économique.''' »
*[[Winston Churchill]], cité par Emrys Hughes, ''Winston Churchill his career in War and Peace'', Glasgow , 1950, page 144
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« La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée. »
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« [...] '''la lutte la plus difficile devrait être menée non contre les peuples ennemis, mais contre le capital international.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Gustav_Jung Carl Gustav Jung], ''C. G. Jung parle : Rencontres et interviews'' (1936), Buchet-Chastel, 1985, p. 94
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« Durant les terribles bouleversements qui se déroulèrent en Europe, le caporal Hitler a mené son combat, long et difficile, pour conquérir le cœur des hommes. On ne peut lire qu’avec admiration l’histoire de ce combat pour le courage, la persévérance et la force vitale dont il a fait preuve, qui l’ont incité à surmonter toutes les résistances qui se sont opposées à lui. Par son ardeur et son amour de la patrie, il a prouvé, et avec lui les légions sans cesses grandissantes de ceux qui se sont joints à lui, que rien n’était impossible, que tout pouvait être tenté et qu’ils étaient prêts aussi bien à y laisser leur vie, leur santé et leur liberté qu’à perdre leurs ennemis. »
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« Car plus l’oeuvre d’un homme est grande pour la postérité, moins les contemporains peuvent la comprendre ; d’autant plus dure est la lutte et d’autant plus difficile le succès. Toutefois si, au cours des siècles, le succès favoris un tel homme, il recevra peut-être au cours de sa vie même quelques pâles rayons de sa gloire future. Il est vrai que ces grands hommes ne sont que les coureurs de Marathon de l’histoire : la couronne de lauriers des contemporains n’effleure plus les tempes du héros mourant. »
*[[Winston Churchill]], "The Truth about Hitler", ''Strand Magazine'', novembre 1935
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« Hitler, ce Mahomet du Tyrol. »
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« Mais alors, à la vérité, se posait cette question : '''est-il possible, en somme, d’exterminer avec l’épée une conception de l’esprit ? Peut-on, par l’emploi de la force brutale, lutter contre des “idées philosophiques” ?'''
*[[Maurice G. Dantec]], ''American Black Box'' (2006), éd. Albin Michel, coll. Livre de Poche, 2009, p. 374
 
  
« Hitler était un génie militaire inégalé. Le nazisme a fait passer l’Allemagne d’un bas niveau à un niveau physique et idéologique fantastique. Les jeunes loqueteux ont été transformés en une catégorie propre et ordonnée de la société et l’Allemagne a disposé d’un régime exemplaire, d’un système de justice adéquat et de l’ordre public. Hitler aimait la bonne musique. Il pouvait peindre. Les nazis n’étaient pas une bande de voyous. »
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Je m’étais déjà posé à ce moment plus d’une fois cette question.
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Moshe_Feiglin Moshe Feiglin], entretien au quotidien ''Haaretz'', 1995
 
  
« Nous ne savons pas si Hitler est sur le point de fonder un nouvel islam. Il est d'ores et déjà sur la voie ; il ressemble à Mahomet. L'émotion en Allemagne est islamique, guerrière et islamique. Ils sont tous ivres d’un dieu farouche. »
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En réfléchissant à des cas analogues que l’on trouve dans l’histoire, particulièrement lorsqu’il s’agit de questions de religion, on aboutit à la notion fondamentale suivante : '''les conceptions et les idées philosophiques, de même que les mouvements motivés par des tendances spirituelle déterminées, qu’ils soient exacts ou faux, ne peuvent plus, à partir d’un certain moment, être brisés par la force matérielle qu’à une condition ; c’est que cette force matérielle soit au service d’une idée ou d’une conception philosophique nouvelle allumant un nouveau flambeau.''' »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Carl_Gustav_Jung Carl Gustav Jung], ''La vie symbolique'' (1939), Albin Michel, 1989, p. 151
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« [Ce] livre qui, répandu en Allemagne à plus d'un million d'exemplaires, a eu sur l'orientation soudaine de tout un peuple une influence telle, qu'il faut, pour en trouver l'analogue, remonter au Coran. » Hitler ayant « obstinément refusé de laisser publier en français [... nous] avons pensé qu'il était de l'intérêt national de passer outre à ce refus, quelles que puissent être pour nous-mêmes et pour la jeune maison que nous avons fondée les conséquences de notre initiative. »
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« L’État juif ne fut jamais délimité dans l’espace ; répandu sans limites dans l’univers, il comprend cependant exclusivement les membres d’une même race. C’est pour cela que ce peuple a formé partout un État dans l’État. C’est l’un des tours de passe-passe les plus ingénieux au monde que d’avoir fait naviguer cet État sous l’étiquette de “religion”, et de lui assurer ainsi la tolérance que l’Aryen est toujours prêt à accorder à la croyance religieuse. En réalité, la religion de Moïse n’est rien d’autre que la doctrine de la conservation de la race juive. C’est pour cela qu’elle embrasse aussi presque tout le domaine des sciences sociales, politiques et économiques qui peuvent s’y rapporter. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Fernand_Sorlot Fernand Sorlot], premier éditeur français de ''Mein Kampf'' en 1934
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« Je n’ai pas traduit Mein Kampf sans but ni raison. [...] Le livre constitue le dogme du parti qui mène l’Allemagne actuelle, dogme d’une agissante majorité, dogme demain de l’Allemagne entière. Je dis bien dogme, et je pense au Coran. [...] Il faut se mettre sur un plan largement humain. L’ouvrage même autorise à le faire. Il s’agit d’un document ample, tiré à près d’un million d’exemplaires en Allemagne, traduit dans plusieurs pays. Il a été écrit par un Allemand pour les Allemands, mais il touche des problèmes politiques, sociaux, et de morale, qui se posent à tous les peuples. La traduction en est intégrale : on n’a pas le droit, sur quinze ou sur cent versets du Coran, de parler de l’islamisme, ni, sur dix pages de Mein Kampf de parler de l’hitlérisme ; et la lecture des passages secondaires sera aussi féconde que celle des passages réputés essentiels. »
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« [...] on ne saurait trop priser la possibilité de conserver une classe paysanne saine comme base de toute la nation. '''Beaucoup de nos maux actuels ne sont que la conséquence du rapport faussé entre les populations urbaine et rurale.'''
*'''André Calmettes''', premier traducteur en français de ''Mein Kampf'', Journal de l'École polytechnique, 25 février 1934
 
  
« La persécution systématique des Juifs a été une erreur d'Hitler, car elle est une mesure située hors du contrat fasciste. Il y a des sans-parti dans un régime fasciste, comme il y a des spectateurs sur le parcours d'un défilé. S'ils se tiennent tranquillles, pourquoi les ennuyer ? »
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Une solide couche de petits et moyens paysans fut de tout temps la meilleurs protection contre les malaises sociaux qui sont aujourd’hui les nôtres. C’est aussi le seul moyen d’assurer à une nation son pain quotidien dans le cadre d’une économie fermée. »
*[[Maurice Bardèche]], ''Qu'est-ce que le fascisme ?'', éd. Les Sept Couleur, 1962, Le Fascisme germanique, p. 44
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« Hitler était très sensible à l’islam, ça c’est vrai. Mais d’autre part il savait les possibilités immenses que représentait l’islam pour une Europe unie. [...] C'est un homme profondément religieux, quoiqu'on en pense. Et qui est resté tout le temps catholique. Il était anti-clérical, c'est autre chose, parce que le clergé politique, avant Hitler, avait été féroce contre le National-Socialisme. Et puis après avait été à plat ventre, comme ça c'est toujours passé : l'église a toujours été en retard puis se précipite aux pieds du vainqueur... Bon, et alors Hitler avait pris ces musulmans, avait ouvert ses rangs aux musulmans, parce que, tôt ou tard, l’Europe allait avoir besoin de cet immense monde musulman, et que c'était proche, et qu'il fallait avoir là des camarades. Et ce que Hitler voulait c’est former des divisions de jeunes SS, Waffen SS musulmans, qui après ça feraient dans leur pays la transformation nationale et socialiste ce qui ferait qu’on aurait lutté en camarades , au lieu d'être livrés comme maintenant à d'abominables disputes d'intérêt. Et c’est... à tel point que j’ai vu, au nouvel an 45, les 60.000 Waffen SS (musulmans) recevoir d’Hitler une petite chaînette en or avec un coran : chacun recevait un coran, comme souvenir. »
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« [...] les races moins dépourvues de scrupules et de plus haute civilisation doivent déjà réduire, par suite de leur territoire limité, leur accroissement à un moment où des peuples moins civilisés et plus brutaux de nature, se trouvent, grâce à de vastes territoires de peuplement, en mesure de se développer en nombre et sans souci de limitation.
*[[Léon Degrelle]], interview réalisée en 1978
 
  
« Le Troisième Reich est une menace pour la France : soyons forts, prenons nos précautions, armons-nous. Mais n’injurions pas. Tous ces messieurs de la gauche prolongent sur le plan extérieur leurs haines de partisans. »
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En d’autres termes, le monde sera un jour aux mains d’une humanité de moins haute culture, mais plus énergique. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Gaxotte Pierre Gaxotte], ''Je suis partout'', 18 mars 1933
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« Entre le bolchevisme et le hitlérisme, il y a beaucoup moins de différences qu'entre le bolchevisme et la monarchie anglaise. La révolution allemande s'est accomplie dans un pays qui était en avance de plusieurs siècles sur la Russie des tsars. L'expérience de socialisation s'accomplit à un niveau supérieur, sur un peuple depuis longtemps dressé à une exacte discipline et qui a le fonctionnarisme dans le sang. Ce n'en est pas moins de la socialisation. Hitler est aussi antibourgeois et aussi anticapitaliste que Staline. »
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« Mais, en général, on doit se rappeler que le but suprême de l’existence des hommes n’est pas la conservation d’un État : c’est la conservation de leur race. »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Gaxotte Pierre Gaxotte], ''La Nation Belge'', 29 mars 1939
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« Puisqu'il s'agit toujours de tenir l'Allemagne en respect, de la mettre en garde contre elle même et contre le renouvellement de sa folie, le mieux serait de l'inspirer une crainte salutaire par la supériorité évidente des forces. »
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« Toute action de valeur n’est-elle pas ici-bas une offensive prise par le génie contre l’inertie de la masse ? »
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Gaxotte Pierre Gaxotte], ''La Nation Belge'', 4 janvier 1937
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== Internat links ==
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« Le critérium de l’homme d’État est-il de posséder au même degré l’art de convaincre et la finesse diplomatique nécessaire pour saisir les grands principes et prendre les grandes décisions ? »
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*[[Nazi relations with the Arab world]]
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« Dans l’Europe occidentale actuelle, la démocratie est le précurseur du marxisme, que l’on ne pourrait concevoir sans elle. Elle est pour cette peste mondiale le terrain de culture, sur lequel peut se propager l’épidémie. Et elle trouve son expression dans le parlementarisme avorton chez qui toute étincelle divine a malheureusement cessé d’animer la boue dont il est fait. »
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== External links ==
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« '''''En me défendant contre le Juif, je combats pour défendre l’œuvre du Seigneur'''''. »
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*[http://www.viveleroy.fr/Libres-propos-d-un-fils-de-la,100 Libres propos d’un fils de la modernité : Adolf Hitler]
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« Si le Juif, à l’aide de sa profession de foi marxiste, remporte la victoire sur les peuples de ce monde, son diadème sera la couronne mortuaire de l’humanité. Alors notre planète recommencera à parcourir l’éther comme elle l’a fait il y a des millions d’année : il n’y aura plus d’hommes à sa surface. »
*[http://coranix.org/biblio/hitesta.htm Testament d'Adolf Hitler]
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== Works ==
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« Tandis que j’étudiais l’influence exercée par le peuple juif à travers de longues périodes de l’histoire, je me demandai soudain avec anxiété si le destin, dont les vues sont insondables, ne voulait pas, pour des raisons inconnues de nous autres pauvres hommes, en vertu d’une décision immuable, la victoire finale de ce petit peuple.
  
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Est-ce qu’à ce peuple, qui n’a toujours vécu que pour la terre, cette terre aurait été promise comme récompense ?
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Le droit que nous estimons avoir de lutter pour notre conservation est-il réellement fondé, ou n’existe-t-il que dans notre esprit ? »
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« Ce fut l’époque où se fit en moi la révolution la plus profonde que j’aie jamais eu à mener à son terme.
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Le cosmopolite sans énergie que j’avais été jusqu’alors devint un antisémite fanatique. »
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« [...] un Juif n’est pas un Allemand [...]. »
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« À Linz, il n’y avait qu’une petite minorité de Juifs. Au cours des années, ils s’étaient répandus dans toute l’Europe et ils ne différaient pas des autres hommes ; je les prenais même pour des Allemands. Je ne voyais pas le côté absurde de cette illusion, parce qu’il m’apparaissait que leur religion était la seule chose qui nous séparât. Persuadé qu’ils avaient été persécutés pour leur croyances, les propos dont on les accablait m’étaient des plus antipathiques, et parfois allaient jusqu’à l’horreur. »
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« À la Realschule, je liai bien connaissance avec un jeune Juif, avec lequel nous nous tenions tous sur nos gardes, mais c’est parce que divers incidents nous avaient appris à n’avoir dans sa discrétion qu’une confiance restreinte. D’ailleurs, ni camarades ni moi n’en déduisîmes de conclusions particulières. »
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« '''Je sais que c’est par la parole beaucoup plus que par les écrits que l’on gagne les hommes : tous les grands mouvements de l’histoire doivent beaucoup plus aux orateurs qu’aux écrivains.''' »
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== Citations sur Adolf Hitler ==
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« Hitler paraît quelquefois être destiné, malheureusement, à détruire une grandeur qu’il ne conçoit pas : à la détruire par prétérition. Pourtant il a son sublime, un goût pour le désintéressement et l’ascétisme. Par son nid d’aigle, son goût pour la musique et les fleurs, il est digne d’être un homme du destin. Il n’a pas peur des moments terribles.
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Cependant cet homme qui emporte aux sommets d’une puissance incroyable ses meurtrissures d’ouvrier sans argent ressemble encore ici à Napoléon. Il ne se croit pas aimé de son entourage, il se croit malheureux : il faudrait faire respirer à Hitler les parfums des Champs-Élysées. »
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|titre=Berlin, Hitler et moi
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== Textes ==
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*[[Le Testament politique de Hitler - Notes recueillies par Martin Bormann]]
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== Bibliographie ==
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Version actuelle datée du 22 juin 2023 à 11:21

Adolf Hitler 2.jpg

Citations

« Si l’on avait, au début et au cours de la guerre, tenu une seule fois douze ou quinze mille de ces Hébreux corrupteurs du peuple sous les gaz empoisonnés que des centaines de milliers de nos meilleurs travailleurs allemands de toute origine et de toutes professions ont dû endurer sur le front, le sacrifice de millions d’hommes n’eût pas été vain. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 542


« [...] l’aspiration du peuple juif à la domination universelle, tendance aussi naturelle que celle qui pousse l’Anglo-Saxon à s’assurer le pouvoir sur cette terre. Et le Juif agit tout comme l’Anglo-Saxon, qui avance dans cette voie à sa manière et mène la lutte avec les armes qui lui sont familières. Le Juif aussi suit sa voie, cette voie qui le conduit à se faufiler dans les peuples et à les vider de leur substance ; et il combat avec ses armes, qui sont le mensonge et la calomnie [...]. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 527


« [...] ce ne sont plus les princes et les maîtresses des princes qui marchandent les frontières des États, mais c’est maintenant l’inexorable Juif cosmopolite qui combat pour la domination des autres peuples. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 519


« L’importance de ce fait ne saurait être surestimée. Le peuple allemand, déchiré par l’excès d’individualisme, fruit de la diversité des races qu’il enferme, recouvra, grâce à la discipline de l’armée prussienne, une partie au moins des facultés d’organisation qui, depuis longtemps, lui étaient devenues étrangères.

Encore dix générations d’Allemands sans le correctif d’une instruction militaire, abandonnées à l’influence défavorable de la diversité des races et, par suite, des conceptions philosophiques, et notre peuple aurait réellement perdu le dernier reste d’une existence indépendante sur cette planète. L’esprit allemand ne pourrait plus apporter son tribut à la civilisation que par des individus isolés au sein de nations étrangères, sans qu’on en reconnaisse seulement la provenance. Il ne serait plus qu’un engrais de civilisation, jusqu’à ce qu’enfin le dernier reste de sang aryen nordique dépérisse et s’éteigne en nous. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 516-517


« Nous devons encore considérer en première ligne comme États géants les États-Unis, puis la Russie et la Chine. Il s’agit là de formations territoriales qui, pour partie, ont une surface plus de dix fois supérieure à celle de l’Empire allemand actuel. La France même doit être comptée au nombre de ces États. Non seulement du fait qu’elle complète son armée, dans une proportion toujours croissante, grâce aux ressources des populations de couleur de son gigantesque empire, mais aussi du fait que son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un État africain sur le sol de l’Europe. La politique coloniale de la France d’aujourd’hui n’est pas à comparer avec celle de l’Allemagne de jadis. Si l’évolution de la France se prolongeait encore trois cents ans dans son style actuel, les derniers restes du sang franc disparaîtraient dans l’État mulâtre africano-européen qui est en train de se constituer un immense territoire de peuplement autonome s’étendant du Rhin au Congo, rempli de la race inférieure qui se forme lentement sous l’influence d’un métissage prolongé. C’est là ce qui distingue la politique coloniale française de l’ancienne politique coloniale allemande.

Cette dernière était toute en demi-mesures, comme tout ce que nous faisions. Elle n’a ni agrandi les territoires de peuplement de la race allemande, ni entrepris la tentative — encore criminelle — de renforcer la puissance du Reich par un recours au sang noir. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 514


« [...] la question la plus importante de notre politique extérieure, à savoir notre attitude à l’égard de la Russie [...]. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 512


« Les Juifs sont les maîtres des puissances financières des États-Unis. [...]

Avec une perfide habileté, ils pétrissent l’opinion publique et en font l’instrument de leur grandeur future.

Les meilleurs cerveaux de la juiverie croient déjà voir approcher le moment où sera réalisé le mot d’ordre donné par l’Ancien Testament et suivant lequel Israël dévorera les autres peuples.

S’il restait encore, au milieu du grand troupeau des pays dénationalisés et devenus colonies juives, un seul État indépendant, toute l’entreprise pourrait échouer à la dernière heure. Car un monde bolchévisé ne peut subsister que s’il embrasse toute le globe.

S’il reste un seul État possédant encore son énergie et sa grandeur nationales, l’Empire mondial que veulent édifier les satrapes juifs sera vaincu, comme toute tyrannie ici-bas, par la force de l’idée nationale. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 509


« C’est pour cette raison que la France est, et reste, l’ennemi que nous avons le plus à craindre. Ce peuple, qui tombe de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l’appui qu’il prête aux Juifs pour attendre leu but de domination universelle, l’existence de la race blanche en Europe. Car la contamination provoquée par l’afflux de sang nègre sur le Rhin, au cœur de l’Europe, répond aussi bien à la soif de vengeance sadique et perverse de cet ennemi héréditaire de notre peuple qu’au froid calcul du Juif, qui y voit le moyen de commencer le métissage du continent européen en son centre et, en infectant la race blanche avec le sang d’une basse humanité, de poser les fondations de sa propre domination.

Le rôle que la France, aiguillonnée par sa soif de vengeance et systématiquement guidée par les Juifs, joue aujourd’hui en Europe, est un péché contre l’existence de l’humanité blanche et déchaînera un jour contre ce peuple tous les esprits vengeurs d’une génération qui aura reconnu dans la pollution des races le péché héréditaire de l’humanité. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 497


« [...] depuis trois cent ans, l’histoire de notre contient a été dominée par les visées politiques de l’Angleterre ; par l’équilibre des forces qu’elle obtenait, en opposant les unes aux autres les différentes puissances européennes, elle assurait indirectement ses derrières et pouvait, en toute sûreté, atteindre les buts poursuivis par la politique mondiale de la diplomatie britannique. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 488


« Plus une idée est riche et fertile en ferments révolutionnaires, plus ses propagateurs doivent être actifs, vu que la force subversive d’une telle doctrine risque d’en éloigner les petits-bourgeois lâches. Ils pourront, dans leur for intérieur, se sentir des partisans, mais refuseront de le reconnaître ouvertement. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 463


« [...] le Juif détruit ce qui constitue les bases de notre existence en tant que race et, par là, détruit notre peuple pour toujours. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 447


« Cette contamination pestilentielle de notre sang, que ne savent pas voir des centaines de milliers de nos concitoyens, est pratiquée aujourd’hui systématiquement par les Juifs. Systématiquement, ces parasites aux cheveux noirs, qui vivent aux dépens de notre peuple, souillent nos jeunes filles inexpérimentées et causent ainsi des ravages que rien en ce monde ne pourra plus compenser. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 445


« Le manque de toute grande idée réformatrice a toujours impliqué une limitation de la force combative. La conviction d’avoir le droit d’employer les armes les plus brutales est toujours liée à l’existence d’une loi fanatique en la nécessité de la victoire d’un nouvel ordre de choses révolutionnaire. [...] C’est aussi l’une des leçons éternelles de l’histoire qu’une idée philosophique appuyée par la terreur ne peut jamais être vaincue par des méthodes administratives abstraites, mais seulement par une nouvelle idée philosophique, se traduisant en action aussi audacieuses que décidées. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 423-424


« La conscience du devoir, l’observation du devoir et l’obéissance ne sont pas des buts en soi, de même que l’État n’est pas un but en soi : ils doivent être seulement des moyens de rendre possible et d’assurer l’existence sur cette terre d’une communauté d’êtres vivants, unis par des affinités morales et physiques. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 420


« Dans le rouge, nous voyions l’idée sociale du mouvement ; dans le blanc l’idée nationaliste ; dans la croix gammée, la mission de la lutte pour le triomphe de l’aryen et aussi pour le triomphe de l’idée du travail productif, idée qui fut et restera éternellement antisémite. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 395


« Car une doctrine n’est pas tolérante ; elle ne peut être “un parti parmi les autres” ; elle exige impérieusement la reconnaissance exclusive et totale de ses conceptions, qui doivent transformer toute la vie politique. Elle ne peut tolérer près d’elle aucun vestige de l’ancien régime.

C’est la même chose pour les religions.

Le christianisme non plus n’a pas pu se contenter d’élever ses propres autels, il lui fallait procéder à la destruction des autels païens. Seule cette intolérance fanatique devait créer la foi apodictique ; elle en était une condition première absolue.

On peut objecter, à juste titre, que ces deux précédents historiques sont spécifiquement juifs — et même que ce genre d’intolérance et de fanatisme sont foncièrement juifs. Ceci peut être mille fois vrai et on peut aussi le déplorer profondément ; on peut constater, avec une inquiétude qui n’est que trop justifiée, que l’apparition de cette doctrine dans l’histoire de l’humanité y introduisait quelque chose que l’on ne connaissait pas encore ; mais cela ne sert de rien et il s’agit maintenant d’un état de fait. Les hommes qui veulent sortir notre peuple allemand de sa situation actuelle, n’ont pas à se casser la tête pour imaginer combien ce serait beau si telle ou telle chose n’existait pas ; ils doivent recherche et déterminer comment on peut supprimer ce qui en fait est donné. Mais une doctrine pleine de la plus infernale intolérance ne sera brisée que par la doctrine qui lui opposera le même esprit, qui luttera avec la même âpre volonté et qui, par surcroît, portera en elle-même une pensée nouvelle pure et absolument conforme à la vérité. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 360-361


« [...] notre première tâche n’est pas de créer une forme d’État völkisch, mais de détruire l’État juif actuel. Comme l’histoire le montre bien souvent, la principale difficulté n’est pas d’instituer un nouvel état de choses, mais bien de lui faire la place libre. Préjugés et intérêts s’entremêlent en une phalange serrée et tentent d’empêcher, par tous les moyens, la victoire d’une idée qui leur est désagréable ou leur paraît menaçante. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 359-360


« L’évolution que nous sommes en train de subir, si elle n’était enrayée, nous mettrait un jour devant la prophétie panjuive : “Le Juif dévorera effectivement les peuples de la terre et deviendra leur seigneur.” »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 359


« Car les plus grandes inventions, les plus grandes découvertes, les travaux qui ont le plus profondément révolutionné la science, les monuments les plus splendides de la civilisation humaine ne sont pas des cadeaux qu’aurait faits au monde la poursuite de gains matériels. Tout au contraire, s’il ont vu le jour, ce fut souvent parce que leurs auteurs avaient renoncé au bonheur matériel que procure la richesse.

Il se peut qu’aujourd’hui l’or soit le dominateur exclusif de la vie ; pourtant il viendra un jour où l’homme rendra hommage à des dieux plus nobles. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 344


« Mais il est fort à craindre que l’homme, une fois aveuglé, ne continue à abattre les barrières qui séparent les races, jusqu’à ce que soit définitivement perdu ce qu’il y avait de meilleur en lui. Il ne restera alors qu’une sorte de bouillie unitaire dont les fameux réformateurs que nous entendons aujourd’hui font leur idéal ; mais ce mélange informe signifierait la mort de tout idéal en ce monde. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 317


« [...] quand, au sein d’un peuple, s’unissent, pour poursuivre un seul but, un certain nombre d’hommes doués au plus haut degré d’énergie et de force active, et qu’ils sont ainsi définitivement dégagés de la paresse où s’engourdissent les masses, ces quelques hommes deviennent les maîtres de l’ensemble du peuple. L’histoire du monde est faite par les minorités, chaque fois que les minorités de nombre incarnent la majorité de la volonté et de la décision. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 315


« [...] dans un monde métissé et envahi par la descendance de nègres, toutes les conceptions humaines de beauté et de noblesse, de même que toutes les espérances en un avenir idéal de notre humanité, seraient perdues à jamais. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 303


« [...] lorsque le sionisme cherche à faire croire au reste du monde que la conscience nationale des Juifs trouverait satisfaction dans la création d’un État palestinien, les Juifs dupent encore une fois les sots goyim de la façon la plus patente. Ils n’ont pas du tout l’intention d’édifier en Palestine un État juif pour aller s’y fixer ; ils ont simplement en vue d’y installer l’organisation centrale de leur entreprise charlatanesque d’internationalisme universel ; elle serait ainsi pourvue de droits de souveraineté et soustraite à l’intervention des autres États ; elle serait un lieu d’asile pour tous les gredins démasqués et une école supérieure pour les futurs bateleurs. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 258-259


« [...] le Talmud n’est pas un livre préparant à la vie dans l’au-delà ; il enseigne seulement à mener ici-bas une vie pratique et supportable.

La doctrine religieuse des Juifs est, en première ligne, une instruction tendant à maintenir la pureté du sang juif et un code réglant les rapports des Juifs entre eux, et surtout ceux qu’ils doivent observer avec le reste du monde, c’est-à-dire avec les non-juifs. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 244-245


« Comme le Juif n’a jamais connu de royaume avec des frontières déterminées et, par suite, n’a jamais eu de civilisation qui lui fût propre, on a cru avoir affaire à un peuple qui devait être classé parmi les nomades. C’est une erreur aussi profonde que dangereuse. Le nomade possède son territoire nettement délimité où il vit ; seulement il ne le cultive pas comme un agriculteur sédentaire, mais se nourrit du produit de ses troupeaux, avec lesquels il parcourt son domaine. La raison de ce mode d’existence est le peu de fertilité du sol qui n’autorise pas d’établissement fixe. Mais la cause réelle est la disproportion existant entre la civilisation technique d’une époque ou d’un peuple et la pauvreté naturelle d’une région. Il est des pays où l’Aryen est parvenu, grâce à sa technique, qu’il a perfectionnée au cours de plus de mille années, à fonder des établissement fixes et à se rendre maître d’un territoire très étendu d’où il a tiré tout ce qui est indispensable à la vie. À défaut de cette technique, il lui aurait fallu, ou abandonner ces contrées, ou y mener la vie misérable du nomade changeant continuellement de résidence, à supposer que la formation qu’il avait reçue depuis des milliers d’années et l’habitude qu’il avait de la vie sédentaire ne lui eussent pas rendu insupportable une telle existence. On doit se souvenir qu’au moment où le continent de l’Amérique s’ouvrît aux colons, de nombreux Aryens gagnèrent péniblement leur vie comme trappeurs, chasseurs, etc., errant souvent en bandes avec femmes et enfants, de sorte que leur vie ressemblait complètement à celle des nomades. Mais, aussitôt qu’ils devinrent plus nombreux et que des ressources plus importantes leur permirent de défricher le sol et de tenir tête aux indigènes, leurs établissements fixes se multiplièrent dans ce pays. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 242-243


« Ce que le Juif produit dans le domaine de l’art n’est que bousillage ou vol intellectuel. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 242


« Le peuple juif ne possède donc pas, malgré toutes les facultés intellectuelles dont il est doué en apparence, une vraie civilisation, notamment une civilisation qui lui soit propre. Ce que le Juif possède aujourd’hui de civilisation apparente n’est que le bien des autres peuples qui s’en en grande partie corrompu entre ses mains. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 242


« C’est pourquoi l’État Juif — qui doit être l’organisme vivant destiné à conserver et multiplier une race — est, au point de vue territorial, sans aucune limite. Car la délimitation du territoire d’un État suppose toujours une disposition d’esprit idéaliste chez la race qui le constitue et notamment une conception exacte de ce que signifie le travail. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 241


« Sitôt que l’égoïsme établit sa domination sur un peuple, les liens de l’ordre se relâchent et, en poursuivant leur propre bonheur, les hommes sont précipités du ciel dans l’enfer.

La postérité oublie les hommes qui n’ont recherché que leurs propres intérêts et glorifie les héros qui ont renoncé à leur bonheur particulier. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 239-240


« Le mélange des sangs et l’abaissement du niveau des races, qui en est la conséquence inéluctable, sont les seules causes de la mort des anciennes civilisations ; car ce ne sont pas les guerres perdues qui entraînent la ruine des peuples, mais la disparition de cette force de résistance qui est la propriété exclusive d’un sang pur. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 237


« L’Aryen est le Prométhée de l’humanité ; l’étincelle divine du génie a de tout temps jailli de son front lumineux ; il a toujours allumé à nouveau ce feu qui, sous la forme de la connaissance, éclairait l’obscurité, recouvrant les mystères obstinément muets et montrait ainsi à l’homme le chemin qu’il devait suivre pour devenir le maître des autres êtres vivants sur cette terre. Si on le faisait disparaître, une ombre profonde descendrait sur la terre ; en quelques siècles, la civilisation humaine s’évanouirait et le monde deviendrait un désert. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 232


« Tout ce que nous admirons aujourd’hui sur cette terre — science et art, technique et inventions — est le résultat de l’activité créatrice de peuples peu nombreux et peut-être, primitivement, d’une seule race. C’est d’eux que dépend la permanence de toute la civilisation. S’ils périssent, ce qui fait la beauté de cette terre ira avec eux dans la tombe. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 231


Le « principe juif de l’adoration aveugle du nombre [...]. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 224


« La rêverie humanitaire est à la mode, et, en cédant mollement aux aberrations et en épargnant les individus, on sacrifie l’avenir de plusieurs millions d’êtres. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 214


« Au XIXe siècle, nos villes commencèrent à perdre de plus en plus le caractère de centres de civilisation, pour descendre au niveau de simples centres d’immigration. Le peu d’attachement que le prolétariat moderne de nos grandes villes éprouve pour la localité où il habite, résulte de ce qu’il ne s’agit plus ici vraiment que du point de stationnement occasionnel de chacun, et rien de plus. Ceci tient en partie aux changements de résidence fréquents, nécessités par les conditions sociales, qui ne laissent pas à l’homme le temps de s’attacher étroitement à sa ville, mais cela résulte aussi du manque de caractère au point de vue culturel général et de la sécheresse de nos ville d’aujourd’hui. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 211


« Le règne de l’argent fut malheureusement ratifié par l’autorité qui aurait dû le plus se dresser contre lui : Sa Majesté l’Empereur eut un geste malheureux quand il attira la noblesse, en particulier, sous la bannière de la finance. Certes, il faut lui tenir compte de ce que même Bismarck n’avait pas reconnu le danger menaçant sur ce point. Mais ainsi les vertus élevées le cédaient en fait à la valeur de l’argent, car il était clair qu’une fois engagée dans cette voie, la noblesse du sang devrait céder la place à la noblesse financière. Les opérations financières réussissent plus facilement que les batailles. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 189


« Renoncer à gagner de nouveaux territoires et rêver, en compensation, d’une conquête économique mondiale, ceci devait conduire, en dernière analyse, à une industrialisation tout aussi démesurée que nuisible.

La première conséquence — et de la plus haute importance — de cette conception, fut l’affaiblissement de la condition des paysans. Dans la mesure même de ce recul, croissait de jour en jour le prolétariat des grandes villes jusqu’à ce que l’équilibre se trouvât enfin complètement rompu. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 188


« La lutte contre la finance internationale et le capital de prêt est devenue le point le plus important de la lutte de la nation allemande pour son indépendance et sa liberté économique. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 172


« [...] la lutte la plus difficile devrait être menée non contre les peuples ennemis, mais contre le capital international. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 172


« Car plus l’oeuvre d’un homme est grande pour la postérité, moins les contemporains peuvent la comprendre ; d’autant plus dure est la lutte et d’autant plus difficile le succès. Toutefois si, au cours des siècles, le succès favoris un tel homme, il recevra peut-être au cours de sa vie même quelques pâles rayons de sa gloire future. Il est vrai que ces grands hommes ne sont que les coureurs de Marathon de l’histoire : la couronne de lauriers des contemporains n’effleure plus les tempes du héros mourant. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 171


« Mais alors, à la vérité, se posait cette question : est-il possible, en somme, d’exterminer avec l’épée une conception de l’esprit ? Peut-on, par l’emploi de la force brutale, lutter contre des “idées philosophiques” ?

Je m’étais déjà posé à ce moment plus d’une fois cette question.

En réfléchissant à des cas analogues que l’on trouve dans l’histoire, particulièrement lorsqu’il s’agit de questions de religion, on aboutit à la notion fondamentale suivante : les conceptions et les idées philosophiques, de même que les mouvements motivés par des tendances spirituelle déterminées, qu’ils soient exacts ou faux, ne peuvent plus, à partir d’un certain moment, être brisés par la force matérielle qu’à une condition ; c’est que cette force matérielle soit au service d’une idée ou d’une conception philosophique nouvelle allumant un nouveau flambeau. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 139


« L’État juif ne fut jamais délimité dans l’espace ; répandu sans limites dans l’univers, il comprend cependant exclusivement les membres d’une même race. C’est pour cela que ce peuple a formé partout un État dans l’État. C’est l’un des tours de passe-passe les plus ingénieux au monde que d’avoir fait naviguer cet État sous l’étiquette de “religion”, et de lui assurer ainsi la tolérance que l’Aryen est toujours prêt à accorder à la croyance religieuse. En réalité, la religion de Moïse n’est rien d’autre que la doctrine de la conservation de la race juive. C’est pour cela qu’elle embrasse aussi presque tout le domaine des sciences sociales, politiques et économiques qui peuvent s’y rapporter. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 122-123


« [...] on ne saurait trop priser la possibilité de conserver une classe paysanne saine comme base de toute la nation. Beaucoup de nos maux actuels ne sont que la conséquence du rapport faussé entre les populations urbaine et rurale.

Une solide couche de petits et moyens paysans fut de tout temps la meilleurs protection contre les malaises sociaux qui sont aujourd’hui les nôtres. C’est aussi le seul moyen d’assurer à une nation son pain quotidien dans le cadre d’une économie fermée. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 113


« [...] les races moins dépourvues de scrupules et de plus haute civilisation doivent déjà réduire, par suite de leur territoire limité, leur accroissement à un moment où des peuples moins civilisés et plus brutaux de nature, se trouvent, grâce à de vastes territoires de peuplement, en mesure de se développer en nombre et sans souci de limitation.

En d’autres termes, le monde sera un jour aux mains d’une humanité de moins haute culture, mais plus énergique. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 111


« Mais, en général, on doit se rappeler que le but suprême de l’existence des hommes n’est pas la conservation d’un État : c’est la conservation de leur race. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 82


« Toute action de valeur n’est-elle pas ici-bas une offensive prise par le génie contre l’inertie de la masse ? »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 71


« Le critérium de l’homme d’État est-il de posséder au même degré l’art de convaincre et la finesse diplomatique nécessaire pour saisir les grands principes et prendre les grandes décisions ? »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 71


« Dans l’Europe occidentale actuelle, la démocratie est le précurseur du marxisme, que l’on ne pourrait concevoir sans elle. Elle est pour cette peste mondiale le terrain de culture, sur lequel peut se propager l’épidémie. Et elle trouve son expression dans le parlementarisme avorton chez qui toute étincelle divine a malheureusement cessé d’animer la boue dont il est fait. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 70


« En me défendant contre le Juif, je combats pour défendre l’œuvre du Seigneur. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 60


« Si le Juif, à l’aide de sa profession de foi marxiste, remporte la victoire sur les peuples de ce monde, son diadème sera la couronne mortuaire de l’humanité. Alors notre planète recommencera à parcourir l’éther comme elle l’a fait il y a des millions d’année : il n’y aura plus d’hommes à sa surface. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 60


« Tandis que j’étudiais l’influence exercée par le peuple juif à travers de longues périodes de l’histoire, je me demandai soudain avec anxiété si le destin, dont les vues sont insondables, ne voulait pas, pour des raisons inconnues de nous autres pauvres hommes, en vertu d’une décision immuable, la victoire finale de ce petit peuple.

Est-ce qu’à ce peuple, qui n’a toujours vécu que pour la terre, cette terre aurait été promise comme récompense ?

Le droit que nous estimons avoir de lutter pour notre conservation est-il réellement fondé, ou n’existe-t-il que dans notre esprit ? »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 59


« Ce fut l’époque où se fit en moi la révolution la plus profonde que j’aie jamais eu à mener à son terme.

Le cosmopolite sans énergie que j’avais été jusqu’alors devint un antisémite fanatique. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 59


« [...] un Juif n’est pas un Allemand [...]. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 57


« À Linz, il n’y avait qu’une petite minorité de Juifs. Au cours des années, ils s’étaient répandus dans toute l’Europe et ils ne différaient pas des autres hommes ; je les prenais même pour des Allemands. Je ne voyais pas le côté absurde de cette illusion, parce qu’il m’apparaissait que leur religion était la seule chose qui nous séparât. Persuadé qu’ils avaient été persécutés pour leur croyances, les propos dont on les accablait m’étaient des plus antipathiques, et parfois allaient jusqu’à l’horreur. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 50


« À la Realschule, je liai bien connaissance avec un jeune Juif, avec lequel nous nous tenions tous sur nos gardes, mais c’est parce que divers incidents nous avaient appris à n’avoir dans sa discrétion qu’une confiance restreinte. D’ailleurs, ni camarades ni moi n’en déduisîmes de conclusions particulières. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 50


« Je sais que c’est par la parole beaucoup plus que par les écrits que l’on gagne les hommes : tous les grands mouvements de l’histoire doivent beaucoup plus aux orateurs qu’aux écrivains. »

— Adolf Hitler, Mein Kampf (1925), trad. Jean Gaudefroy-Demonbynes et André Calmettes, éd. Kontre Kulture, 2016 (ISBN 9782367250984), p. 15
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Benito Mussolini et Adolf Hitler dans le Wolfsschanze à Rastenburg, 20 juillet 1944
Ludwig Wittgenstein et Adolf Hitler dans la même école à Linz

Citations sur Adolf Hitler

« Hitler paraît quelquefois être destiné, malheureusement, à détruire une grandeur qu’il ne conçoit pas : à la détruire par prétérition. Pourtant il a son sublime, un goût pour le désintéressement et l’ascétisme. Par son nid d’aigle, son goût pour la musique et les fleurs, il est digne d’être un homme du destin. Il n’a pas peur des moments terribles.

Cependant cet homme qui emporte aux sommets d’une puissance incroyable ses meurtrissures d’ouvrier sans argent ressemble encore ici à Napoléon. Il ne se croit pas aimé de son entourage, il se croit malheureux : il faudrait faire respirer à Hitler les parfums des Champs-Élysées. »

— Abel Bonnard, « Notes sur Hitler » (mai 1937), dans Berlin, Hitler et moi, éd. Kontre Kulture, 2022, p. 14


Textes

Bibliographie

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