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« '''Nous voulons gagner la révolution.''' »
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« Les races sont la cause première de l’histoire. Les nations, en revanche, en sont la réalisation. [...]
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Sans doute sommes-nous entrés dans une époque de luttes raciales et la décision qui en résultera en définitive aura trait à la maîtrise du monde. Mais la forme sous laquelle se déroule cette lutte de races est toujours celle des luttes de nationalités. »
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« Tout peuple incarne une idée particulière qui est un tout indivisible et lui appartient, comme il est lui-même un tout indivisible qui s’appartient. Il est né avec cette idée. C’est avec cette idée qu’il est sorti du sein maternel de la race et de la terre pour se jeter dans son espace historique. »
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« Le libéralisme prétend entreprendre tout ce qu’il fait pour le peuple. Mais, en réalité, il élimine le peuple et le remplace par un je. '''Le libéralisme est l’expression d’une société qui n’est plus une communauté.''' Le libéral ne saisit pas le sens profond qui est à la base de toute société. Le libéralisme ne possède pas d'homme supérieurs, qui soient aptes à créer des valeurs élaborées dans le peuple et à les rendre à ce peuple, pourvues de formes. Le libéralisme est l'expression d'une société, composée des parties les plus basses du peuple.
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« L’ennemi commun du conservateur et du révolutionnaire est le libéral. C’est ainsi et non autrement qu’il vit dans le sentiment révolutionnaire comme dans la conscience conservatrice. »
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« Le libéralisme a existé de tous temps. Il est basé sur le désir qu'ont tous les hommes d'avoir une personnalité, même s'ils n'en ont point. '''Chaque homme qui ne se sent plus membre d’une communauté est, d’une façon ou d’une autre, un libéral.''' Son domaine est l'amour-propre. Le conservateur, seul, est altruiste. Le conservateur défend une cause qui ne meurt pas avec lui. Tandis que l'amour-propre du libéral, lui fait accepter cette formule : après moi le déluge. »
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« '''Le réactionnaire [...] croit que nous n’avons qu’à renouveler les formes anciennes pour que toutes choses redeviennent “comme elles étaient”.''' »
 
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« Le libéralisme commença par créer une fausse notion de la liberté. Il finit par instaurer une fausse notion de la liberté dont il se servit, même quand il ne défendit plus la liberté, mais seulement ses privilèges. »
 
« Le libéralisme commença par créer une fausse notion de la liberté. Il finit par instaurer une fausse notion de la liberté dont il se servit, même quand il ne défendit plus la liberté, mais seulement ses privilèges. »
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Citations

« Les races sont la cause première de l’histoire. Les nations, en revanche, en sont la réalisation. [...]

Sans doute sommes-nous entrés dans une époque de luttes raciales et la décision qui en résultera en définitive aura trait à la maîtrise du monde. Mais la forme sous laquelle se déroule cette lutte de races est toujours celle des luttes de nationalités. »

— Arthur Moeller van den Bruck, « De la grandeur d’un peuple » (1933, posthume), dans La Révolution des peuples jeunes, trad. Jean-Paul Allard, éd. Pardès, 1993, Das Ewige Reich, « Der Politische Mensch », p. 240


« Tout peuple incarne une idée particulière qui est un tout indivisible et lui appartient, comme il est lui-même un tout indivisible qui s’appartient. Il est né avec cette idée. C’est avec cette idée qu’il est sorti du sein maternel de la race et de la terre pour se jeter dans son espace historique. »

— Arthur Moeller van den Bruck, « De la grandeur d’un peuple » (1933, posthume), dans La Révolution des peuples jeunes, trad. Jean-Paul Allard, éd. Pardès, 1993, Das Ewige Reich, « Der Politische Mensch », p. 240


« Nous avons besoin en Allemagne de la spiritualité inconditionnelle des Russes. Nous en avons besoin comme d’un contre-poids à un occidentalisme aux influences duquel nous avons été nous aussi exposés et qui nous a conduits nous aussi là où nous sommes arrivés aujourd’hui. Après avoir si longtemps regardé du côté de l’Ouest, jusqu’à en tomber dans sa dépendance, nous regardons maintenant du côté de l’Est, en cherchant l’indépendance. Mais nous ne la trouverons pas à l’Est. Nous ne la trouverons jamais qu’en nous-mêmes. »

— Arthur Moeller van den Bruck, « La Russie, l’Ouest et nous » (1er octobre 1933, posthume), dans La Révolution des peuples jeunes, trad. Jean-Paul Allard, éd. Pardès, 1993, « Russland, der Westen und wir », Der Nahe Osten, 1er octobre 1933, p. 240


« L’animal, dans l’homme, s’approche en rampant ; l’Afrique obscurcit l’Europe. Nous devons être les gardiens postés sur le seuil des valeurs. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 325


« Il n’y a qu’un seul Reich comme il n’y a qu’une seule Église. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 324


« L’ennemi commun du conservateur et du révolutionnaire est le libéral. C’est ainsi et non autrement qu’il vit dans le sentiment révolutionnaire comme dans la conscience conservatrice. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 296


« La question est seulement de savoir si le conservateur devra triompher de la révolution, ou si le révolutionnaire trouvera de lui-même le chemin du conservatisme. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 293


« La pensée conservatrice voit dans tous les rapports humains le retour vers ce qui est éternel, non pas le retour des choses qui ont déjà été, mais le retour de ce qui est permanent en elles.

Mais cet éternel doit toujours être recréé spirituellement dans le temporel. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 275


« [...] nous avons beau fouiller l’histoire de tous les temps et de tous les peuples, nous ne pouvons y constater aucun progrès. [...] Depuis que les hommes ont conçu l’idée de “progrès”, ils n’ont réalisé que la “régression”. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 259


« Le réactionnaire [...] croit que nous n’avons qu’à renouveler les formes anciennes pour que toutes choses redeviennent “comme elles étaient”. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 223


La démocratie est « la participation d’un peuple à son destin. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 184


« Le libéralisme commença par créer une fausse notion de la liberté. Il finit par instaurer une fausse notion de la liberté dont il se servit, même quand il ne défendit plus la liberté, mais seulement ses privilèges. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 140


« Le libéralisme moderne commence là, où l’individu s’échappe des liens médiévaux. L’homme libéral dira plus tard : là où il parvint à s’en libérer. Mais la pensée libérale est ici comme partout une illusion, car ces liens médiévaux étaient des accomplissements. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 138


« Le libéralisme a miné des civilisations. Il a détruit des religions. Il a ruiné des patries.

Les peuples primitifs ne connaissaient pas le libéralisme. Pour eux, le monde était une expérience unique qu’un homme se partageait avec un autre homme. Intuitivement, ils comprenaient l’existence, comme une lutte dans laquelle tous les membres d’un groupe devaient s’affirmer contre tous ceux qui le menaçaient. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 134-135


« Le libéralisme a existé de tous temps. Il est basé sur le désir qu’ont tous les hommes d’avoir une personnalité, même s’ils n’en ont point. Chaque homme qui ne se sent plus membre d’une communauté est, d’une façon ou d’une autre, un libéral. Son domaine est l’amour-propre. Le conservateur, seul, est altruiste. Le conservateur défend une cause qui ne meurt pas avec lui. Tandis que l’amour-propre du libéral, lui fait accepter cette formule : après moi le déluge. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 134


« Le libéralisme prétend entreprendre tout ce qu’il fait pour le peuple. Mais, en réalité, il élimine le peuple et le remplace par un je. Le libéralisme est l’expression d’une société qui n’est plus une communauté. Le libéral ne saisit pas le sens profond qui est à la base de toute société. Le libéralisme ne possède pas d’homme supérieurs, qui soient aptes à créer des valeurs élaborées dans le peuple et à les rendre à ce peuple, pourvues de formes. Le libéralisme est l’expression d’une société, composée des parties les plus basses du peuple.

Le libéralisme n’exprime pas une société organisée, mais une société déjà dissoute. Il creuse un abîme effroyable, entre les différents membres d’une même nation. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 132


« Chaque peuple a son propre socialisme. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 62


« Pour nous, actuellement, le présent n’existe pas, le passé est comme arraché de nous, et nous allons entrer en plein inconnu. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 32


« Nous voulons gagner la révolution. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean-Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 31


Ein russischer Seemann ist ein Widerspruch in sich, wie es ein russischer Unternehmer ist — Das Meer will den Russen nicht.“

(de)« Das Baltikum », Arthur Moeller van den Bruck, Der Deutsche Krieg, vol. II nº 59, 1915
« Un marin russe est une contradiction en soi, tout comme un entrepreneur russe — La mer ne veut pas des Russes. »
(fr)« Das Baltikum », Arthur Moeller van den Bruck, Der Deutsche Krieg, vol. II nº 59, 1915
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Bibliographie

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