Différences entre les versions de « Arthur Moeller van den Bruck »

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« Le libéralisme a miné des civilisations. Il a détruit des religions. Il a ruiné des patries.
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« '''Le libéralisme a miné des civilisations. Il a détruit des religions. Il a ruiné des patries.'''
  
 
Les peuples primitifs ne connaissaient pas le libéralisme. Pour eux, le monde était une expérience unique qu’un homme se partageait avec un autre homme. Intuitivement, ils comprenaient l’existence, comme une lutte dans laquelle tous les membres d’un groupe devaient s’affirmer contre tous ceux qui le menaçaient. »
 
Les peuples primitifs ne connaissaient pas le libéralisme. Pour eux, le monde était une expérience unique qu’un homme se partageait avec un autre homme. Intuitivement, ils comprenaient l’existence, comme une lutte dans laquelle tous les membres d’un groupe devaient s’affirmer contre tous ceux qui le menaçaient. »

Version du 21 mars 2019 à 13:23

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Citationes

« Nous voulons gagner la révolution. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 31


« Chaque peuple a son propre socialisme. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 62


« Le libéralisme prétend entreprendre tout ce qu’il fait pour le peuple. Mais, en réalité, il élimine le peuple et le remplace par un je. Le libéralisme est l’expression d’une société qui n’est plus une communauté. Le libéral ne saisit pas le sens profond qui est à la base de toute société. Le libéralisme ne possède pas d'homme supérieurs, qui soient aptes à créer des valeurs élaborées dans le peuple et à les rendre à ce peuple, pourvues de formes. Le libéralisme est l'expression d'une société, composée des parties les plus basses du peuple.

Le libéralisme n’exprime pas une société organisée, mais une société déjà dissoute. Il creuse un abîme effroyable, entre les différents membres d'une même nation. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 132


« Le libéralisme a existé de tous temps. Il est basé sur le désir qu'ont tous les hommes d'avoir une personnalité, même s'ils n'en ont point. Chaque homme qui ne se sent plus membre d’une communauté est, d’une façon ou d’une autre, un libéral. Son domaine est l'amour-propre. Le conservateur, seul, est altruiste. Le conservateur défend une cause qui ne meurt pas avec lui. Tandis que l'amour-propre du libéral, lui fait accepter cette formule : après moi le déluge. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 134


« Le libéralisme a miné des civilisations. Il a détruit des religions. Il a ruiné des patries.

Les peuples primitifs ne connaissaient pas le libéralisme. Pour eux, le monde était une expérience unique qu’un homme se partageait avec un autre homme. Intuitivement, ils comprenaient l’existence, comme une lutte dans laquelle tous les membres d’un groupe devaient s’affirmer contre tous ceux qui le menaçaient. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 134-135


« Le libéralisme moderne commence là, où l’individu s'échappe des liens médiévaux. L’homme libéral dira plus tard : là où il parvint à s’en libérer. Mais la pensée libérale est ici comme partout une illusion, car ces liens médiévaux étaient des accomplissements. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 138


« Le libéralisme commença par créer une fausse notion de la liberté. Il finit par instaurer une fausse notion de la liberté dont il se servit, même quand il ne défendit plus la liberté, mais seulement ses privilèges. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 140


« [...] nous avons beau fouiller l’histoire de tous les temps et de tous les peuples, nous ne pouvons y constater aucun progrès. [...] Depuis que les hommes ont conçu l’idée de “progrès”, ils n’ont réalisé que la “régression”. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 259


« La pensée conservatrice voit dans tous les rapports humains le retour vers ce qui est éternel, non pas le retour des choses qui ont déjà été, mais le retour de ce qui est permanent en elles.

Mais cet éternel doit toujours être recréé spirituellement dans le temporel. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 275


« La question est seulement de savoir si le conservateur devra triompher de la révolution, ou si le révolutionnaire trouvera de lui-même le chemin du conservatisme. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 293


« L’ennemi commun du conservateur et du révolutionnaire est le libéral. C’est ainsi et non autrement qu’il vit dans le sentiment révolutionnaire comme dans la conscience conservatrice. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 296


« L’animal, dans l’homme, s’approche en rampant ; l’Afrique obscurcit l’Europe. Nous devons être les gardiens postés sur le seuil des valeurs. »

— Arthur Moeller van den Bruck, Le Troisième Reich (1923), trad. Jean Louis Lénault, éd. Nouvelles Éditions latines, 1981 (ISBN 9782723301282), p. 325


Bibliographia

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