Différences entre les versions de « Benito Mussolini »

 
(3 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
{{Image|Benito Mussolini|}}
 
{{Image|Benito Mussolini|}}
== Citationes ==
+
== Citations ==
  
 
« '''Au Parti, les ordres des combattants et des militants doivent réaliser un organisme d’une absolue pureté politique, digne d’être le gardien de l’idée révolutionnaire.''' »
 
« '''Au Parti, les ordres des combattants et des militants doivent réaliser un organisme d’une absolue pureté politique, digne d’être le gardien de l’idée révolutionnaire.''' »
Ligne 31 : Ligne 31 :
 
|année=2020
 
|année=2020
 
|page=29}}
 
|page=29}}
 +
 +
« On peut définir ainsi les régimes démocratiques : ceux dans lesquels on donne de temps en temps au peuple l’illusion d’être souverain, alors que la souveraineté véritable et effective réside en d’autres forces, parfois irresponsables et secrètes. La démocratie est un régime sans roi, mais avec de très nombreux rois parfois plus exclusifs, plus tyranniques et plus ruineux qu’un seul roi qui serait un tyran. »
 +
{{Réf Livre
 +
|auteur=Benito Mussolini
 +
|titre=La Doctrine du fascisme
 +
|année d'origine=1938
 +
|traducteur=Charles Belin
 +
|éditeur=Kontre Kulture
 +
|année=2020
 +
|page=26}}
  
 
« Le fascisme nie que le nombre, par le seul fait d’être le nombre, puisse diriger la société humaine ; il nie que ce nombre puisse gouverner au moyen d’une consultation périodique ; il affirme l’inégalité irrémédiable, féconde et bienfaisante des hommes, qui ne peuvent devenir égaux par un fait mécanique et extrinsèque tel que le suffrage universel. »
 
« Le fascisme nie que le nombre, par le seul fait d’être le nombre, puisse diriger la société humaine ; il nie que ce nombre puisse gouverner au moyen d’une consultation périodique ; il affirme l’inégalité irrémédiable, féconde et bienfaisante des hommes, qui ne peuvent devenir égaux par un fait mécanique et extrinsèque tel que le suffrage universel. »
Ligne 94 : Ligne 104 :
 
{{Center|Benito Mussolini et Adolf Hitler dans le Wolfsschanze à Rastenburg, 20 juillet 1944|[[Benito Mussolini]] et [[Adolf Hitler]] dans le Wolfsschanze à Rastenburg, 20 juillet 1944}}
 
{{Center|Benito Mussolini et Adolf Hitler dans le Wolfsschanze à Rastenburg, 20 juillet 1944|[[Benito Mussolini]] et [[Adolf Hitler]] dans le Wolfsschanze à Rastenburg, 20 juillet 1944}}
  
== Bibliographia ==
+
== Bibliographie ==
  
{{Affiliation|https://kontrekulture.com/produit/la-doctrine-du-fascisme|https://cdn.culturepourtous.net/wp-content/uploads/20200713150759/doctrine-fascisme-300x300.png}}
+
{{Affiliation|https://kontrekulture.com/produit/la-doctrine-du-fascisme/?asv=7|https://cdn.culturepourtous.net/wp-content/uploads/20200713150759/doctrine-fascisme-300x300.png}}
  
[[Category:Auctor]]
 
 
{{DEFAULTSORT:Mussolini, Benito}}
 
{{DEFAULTSORT:Mussolini, Benito}}
{{Facebook}}
+
[[Category:Auctores]]
 +
{{Footer}}

Version actuelle datée du 27 mars 2024 à 22:00

Benito Mussolini.jpg

Citations

« Au Parti, les ordres des combattants et des militants doivent réaliser un organisme d’une absolue pureté politique, digne d’être le gardien de l’idée révolutionnaire. »

— Benito Mussolini, Manifeste de Vérone (14 novembre 1943), éd. Kontre Kulture, 2020, p. 42


« [...] nous sommes la classe laborieuse en lutte pour la vie et la mort, contre le capitalisme. Nous sommes les révolutionnaires en quête d'un ordre nouveau. Dès lors, invoquer l'aide de la bourgeoisie en agitant le péril rouge est une absurdité. L'épouvantail authentique, le véritable danger, la menace contre laquelle il y a lieu de lutter sans relâche, vient de la droite. Cela ne nous intéresse en rien d'avoir la bourgeoisie capitaliste comme notre alliée contre la menace du péril rouge, car, même dans le meilleur des cas, celle-ci serait une alliée infidèle, s'efforçant d'obtenir que nous servions ses fins, comme elle l'a déjà fait plus d'une fois avec un certain succès. »

— Benito Mussolini, Manifeste de Vérone (22 avril 1945), éd. Kontre Kulture, 2020, p. 29


« Les négations fascistes du socialisme, de la démocratie, du libéralisme, ne doivent cependant pas faire croire que le fascisme entend ramener le monde à ce qu’il était avant 1789, date qui est considérée comme l’année d’inauguration du siècle démo-libéral. On ne revient pas en arrière. La doctrine fasciste n’a pas choisi de Maistre pour prophète. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 29


« On peut définir ainsi les régimes démocratiques : ceux dans lesquels on donne de temps en temps au peuple l’illusion d’être souverain, alors que la souveraineté véritable et effective réside en d’autres forces, parfois irresponsables et secrètes. La démocratie est un régime sans roi, mais avec de très nombreux rois parfois plus exclusifs, plus tyranniques et plus ruineux qu’un seul roi qui serait un tyran. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 26


« Le fascisme nie que le nombre, par le seul fait d’être le nombre, puisse diriger la société humaine ; il nie que ce nombre puisse gouverner au moyen d’une consultation périodique ; il affirme l’inégalité irrémédiable, féconde et bienfaisante des hommes, qui ne peuvent devenir égaux par un fait mécanique et extrinsèque tel que le suffrage universel. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 25-26
Benito Mussolini 2.jpg

« La guerre, seule, porte au maximum de tension toutes les énergies humaines et imprime une marque de noblesse aux peuples qui ont le courage de l’affronter. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 23


« Le fascisme est une conception religieuse, qui considère l’homme dans son rapport sublime avec une loi supérieure, avec une Volonté objective qui dépasse l’individu comme tel et l’élève à la dignité de membre conscient d’une société spirituelle. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 10


« La vie, par conséquent, telle que la conçoit le fasciste, est grave, austère, religieuse : elle est vécue tout entière dans un monde que soutiennent les forces morales et responsables de l’esprit. Le fasciste méprise la vie commode. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 9


« Le fascisme veut que l’homme soit actif et engagé dans l’action avec toutes ses énergies : virilement conscient des difficultés réelles et prêt à les braver. Il conçoit la vie comme une lutte, il estime qu’il appartient à l’homme de conquérir une vie vraiment digne de lui, en créant, avant tout, en lui-même, l’instrument (physique, moral, intellectuel) pour la construire. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 8


« [...] le fascisme considère la nation et la patrie, les individus et les générations se trouvant unis, dans une même tradition et dans une même mission [...]. »

— Benito Mussolini, La Doctrine du fascisme (1938), trad. Charles Belin, éd. Kontre Kulture, 2020, p. 7-8
Benito Mussolini et Adolf Hitler dans le Wolfsschanze à Rastenburg, 20 juillet 1944

Bibliographie

doctrine-fascisme-300x300.png