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Citations

« [...] le but final d’une nation n’est pas la vie. C’est la résurrection. La résurrection des nations, selon notre rédempteur Jésus-Christ. La création d’une culture, la civilisation ne sont que des moyens, pour arriver à la résurrection, et non pas des fins en elles-mêmes, comme on a pu le croire. La civilisation est le fruit des talents que Dieu a semés dans une nation et dont celle-ci aura à rendre compte. Le temps viendra où toutes les nations de la terre ressusciteront, avec leurs morts, leurs rois et leurs empereurs. Chaque nation aura sa place devant le trône de Dieu. [...]

La nation est une entité dont la vie se prolonge au-delà de la terre. Les nations sont des réalité spirituelles : elles vivent non seulement ici-bas mais aussi dans le règne de Dieu. »

— Corneliu Zelea Codreanu, La Garde de fer (1936), trad. Éditions Prométhée, éd. Éditions Prométhée, coll. « Omul Nou », 1972, p. 399


« Aux Roumains, Dieu a déterminé une destinée historique comme aux autres nations du monde. Il leur a réservé une mission. »

— Corneliu Zelea Codreanu, La Garde de fer (1936), trad. Éditions Prométhée, éd. Éditions Prométhée, coll. « Omul Nou », 1972, p. 400


« Avec la meilleure volonté du monde, l’homme politique devient, en régime démocratique, l’esclave de ses partisans. Ou il s’occupe de satisfaire leurs appétits personnels ; ou son groupe se désagrège. L’homme politique vit sous la tyrannie, sous les menaces permanentes de ses agents électoraux.

Mis dans l’alternative de choisir entre l’anéantissement du parti, œuvre de toute sa vie, et les réclamations de sa clientèle, l’homme politique choisit de satisfaire ses partisans. Seulement ce n’est pas de sa poche qu’il paie ; c’est de celle du pays. Il crée des postes, des fonctions, des missions, des sinécures, aux dépens du budget de l’État qui pèse sans cesse plus lourdement sur les épaules du peuple, de plus en plus épuisé. »

— Corneliu Zelea Codreanu, La Garde de fer (1936), trad. Éditions Prométhée, éd. Éditions Prométhée, coll. « Omul Nou », 1972, p. 387-388


« Douleur après douleur, souffrance après souffrance, supplice après supplice, blessure après blessure sur nos corps et dans nos âmes, tombe après tombe : ainsi vaincrons-nous. »

— Corneliu Zelea Codreanu, Journal de prison (posthume, 1951), trad. Faust Bradesco, éd. Pardès, coll. « Omul Nou », 1996 (ISBN 9782867140143), p. 50
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Citations sur Corneliu Zelea Codreanu

« Avant Corneliu Codreanu, la Roumanie était un Sahara peuplé. Ceux qui se trouvaient entre ciel et terre n’avaient aucun contenu, sinon l’attente. Quelqu’un devait venir. [...] En nous gémissait l’avenir. Dans l’un d’entre nous, il bouillait. Et il a rompu le doux silence de notre existence et nous a obligés à exister. Les vertus d’un peuple ont pris son aspect. La Roumanie, de tous ses efforts, se dirigeait vers la puissance. »

Emil Cioran, « Le Profil intérieur du Capitaine », 27 novembre 1940


« Le légionnarisme roumain d’un Codreanu, l’une des idéologies parmi les plus dignes d’intérêt en Europe, nous montre la possibilité d’aller au-delà de certaines barrières, que d’aucuns considèrent comme infranchissables : dans cette idéologie, la référence à la conception œcuménique de l’Église orthodoxe donne lieu à un idéal organique de vie nationale, en tant qu’unité de race et de fois, des vivants, des morts et de la loi de Dieu [...]. »

Julius Evola, « Approches de l’idée européenne » (1940), dans Essais politiques, trad. Gérard Boulanger et François Maistre, éd. Pardès, 2016 (ISBN 9782867140464), p. 111


Bibliographie

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