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Citationes

« Les Européens sont culpabilisés par une maladie intérieure. Les juifs ont peu de choses à voir là dedans. Donc pour moi, le révisionnisme n’est pas le combat essentiel. »

— « Entretien bidon : Guillaume Faye s’explique », Fabrice Bianco, Novopress, 15 août 2006 (lire en ligne)


« [...] le lobby immigrationniste est très loin d’être dirigé par l’intelligentsia juive ! »

— « Entretien bidon : Guillaume Faye s’explique », Fabrice Bianco, Novopress, 15 août 2006 (lire en ligne)


« Étant donné que les Juifs sont très influents dans les médias, il serait intéressant que les milieux identitaires fassent alliance avec eux pour s’opposer à l’islamisation et à l’immigration, en échange d’un abandon de tous les relents anti-juifs et de tous les soutiens aux révisionnistes. »

— Guillaume Faye, La Nouvelle question juive (2007), éd. Éditions du Lore, 2007, p. 234


« La thèse que je soutiens : s’il est vrai que les Juifs ont eu un poids et une influence extraordinaires (par rapport à leur nombre) dans tout l’Occident européen et américain depuis deux siècles, extrêmement négative pour certains, positive pour d’autres, cette influence juive est aujourd’hui en plein déclin. Les raisons sont multiples : mauvaise image de marque d’Israël, perte de puissance économique et financière des communautés juives en Europe et aux États-Unis, islamisation accélérée de l’Europe, décentrement du monde au profit de l’Extrême-Orient judéo-indifférent, et bien d’autres choses. »

— Guillaume Faye, La Nouvelle question juive (2007), éd. Éditions du Lore, 2007, p. 147-148


« Ces islamophiles de droite cultivent aussi un “traditionalisme perverti”, issu de lectures hallucinées d’Evola ou des délires de René Guénon et de Sigrid Hunke : croire que l’islam nous ramènera de vraies valeurs contre le matérialisme de la mondernité. »

— Guillaume Faye, La Colonisation de l’Europe. Discours vrai sur l’immigration et l’islam (2000), éd. L’Æncre, 2000, p. 142


« Ce concept de sous-développement est inique et stupide. C’est une invention du progressisme pour signifier que seul est humain et licite le mode de vie industriel. Une société rurale traditionnelle non-technomorphe n’est nullement barbare et “sous-développée. »

— Guillaume Faye, L’Archéofuturisme (1998), éd. L’Æncre, 2011, p. 167


« Il faut réconcilier Evola et Marinetti. C’est dans la pensée organique, rassemblante et radicale de Friedrich Nietzsche et de Martin Heidegger que prend sa source le nouveau concept d’archéofuturisme : penser ensemble la techno-science et la communauté immémoriale de la société traditionnelle. [...]

Globalement, le futur requiert le retour des valeurs ancestrales et ce, pour toute la Terre. »

— Guillaume Faye, L’Archéofuturisme (1998), éd. L’Æncre, 2011, p. 88


« [...] une Europe techno-bruxelloise élargie, composée d’une vingtaine de nations indécises, divisées, inégales, sera un magma apolitique soumis aux États-Unis et à l’OTAN, ouvert à la colonisation migratoire et à la concurrence sauvage des nouveaux pays industriels. »

— Guillaume Faye, L’Archéofuturisme (1998), éd. L’Æncre, 2011, p. 76


« Cette colonisation du Nord par le Sud apparaît comme un colonialisme mou, sans franchise, appuyé par des appels à la pitié, à l’asile, à l’égalité. C’est la “stratégie du renard” (opposée à celle du lion) notée par Machiavel. Mais en réalité, le colonisateur, qui se justifie par l’idéologie occidentale et “moderne” de sa victime, dont il feint d’adopter les valeurs, ne les partage nullement. Il est anti-égalitaire, dominateur (en se prétendant dominé et persécuté), revanchard et conquérant. Belle ruse d’une mentalité restée archaïque. Pour le contrer, ne s’agirait-il pas de redevenir mentalement archaïque et de se débarrasser du handicap démobilisateur de l’humanisme “moderne” ? »

— Guillaume Faye, L’Archéofuturisme (1998), éd. L’Æncre, 2011, p. 62-63


« [...] il faut envisager et imaginer dès maintenant l’après-chaos, le monde de l’après-catastrophe, selon l’archéofuturisme, d’après des critères radicalement autres que ceux de la modernité égalitaire. [...]

La modernité est passéiste, tandis que l’archaïsme est futuriste.

[...] l’humanité en reviendra aux valeurs archaïques, c’est-à-dire tout simplement biologiques et humaines (anthropologiques) : séparation sexuelle des rôles, transmission des traditions ethniques et populaires, spiritualité et organisation sacerdotale, hiérarchies sociales visibles et encadrantes, culte des ancêtres, rites et épreuves initiatiques, reconstruction des communautés organiques imbriquées de la sphère familiale au peuple, désindividualisation du mariage et des unions qui doivent impliquer la communauté autant que les époux, fin de la confusion entre érotisme et conjugalité, prestige de la caste guerrière ; inégalité des statuts sociaux, non pas implicite, ce qui est injuste et frustrant, comme aujourd’hui dans les utopies égalitaires, mais explicite et idéologiquement légitimée [...]. »

— Guillaume Faye, L’Archéofuturisme (1998), éd. L’Æncre, 2011, p. 10-67


L’un « des handicaps de la Nouvelle droite fut une mauvaise interprétation du gramscisme, par l’adoption de la stratégie du tout-culturel et du tout-intellectuel. [...] Pour être efficace, une action idéologico-culturelle doit s’appuyer sur des forces concrètes, politiques, dont elle est le prolongement complémentaire. »

— Guillaume Faye, L’Archéofuturisme (1998), éd. L’Æncre, 2011, p. 24


« L’homosexualité, le saphisme, le triadisme, l’érotisme adolescent ou extra-conjugal, qui font partie intégrante des comportements humains et qui s’inscrivent complètement dans la normalité physiologique d’une population ou d’une culture, ont été, et sont encore illicites aux yeux de l’idéologie régnante. Les droits des homosexuels, et dont ils se satisfont, ne sont pas des fonctions qu’on leur reconnaîtrait. Ces derniers sont des anormaux qu’on met dans un tiroir. Comme les handicapé [...]. Dans la Grèce classique, l’homosexualité étroitement normée et à ce titre pleine de sens et de force sociale, n’était pas une minorité. Elle représentait l’un des multiples aspects d’Eros. »

— Guillaume Faye, Sexe et Idéologie (1983), éd. Le Labyrinthe, 1983, p. 27


« Avec quelle stupidité barbare, de prétendus défenseurs des valeurs de l’Occident, de soi-disant parangons de la virilité perdue de nos nations, couvrent de lazzis ou d’opprobre les homosexuels. Les beaufs contre les pédés, les tantes, les travestis et les belles de nuit ? Préférons ces derniers, ne serait-ce que parce qu’ils ont plus d’esprit... L’obscénité se respire dans les sacristies, les confessions, radiophoniques, les sermons des pères-la-vertu, ou des freudiens hygiénistes, pas dans les facéties des travestis. »

— Guillaume Faye, Sexe et Idéologie (1983), éd. Le Labyrinthe, 1983, p. 
Guillaume Faye, Jared Taylor et Henry de Lesquen

Bibliographia

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