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Citationes

« Essayez de comprendre ce qu’ils veulent ? Ils veulent quoi ?... Ils en savent rien ! Les radicaux ? La monarchie ? Le retour “comme avant” ? La Sociale ? Les Phalanstères ? La guerre civile électorale ? Alexandre Dumas Dictateur ? Le Comité Mascurand ? Léon Blum ? Reynaud ? Les Jésuites ? La Proportionnelle ? Les Jeux de Loto ? Le grand Mogol ? Ils veulent quoi ? Ils savent pas eux-mêmes… Ils ont tout salopé, pourri, dégueulé à tort et à travers, tout ce qu’ils toucheront sera de même, dégueulasse, ordure en deux jours. Ils veulent rester carnes, débraillés, pagayeux, biberonneux, c’est tout. Ils ont pas un autre programme. Ils veulent revendiquer partout, en tout et sur tout et puis c’est marre. C’est des débris qu’ont des droits. Un pays ça finit en “droits”, en droit suprêmes, en droits à rien, en droits à tout, en droits de jaloux, en droits de famine, en droits de vent. »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941), éd. Nouvelles Éditions françaises, 1941, p. 49


« Le bourgeois ce qui voit dans de Gaulle, c’est la “Royal Dutch”, ses belles “Suez”. Il se dit voilà un homme placé aux sources de la Vie ! C’est le général de la Fortune ! Il nous remettra tout comme avant. Il nous foutra tout ça aux ordres ! On retouchera ses coupons ! On réaura son plein d’essence, on ressortira les dimanches, on reira aux gueuletons, on rira chier sous les bosquets dans la douceur des airs angevine, et ça sera l’orgueil qui remontera jusqu’aux cieux, de la belle odeur des toutes mieux nourries tripes au monde, chevalières aux Légions d’Honneur. »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941), éd. Nouvelles Éditions françaises, 1941, p. 41


« C’est la présence des Allemands qu’est insupportable. Ils sont bien polis, bien convenables. Ils se tiennent comme des boys-scouts. Pourtant on peut pas les piffer... Pourquoi je vous demande ? Ils ont humilié personne… Ils ont repoussé l’armée française qui ne demandait qu’à foutre le camp. Ah ! Si c’était une armée juive, alors comment qu’on l’adulerait ! »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941), éd. Nouvelles Éditions françaises, 1941, p. 40


« Tous les Français sont de gaulistes à de rares loustiques exceptions. De Gaulle ! Ils se pâment. Y a six mois ils entraient en crise quand on leur parlait des Anglais. Ils voulaient tous les refoutre à l’eau. Y en avait plus que pour Ferdonnet. A présent c’est tout pour Albion, par Albion, sous Albion... »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941), éd. Nouvelles Éditions françaises, 1941, p. 38


« Il est prédit que dans cent ans les blancs habiteront à New-York un quartier réservé : les nègres iront voir au Nouvel-Harlem les “pâles” danser la polka. »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941), éd. Nouvelles Éditions françaises, 1941, p. 33


« La démocratie partout et toujours, n'est jamais que le paravent de la dictature juive. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1943, p. 51
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« Affronter la juiverie mondiale mais c’est affronter le Vésuve avec un petit arrosoir, pour l’éteindre. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1943, p. 


« Ne croyez donc jamais d'emblée au malheur des hommes. Demandez-leur seulement s'ils peuvent dormir encore ?... Si oui, tout va bien. Ça suffit. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 429


« La vie c'est ça, un bout de lumière qui finit dans la nuit. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 340


« Plus de juifs que jamais dans les rues, plus de juifs que jamais dans la presse, plus de juifs que jamais au Barreau, plus de juifs que jamais en Sorbonne, plus de juifs que jamais en Médecine, plus de juifs que jamais au Théâtre, à l’Opéra, au Français, dans l’industrie, dans les Banques. Paris, la France plus que jamais, livrés aux maçons et aux juifs plus insolents que jamais. Plus de Loges que jamais en coulisse, et plus actives que jamais. Tout ça plus décidé que jamais à ne jamais céder un pouce de ses Fermes, de ses Privilèges de traite des blancs par guerre et paix jusqu’au dernier soubresaut du dernier paumé d’indigène. Et les Français sont bien contents, parfaitement d’accord, enthousiastes.

Une telle connerie dépasse l'homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer, sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s'accomplit.

Nous crevons d'être sans légende, sans mystère, sans grandeur. Les cieux nous vomissent. »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941), éd. Nouvelles éditions françaises, 1941, p. 159-163


« Comment se fabriquent, je vous le demande, les idoles dont se peuplent tous les rêves des générations d'aujourd'hui ? Comment le plus infime crétin, le canard le plus rebutant, la plus désespérante donzelle, peuvent-ils se muer en dieux ?... déesses ?... recueillir plus d'âmes en un jour que Jésus-Christ en 2000 ans ?... Publicité ! Que demande toute la foule moderne ? Elle demande à se mettre à genoux devant l'or et devant la merde !... Elle a le goût du faux, du bidon, de la farcie connerie, comme aucune foule n'eut jamais dans toutes les pires antiquités... Du coup on la gave, elle en crève... Et plus nulle, plus insignifiante est l'idole choisie au départ, plus elle a de chances de triompher dans le cœur des foules... mieux la publicité s'accroche à sa nullité, pénètre, entraîne toute l’idolâtrie... Ce sont les surfaces les plus lisses qui prennent le mieux la peinture. »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1943, p. 


« D'abord la France n'est pas une race. C'est un pays, une nation. A l'heure actuelle, il y a moins de Français que sous Louis XIV. Quatorze millions au plus sur quarante millions. Le reste, c'est du métis. C'est de l'italote, de l'espagnote, du germinote, etc. Les genres sont tellement mêlés qu'on pourrait retrouver à la rigueur une chose qui ressemblerait à une ethnie au nord de la Loire et encore... »

— Réponse de Céline à une enquête de Paris-Midi en 1943 sur le thème « La race française court-elle à son déclin ? »

— Louis-Ferdinand Céline cité par Alain Drouard, Une inconnue des Sciences Sociales, la Fondation Alexis Carrel 1941-1945, éd. Éditions de la Maison des sciences de l'homme, 1992, p. 134
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« La grande défaite, en tout, c'est d'oublier, et surtout ce qui vous a fait crever, et de crever sans comprendre jamais jusqu'à quel point les hommes sont vaches. Quand on sera au bord du trou faudra pas faire les malins nous autres, mais faudra pas oublier non plus, faudra raconter tout sans changer un mot, de ce qu’on a vu de plus vicieux chez les hommes et puis poser sa chique et puis descendre. Ca suffit comme boulot pour une vie toute entière. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 25


« Tout ce qui est intéressant se passe dans l'ombre, décidément. On ne sait rien de la véritable histoire des hommes. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 64


« Si les gens sont si méchants, c'est peut-être seulement parce qu'ils souffrent, mais le temps est long qui sépare le moment où ils ont cessé de souffrir de celui où ils deviennent un peu meilleurs. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 74


« L'homme n'est pas longtemps honnête quand il est seul, allez ! Vous verrez ! »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 130


« C'est effrayant ce qu'on en a des choses et des gens qui ne bougent plus dans son passé. Les vivants qu'on égare dans les cryptes du temps dorment si bien avec les morts qu'une même ombre les confond déjà. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 169


« Quand la haine des hommes ne comporte aucun risque, leur bêtise est vite convaincue, les motifs viennent tout seuls. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 117


« Faire confiance aux hommes, c’est déjà se faire tuer un peu. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 176


« Tant qu'il faut aimer quelque chose, on risque moins avec les enfants qu'avec les hommes, on a au moins l'excuse d'espérer qu'ils seront moins carnes que nous autres plus tard. On ne savait pas. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 242


« Les êtres vont d'une comédie vers une autre. Entre-temps la pièce n'est pas montée, ils n'en discernent pas encore les contours, leur rôle propice, alors ils restent là, les bras ballants, devant l'événement, les instincts repliés comme un parapluie, branlochants d'incohérence, réduits à eux-mêmes, c'est-à-dire à rien. Vaches sans train. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 261


« Il ne savait pas comment échapper aux hommes. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 290


« Il y a un moment où on est tout seul quand on est arrivé au bout de tout ce qui peut vous arriver. C'est le bout du monde. Le chagrin lui-même, le vôtre, ne vous répond plus rien et il faut revenir en arrière alors, parmi les hommes, n'importe lesquels. On n'est pas difficile dans ces moment-là car même pour pleurer il faut retourner là où tout recommence, il faut revenir avec eux. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 328


« Lorsque les français monteront une ligue antisémite, le président, le secrétaire et le trésorier seront juifs ! »

— Louis-Ferdinand Céline, Bagatelles pour un massacre (1937), éd. Denoël, 1943, p. 174


« Plus con que le Français ? Vraiment n'est-ce pas c'est impossible ? Et surtout l'intellectuel ? Littéralement enragé dès qu'il s'agit de déconner dans le sens juif. Un snob masochiste. Et y a pas de race ! Et y a pas de juif ! Et moi par-ci ! Je sais ceci ! Et peutt-puetti ! »

— Louis-Ferdinand Céline, Les Beaux Draps (1941), éd. Nouvelles éditions françaises, 1941, p. 


« On explique tout ce qu’on veut avec des “raisons et des mots”, on comprend, on se penche, on excuse et puis finalement on se fait dépecer à la guerre ou enculer de haut en large pendant la paix. Le Juif n’explique pas tout, mais il catalyse toute notre déchéance, toute notre servitude, toute la veulerie râlante de nos masses, il ne s’explique lui, son fantastique pouvoir, sa tyrannie effarante, que par son occultisme diabolique, dont ni les uns ni les autres ne voulez être conscients. Le Juif n’est pas tout mais il est le diable et c’est très suffisant. Le Diable ne crée pas tous les vices – mais il est capable d’engendrer un monde entièrement, totalement vicieux. »

— Louis-Ferdinand Céline, Lettre à Lucien Combelle, 18 ou 19 novembre 1938


« Personne ne lui résiste au fond à la musique. On n’a rien à faire avec son cœur, on le donne volontiers. Faut entendre au fond de toutes les musiques l’air sans notes, fait pour nous, l’air de la Mort. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 297


« Rabelais a vraiment voulu une langue extraordinaire et riche. Mais les autres, tous, ils l'ont émasculée cette langue, pour la rendre duhamélienne, giralducienne et mauriacienne. Ainsi, aujourd'hui, écrire bien, c'est écrire comme Amyot, mais ça, c'est jamais qu'une langue de traduction.

[...]

C'est ça, la rage moderne du Français : faire et lire les traductions, parler comme dans les traductions. Moi, y a des gens qui sont venus me demander si je n'avais pas pris tel ou tel passage dans Joyce. Oui, on me l'a demandé ! C'est l'époque... Parce que l'anglais, hein, c'est à la mode... Moi, je parle anglais parfaitement, comme le français. Aller prendre quelque chose dans Joyce. Non, je le parle pas, ce putain de langage qui me fait chier... Comme Rabelais, j'ai tout trouvé en français.

[...]

Il devait pas croire beaucoup en Dieu, mais il osait pas le dire. D'ailleurs, il a pas mal fini : il a pas eu de supplice. Ca a été après, le supplice, quand on a académisé et égorgé le français qu'il parlait, pour en faire une littérature de bachot et de brevet élémentaire.

[...]

Même Balzac a rien rescussité. C'est de l'académisme, plat, plat ! C'est la victoire de la raison. La raison ! Faut être fou ! On peut rien faire comme ça, tout émasculé. Ils me font rire. »

— Louis-Ferdinand Céline, entretien avec Guy Bechtel de 1958


« La chute de Stalingrad c’est la fin de l’Europe. Il y a eu un cataclysme. L’épicentre c’était Stalingrad. Là on peut dire que c’était fini et bien fini, la civilisation des Blancs. Alors tout ça, ça a fait du bruit, des bouillonnements, des fusées, des cataractes. J’étais dedans… j’en ai profité. J’ai utilisé cette matière, je la vends. Evidemment je me suis mêlé d’histoires — les histoires juives — qui ne me regardaient pas, je n’avais rien à en faire. Je les ai quand même racontées… à ma manière. »

— Louis-Ferdinand Céline, entretien avec Claude Sarraute, Le Monde, juin 1960


« On n'échappe pas au commerce américain. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 207


« La plupart des gens ne meurent qu'au dernier moment ; d'autres commencent et s'y prennent vingt ans d'avance et parfois davantage. Ce sont les malheureux de la terre. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 36


« Nous sommes, par nature, si futiles, que seules les distractions peuvent nous empêcher vraiment de mourir. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 204


« A-t-on jamais vu personne descendre en enfer pour remplacer un autre ? Jamais. On l'y voit l'y faire descendre. C'est tout. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 308


« La vérité, c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde, c'est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n'ai jamais pu me tuer moi. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 200


« Il n'y a de terrible en nous et sur la terre et dans le ciel peut-être que ce qui n'a pas encore été dit. On ne sera tranquille que lorsque tout aura été dit, une bonne fois pour toutes, alors enfin on fera silence et on aura plus peur de se taire. Ça y sera. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 327


« Les chiens ressemblent aux loups quand ils dorment. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 124


« Il y a un moment de la misère où l'esprit n'est plus déjà tout le temps avec le corps. Il s'y trouve vraiment trop mal. C'est déjà presque une âme qui vous parle. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 224


« C'est peut-être ça qu'on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 236


« L'esprit est content avec des phrases, le corps c'est pas pareil, il est plus difficile lui, il lui faut des muscles. C'est quelque chose de toujours vrai un corps, c'est pour cela que c'est presque toujours triste et dégoûtant à regarder. »

— Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932), éd. Gallimard, coll. « Folio », 1972 (ISBN 9782070360284), p. 272


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