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Citations

« [...] nous devons briser les chaînes de l’usure, c’est la seule issue pour échapper à l’asservissement économique menaçant le monde entier par l’internationale de l’or, ainsi qu’un des moyens pour bannir le poison du veau d’or qui avilit et contamine la mentalité de notre époque. »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 66-67


« L’Internationale de l’or trônant au-dessus des limbes célestes, assiste avec des yeux étincelants de cupidité et d’avidité aux agitations démentes de l’humanité. Et le temps approche où l’humanité tout entière servira enfin complètement le veau d’or, comme une esclave de l’intérêt. »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 63


« Le besoin intarissable d’intérêts du grand capital financier est la malédiction de toute l’humanité laborieuse ! »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 29


« Le veau d’or est l’esprit de la rapacité, de l’instinct de domination sans limite, la disposition uniquement appliquée à la rapine, au vol de tous les biens et trésors de ce monde ; c’est au fond la religion d’un type anthropologique qui ne professe que des idées matérialistes et terrestres. »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 16


« Le veau d’or est l’empire macabre, invisible, mystérieux des grandes puissances financières. Mais le veau d’or est aussi un état d’esprit ; c’est l’adoration de ces puissances financières par tous ceux qui sont contaminés par le poison du veau d’or. »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 16


« Le seul remède, le seul moyen radical pour guérir l’humanité, c’est de briser les chaînes de l’usure. »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 6


« L’idée du prêt à intérêt est l’invention diabolique du grand capital financier, elle rend à elle seule possible la vie parasitique et nonchalante d‘une minorité de ploutocrates sur le dos des peuples créateurs et de leur force de travail [...]. »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 6


« La religion du veau d’or est la maladie grave qui embrasse tout et prospère en toutes choses, religion dont souffrent notre monde civilisé actuel et même l’humanité tout entière. Elle est semblable à une épidémie dévastatrice, un poison dévorant qui afflige tous les peuples de la terre. »

— Gottfried Feder, Manifeste pour briser les chaînes de l’usure (1919), éd. Lire rend libre, 2021, p. 5


Bibliographie

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