Francis Parker Yockey, « Proclamation de Londres du Front Européen de Libération » (1949), dans Le Prophète de l’Imperium, éd. Avatar, 2004 (ISBN 9780954465230), p. 37-74.


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Introduction

Dans toute l’Europe s’éveille aujourd’hui une grande Idée impersonnelle, l’Idée de l’Imperium de l’Europe, l’union permanente et parfaite des peuples et des nations de l’Europe. Cette idée incarne tout le contenu de l’avenir, car si cette Idée n’est pas réalisée, il n’y aura pas d’avenir européen.

Ceux qui considèrent cette Idée, qui est exprimée en ce moment par le Front de Libération, comme un danger pour eux, désirent la détruire à tout prix. Ses ennemis sont, premièrement, les puissances anti-européennes en dehors de la Civilisation Occidentale qui, en ce moment de l’Histoire, dominent le monde entier, et deuxièmement, leurs laquais serviles à l’intérieur de la Civilisation Occidentale, les politiciens réactionnaires, ainsi que les forces des intérêts qu’ils représentent. Tous deux sont unis dans leur haine aveugle envers cette Idée jeune et vivante, qui libère irrésistiblement des énergies qui menacent d’engloutir les vieilles forces de la réaction, du capitalisme financier, de la guerre des classes, et du bolchevisme.

Cela s’adresse à toute la Civilisation Occidentale : aux colonies implantées partout dans le monde, et au cœur et à l’âme de l’Occident, la Terre-mère et l’Esprit-père. C’est l’Europe qui est le foyer de la force historique du monde. La profondeur et la force de cette âme et de ce corps dominent même ces puissances extra-européennes qui viennent de conclure une guerre temporairement victorieuse contre l’Europe, et qui s’engagent maintenant dans des préparatifs pour se faire la guerre, dans laquelle chacune espère pousser sa soif de conquête primitive et informe jusqu’à la maîtrise du monde. Dans les plans de leurs maîtres d’aujourd’hui, le vrai peuple américain et le peuple russe sont considérés seulement comme du matériel remplaçable. Dans ces deux populations, il y a de larges et profondes strates qui appartiennent intérieurement à Civilisation Occidentale et qui regardent le sol sacré de l’Europe comme leur origine, leur inspiration et leur foyer spirituel. À eux aussi, s’adresse cette proclamation.

Par une guerre gigantesque, par ta terreur, et par une persécution multiforme, les politiciens et leurs maîtres extra-européens ont cherché et cherchent à étouffer cette puissante Idée. Ils ont cherché en vain à la priver de parole et de tous les moyens d’expression, écrits ou oraux.

Ils témoignent ainsi eux-mêmes que le Front de Libération représente déjà une force en Europe. Contre l’Impératif organique du Front, ils tentent de rassembler toutes les forces du passé. Ils créent ainsi une rupture spirituelle qui oblige tous les hommes à choisir un camp ou un autre.

II est devenu nécessaire que ceux qui sont au service de cette Idée proclament à la Civilisation Occidentale les fondements spirituels et la signification du Front de Libération et de l’Imperium de l’Europe auquel le Front ouvrira la voie, car ce Front est la seule force créatrice de notre époque. Par conséquent les adhérents représentatifs du Front, venant de toutes les anciennes nations d’Europe, se sont rassemblés à Londres dans le but d’exposer leurs idées, leurs objectifs, et leur position dans le monde. Cette proclamation est publiée dans les langues allemande, anglaise, espagnole, italienne, française et flamande.

Section I : Les fondements historiques du Front de Libération

1. L’unité de la Culture Occidentale

Depuis l’origine, la culture occidentale a été une unité spirituelle. Cette base, réalité formatrice universelle, est totalement contraire à cette vision superficielle et ignorante de ceux qui prétendent que l’unité de l’Occident est une idée nouvelle, un concept technique qui ne peut être réalisé que sur une base limitée et conditionnelle.

Depuis son cri de naissance lors des Croisades, la Culture Occidentale avait un État, avec l’Empereur à sa tête, une Église et une religion, le christianisme médiéval, avec un Pape autoritaire, une race, une nation, et un peuple qui se sentait lui-même distinct et unitaire, et était reconnu comme tel par toutes les forces extérieures. Il y avait un style universelle, le gothique, qui inspirait et nourrissait tout l’art depuis l’artisanat jusqu’aux cathédrales. Il y avait un code éthique pour la classe porteuse de Culture, la chevalerie occidentale, fondée sur le sentiment purement occidental de l’honneur. Il y avait une langue universel, le latin, et une loi universelle, la loi romaine. Même pour l’adoption de choses plus anciennes, non-occidentales, l’Occident était unitaire. Il les transformait en une expression de son âme propre, et il les universalisait.

Plus important que tout autre chose, cette Culture se percevait elle-même comme une unité de puissance face à toutes les forces extérieurs, que ce soient des Barbares comme les Slaves, les Turcs et les Mongols, ou des civilisés comme les Maures, les Juifs et les Sarrasins. Même alors, des différences nationales embryonnaires existaient à l'intérieur de l’Occident, mais ces différences n’étaient pas perçues comme des oppositions, et ne pouvaient absolument pas devenir à cette époque des foyers de lutte pour la puissance. Un chevalier occidental combattait toujours pour sa Patrie, que ce soit contre le Sarrasin ou le Turc sur les marches orientales de l’Allemagne, contre le Maure en Espagne, en Italie ou en Sicile, ou contre le Sarrasin au Levant. Les forces extérieures reconnaissaient aussi cette unité internet de l’Occident. Pour l’Islam, tous les Occidentaux quels qu’ils soient étaient identifiés aux Francs, les giaours.

Cette unité culturelle supérieure réunissait dans ses riches possibilités les diverses Idées-Nations qui devaient si bien se réaliser dans l’histoire occidentale, car c’est clairement une partie du plan divin qu’une Haute Culture créée, en tant que phases de son propre épanouissement, non seulement de plus hautes unités esthétiques, des styles de musique, de peinture, de chant ; de plus hautes unités religieuses et philosophiques, des écoles de mysticisme et de théologie ; de plus hautes écoles de connaissance de la nature, de technique et de recherche scientifique ; mais aussi de plus hautes unités de puissance à l’intérieur d’elle-même : l’Empereur contre la Papauté, les féodaux contre l’Empereur et le Pape, la Fronde contre le Roi, la Nation contre la Nation. À l’époque médiévale, la lutte inter-Culturelle pour le pouvoir entre l’Empereur et le Pape était toujours strictement subordonnée, par la conscience universelle, à la tension extérieure avec les non-membres de la Culture, les barbares et les païens. Les nations existaient alors, mais pas comme des unités de puissance, pas comme des organismes politiques. Les membres des nations se sentaient différents les uns des autres, mais les différences n’étaient en aucun cas déterminantes pour toute l’orientation de la vie. Une attaque slave, turque, ou maure contre l’Europe se heurtait à des forces venues de toutes les parties de l’Europe.

La première expression politique de l’Europe fut les Croisades, dans lesquelles l’Europe fut une unité de puissance, agissant contre le monde extérieur dans une affirmation unitaire de son âme qui venait de naître. En même temps que cette forme de politique surgit la tension, qui dura trois siècles à l’intérieur de la Culture, entre les factions jumelles de l’Empereur et du Pape. Et ensuite, à partir du milieu du XIIIème siècle, commença la révolte des grands barons et évêques contre le pouvoir absolu de l’Empereur et du Pape. Ce fut un pas de plus, s’éloignant de l’unité culturelle première, mais il n’affecta en aucun cas la grande idée essentielle de l’unité culturelle première, mais il n'affecta en aucun cas la grande idée essentielle de l’unité de l’Occident vis-à-vis des forces extérieures à la Culture. Ainsi, pendant cette période, le Pape décréta que l’arbalète était une arme barbare et interdit son usage contre des membres de la Chrétienté Occidentales, mais l’approuva expressément contre les barbares et les païens.

La différenciation politique croissante à l’intérieur de la Culture était simplement le processus organique de la réalisation des multiples possibilités de l’âme de la Culture Occidentale. Le processus entier était organiquement nécessaire, et donc divinement nécessaire, car l’âme d’une Haute Culture est une émanation directe de la pensée de Dieu. Le développement continua par la rupture de l’unité religieuse de l’Occident, avec la Renaissance, la Réforme et la Contre-Réforme. Ces phénomènes, religieux à l’origine, nous montrent la vraie signification du politique : dès qu’un mouvement ou une idée supra-personnelle s’élève à une intensité où cela implique la question de la vie ou de la mort, elle devient immédiatement politique, quelle que soit son origine, dans un domaine non-politique. Dès ce moment, les adversaires sont des États, des organismes politiques, quelle que soit la manière dont ils se décrivent eux-mêmes, et la manière de diriger l’organisme est la manière politique : diviser le monde en amis et en ennemis ; rechercher la puissance, et non la vérité ; rechercher des alliances, des guerres, et des négociations, et non la conversion et le salut. C’est la leçon des siècles de la Réforme comme celle des siècles du conflit entre le Pape et l’Empereur. En même temps que la rupture de l’unité religieuse, qui se transforma elle-même en lutte politique, survint la montée de l’État dynastique, et le début de guerres intra-Culturelles à grande échelle entre les États Occidentaux. À nouveau, le processus de désunion à l’intérieur de la Culture fut limité. Les guerres inter-européennes qui eurent lieu furent entièrement conditionnées par le grand Pacte, perçu et compris par tous, selon lequel les États européens appartenaient au même monde culturel. Ainsi ces guerres n’allèrent jamais jusqu’à l’annihilation politique de l’adversaire. Elles étaient menées seulement jusqu’au point où l’enjeu limité qui avait occasionné la guerre pouvait devenir l’objet de négociations pouvant satisfaire les deux adversaires.

Le gain d’une portion de territoire, ou la reconnaissance d’un héritage, tels étaient les enjeux limités de ces guerres intra-Culturelles. L’échelle de ces guerres dynastiques s’accrût graduellement, jusqu’à ce que la forme dynastique de la politique se termine, vers la fin du XVIIIème siècle, lorsqu’une nouvelle forme de lutte intra-Culturelle pour la puissance émergea.

Mais pendant les siècles de la politique dynastique, avec ses guerres limitées, et sa préservation conséquente de l’unité culturelle, l’autre type de politique, avec son autre forme de guerre, se poursuivit entre les unités politiques Occidentales et les formes extérieures : la politique absolue. Ces guerres n’étaient pas conditionnées par le fait d’une appartenance mutuelle à une Haute Culture, et à la présence d’un code d’honneur commun, car les barbares et les païens ne partageaient pas le sentiment des obligations chevaleresques de l’Occident.

Les guerres hussites, de 1420 à 1436, montrèrent la nature de la guerre entre un peuple de Culture et un peuple barbare. Pendant seize ans, les armées hussites se répandirent dans de larges régions de l’Allemagne, brûlant, ravageant, tuant et détruisant. Cette explosion slave nihiliste était totalement séparée de tout but constructif, et était donc simplement une expression précoce de ce qu’on appelle aujourd’hui le Bolchevisme, l’esprit de négation et de destruction, partout où il se manifeste qui recherche l’annihilation complète de tout ce qui est Occidental. Pendant les siècles du gothique et du baroque, ce furent surtout l’Allemagne et l’Espagne qui protégèrent le corps de l’Occident, et le sauvèrent des horreurs barbares qui auraient été son sort si les forces extérieures l’avaient emporté.

2. L’Âge du matérialisme

Pendant les siècles de sa croissance et de son déploiement, la Culture Occidentale s’accrût en puissance et en maturité. Les aspects intérieurs de la vie reculèrent progressivement devant les aspects extérieurs, jusqu’à ce que l’Occident se trouve, à la fin du XVIIIème siècle, devant la crise la plus profonde de son histoire. Comme la question était grande, fondamentale et intense, elle devint immédiatement une question de vie et de mort, c’est-à-dire une question politique. La grande crise prit sa forme politique avec la Révolution Française. Comme toujours quand une idée s’élève à l’intensité politique, elle absorbe tout le reste, et concentre toute l’attention et tous les efforts humains dans la lutte pour le pouvoir. La Révolution, cependant, n’était pas seulement française, mais européenne.

Cette révolution totale marqua victoire de la démocratie sur l’aristocratie, du parlementarisme sur l’État, de la masse sur la qualité, de la Raison sur la Foi, des idéaux d’égalité sur la hiérarchie organique, de l’Argent sur le Sang, du Libéralisme, du pluralisme, du libre capitalisme, et de l’esprit critique, sur les forces organiques de la Tradition, de l’État et de l’Autorité et, en un mot, de la Civilisation sur la Culture. Le rationalisme et le matérialisme étaient les communs dénominateurs de toutes les nouvelles idées qui se révoltaient contre le vieil ordre de pensée, d’État d’économie, de société, de guerre, et de politique. La métaphysique devait être une question de poids et de mesures ; le gouvernement devait consister à compter les têtes ; l’économie devait être entièrement réduite au commerce de l’argent ; la structure de la société devait être conditionnée par l’argent ; les relations internationales de la guerre et de la politique devaient être l’apothéose de l’égoïsme national, avec une complète indifférence pour la grande unité Culturelle globale dont les nations sont de simples manifestations séparées.

Même aujourd’hui, après plus d’un siècle de désagrégation, les liens traditionnels entre les élites européennes, porteuses de Culture, sont intacts. Et ces liens ne sont pas plus faible, mais plus fort avec le temps, car la direction de notre développement spirituel a changé, et une seconde grande transformation mondiale est apparue dans la vie de l’Occident.

Nous sommes maintenant au milieu du second grand tournant de la maturité de la Culture. Le bruit et les cris de la démocratie et du matérialisme se sont éteints ; le libéralisme est devenu une tyrannie stupide masquant une dictature de l’argent, mauvaise et anonyme ; les Parlements discutent dans le vide, et ce qu’ils disent n’a plus d’importance ; les critiqueurs se sont dissous dans leur propre acide, et ne peuvent plus croire, ni en leurs méthodes, ni en leurs résultats ; le capitalisme rapace a dévoré ses propres fondations ; la finance a transformé les nations en d’immenses toiles d’araignées de dettes dans lesquelles toute la population occidentale est attrapée ; par-dessus tout, le chauvinisme fanatique a détruit toutes les anciennes patries et les a livrées à l’occupation des forces extra-européennes, celles de la barbarie et des déformeurs de Culture.

Tout cela est l’héritage de l’Âge du Matérialisme. Les serviteurs de cet Age continuent à appliquer ses méthodes démodées et stériles aux taches vivantes du temps présent. Mais même si leurs mains mortes et rigides s’accrochent aux rênes du pouvoir, la révolte continue. Ils ne peuvent pas construire un mur contre le Destin ; ils ne peuvent pas ordonner à rHistoire et au Temps de s’arrêter dans leurs marques. L’affirmation du parlementarisme libéral•capitaliste-démocratique selon laquelle -il a un droit à un règne illimité et éternel est un mensonge organique. Les méthodes de l’Âge matérialiste, ses idéologies antiques et sa stérilité cadavérique, ne peuvent même pas survivre, sauf en tant qu’instruments des forces extra européennes, insensibles à ia force interne du destin européen.

Même quand le cadavre du Matérialisme tente de détourner le sang vivant des forces nouvelles et vitales dans ses artères durcies, s’enfonce plus profondément dans la froide rigidité de la mort. Contre ce corps se dresse maintenant la Résurgence de l’Autorité, la plus haute incarnation des anciennes vertus, éternellement jeunes et viriles, de la Discipline, de la Responsabilité du Devoir, de la Loyauté, et de la Foi. À la face du chaos du capitalisme individualiste-libéral, elle jette sa demande d’un Ordre éthique-socialiste supra-personnel.

Au-dessus des idéaux égalitaires de la Démocratie et du chaos du pluralisme. national et international, se dresse maintenant l’impératif de la Hiérarchie et de l’Imperium. À la place de l’étatisme borné et suicidaires l’Idée de la Culture-État-Nation-Race-Peuple monolithique de l’Europe est conçue comme le prélude à la plus grande tâche parmi toutes : l’expression de l’absolue volonté de l’Occident pour la politique impériale illimitée.

Le résultat ultime de ce combat gigantesque nous est connu, car nous avons déjà vu ce combat du Passé pour retarder l’Avenir. De 1800 à 1850, les partisans réactionnaires de l’alliance négative contre la démocratie aux idées et aux méthodes du Passé pour empêcher la marche de l’Avenir. Mais c’étaient les démocrates de cette époque qui représentaient la vraie idée du temps, et l’Histoire ne retourne pas en arrière. La Sainte Alliance devait échouer, quelle qu’ait été la puissance matérielle mise à sa disposition, car les armées et les canons ne peuvent pas combattre une Idée.

En l’espace d’un simple siècle, les démocrates, les égalitaristes, les libéraux, les critiqueurs, les idéologues et les parlementaristes sont devenus les opposants les plus radicaux à l’Esprit de l’Époque, car cette Époque n’est plus celle de l’Argent de la Démocratie, et de l’Égalité, mais celle de l’Autorité, de la Discipline et de la Foi.

Pas plus que les Libéraux-démocrates ne pouvaient être éliminés pour toujours en 1850, ils ne peuvent nous éliminer en 1950. Même quand les tyrans libéraux-démocrates exercent leur pression économique, ils ont mauvaise conscience. Ils le montrent par leur hésitation entre la cruauté insensée et la corruption maladroite, par leur propagande infantile et par leurs vaines flatteries. Mais pour les porteurs d’une mission supra-personnelle, aucune soumission n’est possible, ni à la terreur ni au compromis, car cette mission émane directement de la réalité ultime de Dieu. Aux matérialistes-libéraux-communistes-démocrates, les ennemis intérieurs de l’Europe, nous présentons une seule demande inaltérable : ils doivent disparaître de la face de l’Histoire.

Contre cet ennemi intérieur et contre l’ennemi qu’il incarne, nous présentons maintenant nos accusations devant toute l’Europe.

Dans trois domaines la démocratie-libérale-communiste-matérialiste a blessé le corps de l’Europe et contrecarré son Destin :

  1. — à l’intérieur des nations européennes,
  2. — dans les relations entre les nations européennes, et
  3. — dans les relations entre l’Europe et le reste du monde.

Section II : Le chaos du présent

A. La subversion des nations

1. La lutte des classes

Dans sa première phase, la grande révolution du Nationalisme et du Matérialisme se tourna contre les deux pôles de la vie Culturelle, les forces de l’Autorité dans la vie spirituelle et dans la vie politico-sociale, l’Encyclopédisme, le Jacobinisme, la Franc-Maçonnerie et le Républicanisme sont quelques-unes de ses premières formes. Ils combattirent tous les signes du rang, et tout ce qui avait grandi organiquement à travers les siècles. L’esprit de cette révolte pénétra la classe dirigeante dans plusieurs pays, particulièrement en France, et ce fut cette faiblesse « en haut » qui rendit possible la Révolution et la Terreur en 1793. La canaille ne se déchaîne jamais sans l’approbation des éléments dirigeants ; ce fut tout aussi vrai en 1789 qu’en 1944, avec la conquête américaine de l’Europe.

Le culte de la Raison appliqué à l’État et à la Société institua l’épreuve de la quantité comme seule mesure de la légitimité. Ni le rang, ni le talent, ni le génie ou la capacité, mais seul le nombre comptait pour les matérialistes. La source du pouvoir, selon les démocrates doctrinaires, était dans la masse de la population la plus grande, la plus indifférenciée, et non dans la classe spirituellement différenciée, née avec la mission d’accomplir la tâche vitale de ta Nation, et de réaliser l’Idée nationale.

Aveuglément, les idéologues démocrates continuèrent leur œuvre d’aplanissement et de destruction. Pendant le siècle 1850-1950, ils réussirent effectivement à désagréger l’État et la société. Que réalisa l’ordre ancien ? Rien de ce que les démocrates de la première période avaient recherché. Le nouveau centre de gravité de la VIe était dans l’économie, et la rivalité économique dominante était entre le capitaliste industriel et le financier. Tout l’idéalisme et tous les sacrifices des égalitaristes avaient seulement réussi à rejeter une aristocratie organique et à la remplacer par une ploutocratie sordide et vulgaire. À l’intérieur de tous les pays commença alors la nouvelle forme de lutte des classes, la lutte entre des groupes économiques au lieu de la lutte entre des groupes sociaux. Les différences engendrées par la qualité et la tradition avaient été désagrégées et le matérialisme économique fournissait maintenant le cadre des formes du combat.

Par la spéculation et les manipulations des échanges, le capitaliste financier attaqua les formes productives de la propriété de manière à ce qu’elles puissent toutes travailler pour lui, le maître invisible et inconnu, contrôlant la vie économique des continents à travers son réseau universel de dettes et d’intérêts. Les exigences du combat forcèrent les industriels à s’emparer de toutes les sources possibles de profit, et à accroître ainsi l’oppression déjà cruelle des travailleurs et de leurs familles.

Le code d’honneur dominant était maintenant celui de l’égorgeur, et la vie économique des nations était une vile course au profit. Dans cette course au profit entraient maintenant de nouveaux concurrents. D’abord il y eut le prolétariat, qui s’allia alors avec le capitaliste financier pour attaquer l’industriel du dessus et d’en bas. Le conscrit prolétarien reçut des mains de ses dirigeants, non-prolétaires et autoproclamés, une doctrine, une organisation et une tactique. La doctrine était que toute l’histoire du monde n’était qu’une continuelle lutte des classes, avec l’argent pour seule fin et seul but. Le simple fait que cette idée repoussante et grotesque pouvait être formulée est en lui-même le seul commentaire nécessaire au genre de monde que créât le Libéralisme. La forme d’organisation était le syndicat, et la tactique était la grève. Tous trois, la doctrine, l’organisation et la tactique, étaient entièrement économiques, purement matérialistes et capitalistes. Bien qu’elles se proclamaient opposées au capitalisme, elles pensaient dans son cadre, partageaient ses buts et combattaient avec ses armes.

Au lieu de manipuler le cours des produits, comme l’industriel, ou le cours de l’argent, comme le capitaliste financier, ils manipulaient le cours du travail. Le dirigeant ouvrier devint alors le troisième membre de la hargneuse trinité capitaliste.

2. L’émergence du Juif

Plus important que ces concurrents domestiques, il y avait un nouvel élément : l’étranger à la Culture. Son entrée dans les affaires occidentales fut un résultat direct de la victoire du Rationalisme et du Matérialisme. Comme seule la quantité comptait, alors évidemment la qualité d’un homme n’avait pas d’importance. Le fait qu’il venait d’une Culture différente, et que, par conséquent, il se sentait membre d’une race, d’un peuple, d’une nation, d’un Etat, d’une religion, d’une société différents — cela ne comptait pas pour les doctrinaires libéraux. Ils partaient avec ferveur de 1’« Humanité » et souhaitaient fraterniser avec elle, ne pensant guère qu’en dehors de la Culture Occidentale il n’y avait pas de sentiment similaire, mais seulement une sombre jalousie, de l’indifférence, ou du ressentiment. L’idéologie libérale prévalut, et à partir de ce moment les Rothschild, les Ricardo, les Marx, les Lasalle, les Bebel, les Dreyfuss, les Guggenheim, les Loeb, les Trotski, les Stavisky, les Krueger, les Baruch, les Frankfurter et les Blum entrèrent dans la vie publique de l’Occident.

La Culture-État-Nation-Religion-Race-Peuple du Juif est le produit d’une Culture qui était déjà achevée et rigidifiée à l’époque de notre période médiévale. Au temps où nous émergions juste de l’état primitif, ces étrangers-à-la-Culture se dispersèrent à travers l’Europe. Le goût de l’Argent, considéré comme mauvais par l’Occident, était le point fort du Juif. Le prêt à intérêt était interdit aux Occidentaux par leur religion, et le Juif ne fut pas long à s’emparer du monopole de l’usure que cela lui conféra.

Dans la Culture dont le juif était un produit, une nation était une unité de croyance, entièrement indépendante de la notion de territoire, de patrie. Dispersé dans toute l’Europe, le Juif considérait naturellement tous tes Occidentaux comme des étrangers. Dans le monde occidental du christianisme médiéval, de la chevalerie, de la piété, et de la simple économie agricole, il n’y avait pas de place pour cet étranger sans patrie et déraciné avec sa Torah et son Talmud, son argent et son cynisme, son éthique dualiste, une pour son propre peuple, et une autre pour les goyim. Le Juif créa son propre ghetto comme un symbole de son complet isolement intérieur vis-à-vis de son environnement. Le sentiment général de l’Époque médiévale religieuse était que le Juif était une création du Diable, qui l’avait désigné pour mener son commerce de l’usure.

Entre les membres de la Culture Occidentale et cet élément qui vivait dans et sur le corps de l’Occident, mais qui ne partageait et ne contribuait d’aucune manière à son développement, apparut une haine et une oppression mutuelles. Les Croisés massacrèrent des communautés juives entières sur la route du Levant, ainsi qu’au retour. Les protestations contre l’usure entraînèrent le pillage et le meurtre des Juifs. Les papes et les philosophes de la Scolastique dénoncèrent le Juif. Tous les rois occidentaux, à un moment ou à un autre, expulsèrent toute la population juive de leurs royaumes. Les Juifs furent pendus en masse en représailles contre leur usure et leurs contrefaçons. Toute possibilité d’assimilation du parasite par l’hôte, qui aurait pu exister, fut à jamais rendue impossible par le ressentiment et le désir de revanche infiniment profonds qui se développèrent dans le Culture-État-Nation-Race-Peuple du Juif.

Entre lui et son environnement occidental, il n’y avait pas de lien profond. Il regardait tout le développement occidental d’un œil froid, l’œil du spectateur calculateur qui cherche seulement son propre avantage. Shylock est le symbole du Juif dans la Culture Occidentale, l’usurier comptant son argent et accumulant sa rancœur. Pendant presque un millier d’années, le Juif ravala sa bile et attendit son heure, et alors finalement sa chance apparut. Avec l’arrivée du matérialisme, du capitalisme, de la démocratie, et du libéralisme, une grande vague d’excitation parcourut le monde juif. Le Juif avait vu les potentialités de ces idées et avait favorisé leur croissance de toutes les manières. Les Illuminés de Bavière et toute leur descendance franc-maçonne furent infiltrés par le Juif et transformés en instruments de sa politique de revanche. Pour le Juif, le grand attrait de tous ces mouvements occidentaux était leur aspect quantitatif, et qu’ils tendaient donc à briser l’exclusivisme de l’Occident, qui l’avait maintenu en dehors de ses luttes pour le pouvoir, et confiné dans son ghetto, rêvant à sa revanche après des siècles de persécutions. À partir de ce moment, il lui fut généreusement accordé le même statut spirituel que les Occidentaux dans leur propre Culture, et le même statut civique que les Occidentaux dans leurs propres États-nations. Bien sûr, il conserva son propre exclusivisme et sa propre vie publique, car les vœux de Nouvel An du Libéralisme humanitarisme, amour fraternel, « tolérance » et tout le reste, étaient à sens unique. Ils étaient une phase de notre développement et ne pouvaient pas trouver d’écho dans l’organisme juif, qui était passé depuis longtemps au-delà de tout développement, comme les Chinois, les Hindous et les Musulmans.

Dans la finance, le commerce, la société, l’éducation, les lettres, la diplomatie, le Juif à présent progressait régulièrement, organisme fermé à l’intérieur d’un organisme ouvert. Alors que les Occidentaux appliquent le test de capacité, le Juif choisit ses associés et ses subordonnés sur la base de leur appartenance à sa Culture-État-Nation-Race, ou a une de ses sociétés secrètes qui s’étendent horizontalement à travers tes nations occidentales.

En 1858, le Juif put montrer effectivement sa capacité à diriger le pouvoir des États Occidentaux dans son intérêt, lors de l’affaire Mortara. Pendant tout le siècle, le Juif intervint constamment dans les affaires intérieures et extérieures de tous les États-nations européens. À l’intérieur de chaque pays, il cherchait à imposer la politique qui lui donnerait finalement la maîtrise complète de la Civilisation Occidentale. Ainsi, en Angleterre il était impérialiste et libre-échangiste, en Allemagne et en Autriche il était libéral et social-démocrate, en France il était libéral ou communiste.

Pendant la dernière partie du XIXème siècle, le Juif se lança dans l’invasion de l’Amérique, quand le mot circula dans la Culture-État-Nation-Race juive, que les opportunités étaient ici aussi grandes et la résistance plus faible, à cause de l’absence de hautes traditions. En Europe, il a été impossible pour le Juif d’annihiler la Tradition, qui opposa constamment une barrière forte et silencieuse, mais en Amérique, à cause de son origine coloniale, il n’y avait jamais eu de créativité ni d’exclusivisme, et il n’y avait pas de barrière contre le Juif. L’Amérique était plus profondément désagrégée par le rationalisme, le matérialisme, le libéralisme et la démocratie que n’importe quel pays européen, parce qu’une colonie n’a pas, et ne peut pas avoir, la profondeur et la continuité spirituelles de la terre-mère de la Culture. En résultat, c’est en Amérique que le succès du Juif fut le plus grand, et pendant l’année 1933, tout le continent américain passa sous le contrôle du Culture-État-Nation-Race-Peuple juif.

La présence d’un étranger à la Culture génère des phénomènes spirituels, économiques et sociaux d’un genre qui ne pourrait jamais surgir parmi les éléments et les événements domestiques. Ces phénomènes sont des manifestations d’une maladie de la Culture et surgissent forcément quand des groupes humains qui ne partagent pas la même Culture sont en contact. Quand l’un des groupes appartient à la Culture et pas l’autre — le cas des Nègres dans la colonie Boer, ou des Nègres et des Indiens au Brésil — la relation est simplement du parasitisme de la Culture. Cet état maladif déplace les membres de la Culture et a un effet lentement stérilisant sur l’organisme culturel.

La situation est plus grave quand l’étranger à la Culture intervient dans les affaires publiques et spirituelles de l’hôte, car alors il doit nécessairement déformer la vie de l’hôte, pervertissant et frustrant ses propres tendances pour les mettre au service de ses idées étrangères. Le Juif est le seul étranger à la Culture qui exerce actuellement cette déformation de la Culture au détriment de la vie de la Civilisation Occidentale.

Les éléments domestiques malades à l’intérieur de la Culture, qui souhaitent conserver les idées et les méthodes démodées du Passé et combattre l’esprit créatif qui accomplit une mission culturelle, sont les forces de Retardement de la Culture. Celles-ci se sont mises au service des déformeurs de Culture. En réalité ces éléments désirent simplement diriger, mais en sont eux-mêmes incapables, et par conséquent consacrent leurs vies à s’opposer aux grandes Idées formatrices, aux courants spirituels créatifs, et aux dirigeants visionnaires et géniaux. Ce sont les Churchills, les Spaaks, les de Gaulles, les rejetés de la haute Histoire qui se mettent au service des forces de négation et de destruction. La forme la plus critique de la maladie de Retardement de la Culture est la situation dans laquelle elle cherche à empêcher la réalisation de l’Idée de l’Avenir, même au prix de la honte consistant à s’allier avec les forces extérieures, à se dégrader en devenant leur vassale, et au risque de détruire toute la Culture. Avant de montrer l’effet des éléments malades sur les relations externes de la Culture, il faut résumer leur effets internes.

3. La dégénérescence sociale

Les forces du rationalisme, du matérialisme, de l’athéisme, du jacobinisme, de la démocratie et du libéralisme devinrent toujours plus radicales dans leurs demandes pendant ce siècle. Leur produit le plus intransigeant fut (e communisme. Les valeurs dominantes du communisme sont identiques à celles de ia démocratie libérale : le communisme prêche aussi le sens économique de la vie, la supré- matie de Itindividu, la sublimité du bonheur la doctrine du paradis sur Terre, la supériorité du type d’homme le plus bas, le matérialisme, l’esprit critique, l’athéisme, l’intellectualisme, la haine de l’autorité, le suicide racial, le féminisme et le pacifisme. La seule différence en pratique entre la démocratie libérale et le commu- nisme était que le communisme fut une intensification de ces croyances jusqu’au point où elles devinrent politiques. Le libéra- lisme était anti-poiitique, et espérait gagner par des sentiments amollissants, mais le communisme était empli d’une haine intense qui demandait à s’exprimer parla tutte des classes.

Tous les aspects de la décadence sociale furent pénétrés par le déformeur de Culture, qui comprit bien leur valeur pour son pro- gramme de domination. En même temps qu’il répandait et soutenait toutes ces formes de décadence sociale pour les nations blanches il s’efforçait soigneusement d’en préserver son propre Culture-Etat-Nation-Race-Peuple. Ce fut une caractéristique invariable de la tactique du Juif, lui-même porteur de la maladie de ta Culture, que de s’allier instinctivement avec toutes les formes, théories, doctrines et pratiques de décadence dans tous les domaines de la vie.

La dégradation de la vie sociale ne survenait pas naturellement, elle était planifiée, délibérément encouragée et répandue, et la désagrégation systématique de toute la vie de l’Occident se poursuit aujourd’hui.

Les instruments de cette attaque sont les armes dela propagande : la presse, la radio, le cinéma, le théâtre, l’éducation. Actuellement, en Europe, ces armes sont contrôlées presque entièrement par les forces de la maladie de ia Culture et de la dégénérescence sociale. La source principale de la propagande est le cinéma, et depuis sa capitale d’Hoilywood, le Juif vomit une interminable série de films pervertis pour dégrader et corrompre la jeunesse de ’*Europe, comme il a si bien réussi à le faire avec la jeunesse de PAmérique. Parallèlement, il inspire une littérature vicieuse dans le journalisme. les romans et les pièces qui prêchent le même message de destruc- tion des instincts -individuels sains, de la Vie familiale et sexuelle normale, de désagrégation de l’organisme social en un tas de grains de sable humains, errants et se heurtant.

Le message d’Hollywood s’exprime totalement dans le modèle de l’individu isolé, sans identité et sans racines. coupé de ’la société et de la famille, dont la vie est simplement la recherche de l’argent et du plaisir érotique. Ce n’est pas l’amour normal et sain d’un homme et d’une femme liés par de nombreux enfants que prêche Hollywood* mais un amour pour soi-même, érotique et maladif, l’amour sexuel de deux grains de sable humains, superficiel et transitoire. Devant cette valeur, la plus haute de toutes celles de Hollywood, tout le reste doit rester à l’écart : mariaget honneur. devoi% patriotisme, austérité* don de soi-même à un but plus élevé. Cette horrible déformation de la vie sexuelle a créé la manie de l’érotisme qui obsède ses millions de victimes en Amérique, et qui a maintenant été importée sur la terre-mère de l’Europe parTinvasion américaine.

Ce ne sont pas seulement les individus qui sont les victimes de cette technique de dégénérescence, mais aussi la famille et la race qui sont dissoutes partout où elle les touche. Le divorce remplace le mariage, Pavortement remplace la naissance, la maison acquiert une raison d’être purement commerciale, la famille devient le champ de bataille des luttes individuelles pour l’avantage personnel. L’érotisme pour sa propre fin réduit délibérément le nombre de membres de ia race, même s’il désagrège aussi l’organisme global. Par un aspect de cette technique, la femme est transformée en féministe, une malheureuse créature égarée qui affronte l’homme sur son propre terrain et cherche à perdre tous les attributs de ia polarité qui lui assure son épanouissement, et qui lui garantit la dignité naturelle qui est la sienne. La fin du processus peut se voir dans ces larges couches de l’Amérique qui• ont été complètement hollywoodisées. Le féminisme hollywoodien a créé une femme qui n’est plus une femme mais qui ne peut pas être un homme, et un homme qui est dévirilisé en une chose indéterminée. Le nom donné à ce processus est la «libération » de la femme, et est mené au nom du bonheur le mot magique de la doctrine libéraie-communiste-démocrate. accompa- gne le développement d’un puritanisme inversé, qui cherche à répandre la manie de l’érotisme en entourant la vie sexuelle d’une aura de malattirant.

Du point de vue de race, -le résultat de cette technique de dégénérescence est l’affaiblissement, et finalement l’extinction des instincts raciaux. Les victimes désintégrées, coupées de leurs con- nexions organiques avec grand contenu supra-personnel de la Vie, deviennent ’improductives, perdent leur volonté de puissancet et manquent bientôt de la capacité à croire ou à rechercher quelque chose de lointain et de supérieur. Elles deviennent cyniques, aban- donnent toute discipline intérieure, recherchent une vie de facilité et de plaisir, etméprisent tout sérieux et tout sens de l’honneur. Tous les sentiments intenses disparaissent, car ils pourraient impliquer un risque et un sacrifice. CAmour de la Patrie fait Àace à la folie de l’argent et à la manie de l’érotisme.

La complète médiocrité qui en résulte peut se voir chez les mai- heureux Américains désintégrés qui furent enrôlés et envoyés en Europe pendant la seconde guerre mondiale. Manquant complètement de tout désir de combattre ou même d’accomplir destruction qui était attendue dieux. ils se laissèrent cependant envoyer se faire tuer au loin plutôt que de se défendre eux-mêmes, ainsi que de défendre leur Patrie, contre les. plans du régime étranger de Washington.

Cet état de dégénérescence, si largement répandu en Amérique, avec son manque colonial de résistance à la maladie de ia Culture, et si menaçant pour l’Europe sous l’actuelle domination américaine, n’est pas survenu par accident. Il y a un siècle, le libéra}-communiste- démocrate Karl Marx et sa coterie formulèrent dans leur programme ia destruction de la famille, du mariage, et de la Patrie. Ils déclarèrent une guerre horizontale contre la Civilisation Occidentale, affirmant leur but de désagréger toutes les formes sociales, culturelles et poii- L’Amérique est leur programme en cours de réalisation, et son exemple montre à PEurope ce que le régime libéral-communiste- démocrate des déformeurs de Culture prépare pour elle dans les générations à venir.

Mais ne faisons pas d’erreur : il n’y a rien d’inévitable dans cette maladie de la Culture. Aussi longtemps que d’organisme culturel garde ses traditions, ses instincts raciaux, sa volonté de puissance, ainsi que son exclusivisme et sa résistance naturels à tout ce qui est culture\lement étranger, ce résultat ne peut pas survenir. L’exemple du Québec en est la preuve. Aci, les instincts sains de résistance à la maladie de Lla Culture rendent impossibles pour le régime de Washington d’enrôler la popuiation d’un tiers du Canada pour sa guerre de revanche, de haine, et de destruction, contre la Culture- mère et la Patrie de l’Europe. L’hércjisme collectif du régiment du Québec qui déposa les armes et refusa de participer à l’invasion hos- tiie du sol sacré deTEurope estoa preuve manifeste de ta présenceet du haut potentiel, même dans les colonies, de Il’invincible tradition occidentale de pureté et d’exclusivisme culturel. De même, dans la colonie Boer, une forte résistance fut continuellement opposée à la guerre des forces extra-européennes contre la Culture Occidentale. Même en Amérique, principal lieu des efforts du déformeur de Culture, et base de sa grande puissance,la plus grande partie du peu- ple se tint à l’écart de la guerre par l’attitude dénoncée comme « isolationniste » par régime étranger. Loin d’être isolée, l’âme profonde du vrai peuple américain est reliée Indissolublement par le plus fort lien possible, le cordon mystique reliant l’Organisme-Mère à sa colonie, et ce fut précisément à cause de ce lien que l’instinct américain répugnait à la guerre haineuse contre l’Europe. Il cherchait à s’isoler seulement de l’horrible trahison contre l’Europet qui était tramée et dirigée à Washington.

Ce fait capitat démontre à l’Europe et à I’ Histoire que l’Amérique n’est pas perdue, et dès cet instant le Front de Libération existe aussi en Amérique. La guerre pour la libération de la Civilisation Occidentale inclut aussi les colonies, car c’est une guerre horizontales comme les maladies de la Culture contre lesquelles elle combat. Les tentatives de diviser l’Occident en unités séparées, économiques, politiques, militaires, raciales, sont purement artificielles à notre époque. La lutte verticale de tous contre tous appartient au passé capitaliste- nationaliste, et sa résurrection actuelle est simplement une technique de l’ennemi intérieur, une tentative d’étrangler l’avenir avec l’étreinte morte du passé. Le Front de Libération, à la fois dans la terre-mère et dans les colonies, tourne le dos aux vieilles luttes verticales, et s’oppose au régime de Washington en Amérique aussi totalement qu’il s’oppose aux administrations-marionnettes qu’il maintient en Europe. A l’intérieur de la Civilisation Occidentale elle- même, il n’y a plus de différences verticaies réelles ; ie seul combat réel de cette sorte dans le monde est la révolte du monde extérieur contre la suprématie de la race européenne.

Dans le domaine de l’économie nationale, la maladie de la Culture poursuit pendant l’ère matérialiste le même programme de destruction que le libérai-communiste-démocrate Marx avait énoncé pour elle. La littérature communiste-démocrate demandait des impôts sur le revenu et des ’impôts sur -l’héritage écrasants pour détruire les industriels et transférer la fortune au capitalisme financier, dont la fortune est invisible* et ne peut pas être découverte ou taxée, Dans une bataille qui dura un sièçle, les forces de ta maladie réussirent presque complètement à détruire tous tes groupes privés de tradi- tion occidentale, dont l’ascendance elle-même représentait une barrière à la dégénérescence et à la victoire du déformeur de Cuiture, Elles introduisirent le procédé des énormes structures financières anonymes, appelées holdings, ils firent de la monnaie des nations une fonction de leurs banques, et .imposèrent le principe d’un flux constant dans l’économie nationale, pour créer la possibilité de « coups » financiers.

La corrosion de ia maladie de la Culture nlaffecta pas seulement les domaines de la société et de l’économie, mais aussi celui du gouvernement- Là où autrefois ’l’Etat avait ja durée pour lui, parlant avec autorité au nom de tous, centre du respect et source de l’ordre, elles introduisirent te chaos des ’idéologies, chacune prétendant avoir la formule du millenium, le secret pour construire la terre promise de l’Ancien Testament, tous deux purement matérialistes et économiques. ils ne parlaient pas d’une Idée Mondiale, de la mission de {’Occident dans le monde, de la construction de l’Imperium de iiOccident, mais de commerce, de distribution et d’échanges. L’âme de l’homme occidental était pour eux une fonction des importations et des exportations, de la marchandise et de la comptabilité, de la possession et de la non -possession, de la rivalité entre les classes. La Mission Mondiale de l’Occident était pour eux le fait de s’assurer des marchés et des matières premières par-delà les mers.

Là où l’Autorité avait de la tenue, et était remplie de dignité, ils apportèrent des Parlements jacasseurs où la parlotte devint toujours plus insensée, et la comédie toujours plus patente. Car ces députés sont de simples objets, des unités remplaçables qu’on peut décrire seulement mathématiquement, en groupe. Parmi eux il n’y a pas, et il ne peut pas y avoir, une individualité forte, car un homme, un homme accompli et complet, ne se vend pas comme ces prostitués parlementaires.

Pour remplacer le principe d*autorité de la responsabilité publique, la maladie de la Culture avait apporté l’irresponsabilité anonyme de la décision de ta majorité amorphe, qui ne put jamais être retrouvée après qu’elle eut commis sa trahison envers l’Europe. Pour compléter la destruction, la fraude mensongère des soi-disant élections tente de re-convaincre les peuples européens, à intervalles réguliers, que d’une manière ou d’une autre ils se gouvernent eux-mêmes. Entre les mensonges que les candidats offrent à la populace, et les engage- ments qu’ils prennent envers leurs vrais maîtrest. il n’y a pas la moindre connexion. Les programmes soumis à l’électorat sont composés avec le vieux matériel idéologique libéral-communiste- démocrate, historiquement mort depuis longtemps. Pour ces créatures sans honneur, sans caractère, ou même sans la com- préhension nécessaire, l’avenir doit être simplement une extension du passé. Parler d’une nouvelle organisation équivaut à parler d’un Parlement plus grand et meilleur, d’une Société des Nations avec un Parlement gigantesque, apportant la possibilité de plus fortes récom- penses pour de plus grands mensonges. Seule {’échelle doit être agandie. Même en Angleterre, berceau de l’idée parlementaire, et seul endroit où elle eut vraiment de la dignité et de la valeur, l’idée est complètement morte. Avec un instinct sûr, la population appelle le parlement local « l’usine à gaz Partout en Europe, les populations montrent ce qu’elles pensent de cette fraude putride en s’en isolant elles-mêmes : elles ferment "leurs oreilles aux programmes et aux mensonges, elies haïssent les idéologies elles boycottent les élec- tions, elles méprisent de toute leur âme toute la Tour de Babel qui a aujourd’hui la témérité de se faire appeler gouvernement, et de demander la confiance des peuples.

Voilà ie monde que l’ennemi intérieuç le libéral-communiste-démo- crate, a créé, travaillant avec, et souvent même sous la direction de l’étranger à la Culture, l’Etat-N ation-Peuple-Race-Société du juif. Avec teur maladie du retardement de la Culture, avec laquelle ifs veulent étrangler l’avenir de l’Europe, ils ont renforcé les maladies du parasitisme de la Culture et de la déformation de la Culture, qui sont tes cadeaux du Juif à l’Europe.

Ils ont apporté Se matériafisme, Pathéisme, la lutte des classes, les idéaux amollissants du bonheur, le suicide racial, l’atomisation sociale, la promiscuité raciale, la décadence dans les arts, la manie de l’érotisme, la désintégration de la famille, le déshonneur privé et public, le féminisme destructeur, la fluctuation et la catastrophe économiques, la guerre civile dans la famille des peuples européens la dégénérescence planifiée de la jeunesse au moyen d’une littéra- ture et de films infâmes, et de doctrines d’éducation névrotiques. Ils ont cherché à corrompre l’Europe, à affaiblir ses instincts raciaux, à la déviriliser, è la priver de son honneur, de son héroïsme et de sa virilité, de la conscience de sa Mission Mondiale, de la conscience de son unité Culturelle, et même de son code militaire chevaleresque. lis ont cherché à paralyser la volonté de l’Europe et à detruire sa volonté de puissance en important la syphilis mentaie de Hollywood pour empoisonner le sol sacré de l’Europe.

Nous mettons cela à leur charge. Ces choses sont des faits, et à l’avenir rien ne pourra jamais faire oublier qu’elles ont été faites et tentées par l’ennemi intérieur. Ceci n’est pas non plus la totalité de la destruction apportée par la haine, la négation, et ia revanche des ennemis de l’Europe. Ceci est ta dévastation à l’intérieur des peuples deffEurope. Il reste à exposer leur effet dans le domaine des rela- tions mutuelles entre nations européennes, et finalement, dans le domaine des relations de l’Europe avec le monde extérieur.

B. La destruction de l’unité politique de l’Europe

Pendant la période dynastique de {’Histoire occidentale, bien que les guerres intereuropéennes étaient à grande échelle et de longue durée, elles étaient limitées dans leurs buts, et l’exploitation de ia victoire était strictement conditionnelle- Ce n’étaient pas des guerres nationales, mais des guerres dynastiques. La puissance était l’enjeu, mais la puissance seulement à Itintérieur du cadre supérieur de l’éthique chevaleresque, de la société, et de l’unité Culturelle, Cette unité était connue sous le nom de Concert de l’Europe, et le nom lui- même reflète le sens profond de l’unité dans la famille européenne.

Avec la venue de l’Âge du Matérialisme, et i’attaque menée contre toutes les traditions de l’Occident par les forces du libéralisme, du jacobinisme, de la démocratie, de l’argent* et du rationalisme, le concept dynastique de l’idée nationale s’effondra lentement et fut remplacé par le concept linguistique de la nation.

Le symbole mystico-autoritaire de ia maison régnante avait été l’expression ultime de l’Idée nationale pendant des siècles, mais maintenant une nouvelle époque demandait une nouvelleforme de concept de nation pour exprimer la vision matériaiiste du XIXème siècle. Le matérialisme créa ainsi le test linguistique de ia nationalité. La tendance expansive toujours plus forte de l’organisme Occidental avait entraîné une énorme croissance de la population occidentale, reflet de sa vie plus intense. De cela surgirent de vastes systèmes économiques, des Etats Pius forts que tout ce qui avait existé auparavant, des guerres à plus grande échelle, et un accroissement constant de l’intensité du combat.

Le concept littéral de l’Idée nationale isolait les nationsles unes des autres et accentuait leurs sentiments nationaux par rapport aux autres. De cela surgit le patriotisme déformé, appelé chauvinisme. Il envahit les universités, le monde des lettres, les cabinets et les partis pol itiquesv concentra tous ses espoirs, ses sentiments ses Idéaux, et son intelligence dans les nations, et à son dernier stade, il en arriva finalement à l’idée ridicule que les nations sont les créatrices de la culture, et que, donc, il y avait autant de Cultures en Europe qu’il y avait de nations. Comme c’est le sentiment de l’unité de la Culture qui avait maintenu l’Europe unie, et qui avait conservé à sa politique interne et à ses guerres un caractère limité et chevaleresque, cette forme maisaine de nationalisme s’attaquait à fa base même de l’unité de l’Europe. Si, dans une guerre entre deux Etats européens, chacun se considérait lui-même comme une Culture, alors l’adversaire était un ennemi total, et la lutte était absolue. Ce nouveau concept de guerre et de politique gouvernait les esprits des démocrates et des libéraux matérialistes, qui accuei}laient à présent le chauvinisme dans leur république de destruction. Les chauvinistes réinter- prétèrent tout le Passé en termes de nations du XIXème siècle. lis parlèrent de ces nations comme si elles avaient toujours existé, et comme si elles étaient mécaniquement et causalement nécessaires à Itexistence du monde, comme si elles étaient les seules unités de ItHistoire supérieure, et comme si l’avenir. tout comme le passé, appartenait à ces biocs de constructions historiques.

Mais une fois de plus, l’attaque matérialiste ne réussit pas totale- ment. La Tradition ne disparut pas complètement, parce qu’elle est le cœur même, l’expression de l’âme de ta Culture Occidentale. Ainsi, après la guerre franco-prussienne, à la fin du siècle, Bismarck veilla à da sécurité et à un traitement honorable de l’Empereur français vaincu, et le traité de fut dans le style chevateresque du XVIII"e siècle. Le nationalisme vertical du chauvinisme matérialiste ne réussit pas à détruire entièrement le sentiment de l’unité Culturelle, et la preuve en est dans la réaction occidentale à la Révolte des Boxers en 1900. Les nations européennes réagirent à l’unisson, alliées à la colonie américaine, pour envoyer une force expéditionnaire commune pour représenter et protéger l’Europe en tant qu’unité, sous le commandement du feld-maréchal allemand Waldersee.

Le combat entre la Tradition et le nationalisme vertical continua et atteignit finalement sa plus grande intensité avec la cassure de la première guerre mondiaEe. Mais soudain, avec la fin de cette guerre, un nouveau monde naquit. L’Europe, avec cette puissante secousse, était entrée dans une nouvelle phase de son existence. La rupture était tout aussi profonde que celle de 1789, l’autre grand tournant de ’l’histoire européenne récente. Les vieilles notions matérialistes de nations, de société, d’histoiret de politique, d’Etat, de guerre, de cul- ture, d’éducation, d’éthique, de science, étaient toutes balayées. A leur place, ii y avait une nouvelie vision de la vie, complète et organique, Sa relation avec la vieille vision matérialiste-rationaliste. démocrate-communiste peut être comprise au mieux, non comme celle existant entre le vrai et le faux, mais comme celle existant entre l’Avenir et le Passé. La vieille vision-du-monde libérale-parlemen- taire, matérialiste, désintégrée, atomisée, était simplement morte de sa mort naturelle. Cest la seule manière de triompher d’une Idée his- torique, ta manière organique, par sa réalisation complète et sa mort. La première guerre mondiale elle-même fut une création — la dernière création indépendante de cette vieille vision ; elle fut la plus haute expression du nationalisme vertical et de l’Âge du matérialisme.

De la mort de l’Âge du matérialisme surgirent les nouvelles valeurs. D’abord, dans le domaine de l’économie, domaine favori de l’aristo- cratie libérale-communiste-démocrate, le vieux principe éthique du capitalisme recula devant le nouveau principe du socialisme éthique. À la place du code d’égorgeurs du chacun pour soi, et de la vie conçue comme une compétition darwinienne pour devenir riche, surgit le nouveau code du chacun pour tous, du sentiment que l’Etat est le gardien du Destin, et donc de la puissance, de tout son contenu, que le but de la Vie n’est pas de devenir riche, mais de se réaliser soi- même et de réaliser ses possibilités à l’intérieur d’un organisme supérieur. À la place de la suprématie de Péconomie et de l’individu, il y eut ia subordination de l’économie et l’intégration de l’individu dans la vie supra-personnelie. La bonne conscience et -les fonde, ments théoriques du laisser-faire disparurent.

Dans le domaine spirituels le matérialisme athée commença lente- ment à quitter ses hauteurs et à se soumettre à un renouveau des vrais sentiments re\igieux. En philosophie, le sensualisme fit place à la méthode historique, et Itorganisme Culture .Occidentale pal- pita à nouveau avec la redécouverte de son destin unitaire et de sa puissante mission impériale dans le monde.

Dans le domaine de la société, s’opposant au chaos de l’atomisation, du féminisme, de la désintégration du foyer et de la famille, du suicide racial, et de la décadence universelle, surgit .l’idée de l’ascendance raciale, de ’la fécondité, de la préservation et de l’intégration de ia société, du retour de la bonne `santé sociale.

L'idée de l’Etat limita sa domination totale au domaine de ta politique, et le parlementarisme, avec sa chaotique succession d’élections, de programmes, d’utopies, et de corruption, prit place parmi les choses archaïques. La tentative d’utiliser le légalisme pour priver de vie l’organisme européenfut vaincue, et la volonté de puis- sance européenne fut accrue. La vie politique le pacifisme disparut, Ihomme européen s’orienta vers les prochaines guerres absolues pour la survie de l’Europe, et contre les forces extérieures.

Après plus d’un siècle de désintégration, de divisiona et de désunifi- cation constantes, de crise permanente provenant de ta maladie de la Culture du matérialisme rationaliste, ta Culture retrouva une fois de plus la santé et la vitalité, l’Autorité et la Foi. La forme provisoire de la restauration de la santé et de l’unification de l’Europe fut progressivement assimilée par les pays européens, l’un après l’autre.

Pendant ta première guerre mondiale, le Rationalisme et le M atériaiisme des XVIIIème et XIXème siècles avait remporté une pseudo-victoire sur la Résurgence de la Foi, de (’Autorité et de "Empire qui sont l’esprit des XXeme et XXtŒmc siècles. Les éléments retardateurs de Culture qui exploitèrent cette victoire tentaient de perpétuer les méthodes et les idées anciennes. Avec leur Société des Nations capitaliste-parlementaire, ils amplifièrent le pluralisme des Etats de l’Europe, tout comme ils continuèrent à l’intérieur de chaque Etat à amplifier le pluralisme socio-économique. La différence était maintenant que ces Etats n’étaient pas de véritables unités politiques, mais de simples vestiges. qui devaient s’unir si l’organisme de l’Europe devait simplement survivre. Dans cette situation, la tentative de perpétuer l’étatisme borné et le nationalisme vertical était une trahisonenvers l’Europe et aussi envers chaque petit Etat à l’intérieur de l}Europe. Mais la trahison est le métier des éléments de la maladie dela Culture ; leur seule relation avec la grande mission impériale de l’Europe dans {e monde est celle d’un ennemi. LorsquTils voient s’élever quelque chose de grand* ils décident, dans leurs âmes mal- honnêtes et envieuses, de s’y opposer et de l’abattre. Cest ainsi qu’ils résolurent de détruire la Résurgence européenne de VAutorité, avec sa Foi retrouvée, et sa haute tâche d’unification de "organisme européen pour sa Mission Mondiale. Lorsqu’en 1936 les quatre principales puissances en Europe signèrent un pacte définitif, renonçant à la guerre entre elles, et affirmant ainsi leur unité européenne, l’Avenir de l’Europe sembla garanti pour toujours.

Mais dans le monde extérieur, des développements hostiles envers l’Europe dépassaient largement les efforts des éléments ma}adifs intérieurs, les libéraux-communistes-démocrates. Car en Amérique en 1933,4a Culture-Etat-Nation-Race-Peuple du juif s’était emparée du pouvoir total, et toutes les -ressources de l’Amérique étaient à sa disposition pour sa mission de haine, de revanche et de destruction de la Civilisation Occidentale, et en particulier de son cœur et de son âme, t’organisme européen. Par une propagande empoisonnée, par la corruption à une échelle sans précédent, par l’achat de gouverne- ments et de parlements entiers par des spéculations financières sur des monnaies européennes, et par des pressions économiques, le régime des déformeurs de Culture de Washington divisa l’Europe en deux moitiés et commença à préparer une Guerre Mondiale contre l’Europe, L’instrument de cette préparation en Amérique fut le monstre Roosevelt, qui fit de sa vie un exemple d’infamie, et dont le nom est synonyme de l’apogée de la puissance juive dans le monde. Le Juif et son Roosevelt accomplirent ce qu’aucune force intérieure en Europe n’aurait jamais pu réussir, la création artificielle et inorganique d’une guerre de destruction et de terreur contre l’Europe, qui à la longue réussit finalement à atteindre ses objectifs négatifs. La réunion de l’organisme européen a temporairement échoué, la Résurgence de l’Autorité est temporairement stoppée, puissance de chacun des anciens Etats de PEurope est réduite à rien, la puis- sance de l’organisme européen dans le monde extérieur a disparu, le prestige de l’Europe est éclipsé par celui des puissances extra. européennes.

Volià la nouvelle Europe, la création de la démocratie libérale-com- muniste, l’Europe du matérialisme rationaliste, du capitalisme financier marxiste-proiétarien, de la lutte des classes et du nationa- lisme vertical, poussés jusqu’à leurs limites extrêmes. D’une direction vient le luif, entraînant à sa suite ses malheureuses vic- times américaines, avec leur but auto-proclamé d’« éduquer » .l’Europe de l’autre direction, à l’invitation du régime de Washington et avec son assistance, vient le flot barbare de l’Armée Bouge moscovite, jusqu’au cœur de l’Europe.

Là où hier la Résurgence de la Foi et de l’Autorité s’était levée pour ouvrir la voie à [’Avenir européen, là où la volonté de puissance, d’or- dre et d’accomplissement, d’abondance et de beauté avait calmement pris ia tête de cette œuvre, aujourd’hui le légalisme hys- térique des juifs excités et des libéraux morts impose une horrible et monstrueuse terreur aux peuples d’Europe. À la place de la volonté unique d’unité et de puissanceAl y a maintenant une multitude de parlements où chaque iour Itâme de l’Europe est achetée et vendue, el où l’existence économique de l’humanité européenne est traitée comme une entrée dans le registre du ministre américain des affaires étrangères. Les éléments maladifs triomphants ont détruit la stabilité et Ilordre de l’économie européenne, et onfimporté la pauvreté uni- verselle pour remplacer la sécurité et l’abondance qui sont le droit de l’Europe. Avec leur désagrégation, leur capitalisme d’égorgeurs, d’étatisme borné, de compétition insensée, et d’égoïsme canonisé, ils ont créé le manque et l’insécurité, la faimt la malnutrition, le chô- mage, le désespoir et le suicide. Lorsqu’ils nouent autour de nos cous la chaîne de la dépendance économique devant l’Amérique, ils attendent un chant de gratitude de la part des peuples de l’Europe. qui ont connu l’indépendance et la grandeur, mais qui n’ont jamais connu l’esclavage.

Cela aussi, nous le mettons à leur charge. Les éléments maladifs de ta démocratie libérale-communiste, rennemi intérieur de l’Europe, ont cherché à détruire définitivement, et ont temporairement empêché, l’unité Culturelle de 15Europe, qui servait à unir tous les peuples par le lien Culturel supérieur, les contraignant, même pendant les guer- rest à des usages chevaleresques, au respect mutuei, et à la retenue politique. Ils ont fait cela, et ils ne peuvent pas nier leur responsabilité car ces résultats ont été la conséquence de leur vision invertie et de leurs méthodes honteuses.

Et ce n’est pas tout : avec sa dégénérescence sociale pendant plus d’un siècle, avec sa désagrégation ded’unité Culturelle de l’Europe par le moyen de t’intensification de l’étatisme borné, du chauvinisme, et du nationalisme vertical, la coalition des déformeurs de Culture juifs et des retardeurs de Culture libéraux-communistes- démocrates a eu automatiquement un troisième résultat, à savoir dans]a relation politique de l’Europe avec le reste du monde.

C. La destruction de l’Empire mondial de l’Europe

En 1900 les affaires des 9/ 10ètôW de la surface de la Terre étaient dirigées directement depuis Dies capitales européennes. C’était •ltEmpire mondial de l’Europe. Cet empire était la base de {a puis- sance, de la sécurité, de la prospérité, oui, de l’existence même des peuples d’Europe. En réalité cet empire était simplement et unique- ment européen, et son organisation superficielle en une colfectjon d’empires — français, anglais, allemand -- était seulement apparente. Mais la tension interne créée par l’étatisme mesquin générait une tendance centrifuge à l’intérieur de]’Empire européen, et les forces extra-européennes exploitaient cette tendance- En particulier, la révolte se répandait parmi les races de couleur. La seule manière pour que le grand Empire mondial. puisse maintenir sa puissance mondiale était de réaliser une plus forte intégration pour pouvoir maintenir sa maîtrise et inverser la dispersion de la puissance.

La preuve finale de l’unité organique de cet Empire mondial était le fait que pas un seul Etat-natjon européen ne pouvait affaiblir la puis- sance d’un autre Etat-nation européen sans se faire en même temps du tort à lui-même dans une mesure égale ou plus grande. Mais ce fait organique dominant fut ignoré, et la tragédie de la première guerre mondiale. la création des retardateurs de Culture, des chauvinistes, des nationalistes verticaux, fut le prix que l’Europe paya pour la présence de ia maladie de la Culture. Toutes les troupes de couleur ou extra-européennes qui combattirent pendant cette guerre combattirent contre toute l’Europe. Toutes les flottes extra- européennes qui participèrent combattirent la puissance matérielle de l’Europe.

La démonstration de ces faits organiques fut la nouvelle situation créée par la guerre. La flotte anglaise, défenseur principal de la puis- sance européenne sur les mers du monde, fut vaincue par la puissance maritime extra-européenne du Japon et de l’Amérique. Les nouveaux arbitres des destinées du globe terrestre furent des forces extra-européennes, le Japonx l’Amérique, et la Russie.

Avant la première guerre mondiale, la Russie apparaissait comme un Etat Occidental. Ses classes dirigeantes, ses idées dominantes, étaient Occidentales. La tension qui existait entre les éléments Occidentaux de Russie et la volonté de destruction asiatique sous- jacente fut cependant portée jusqu’au point de rupture par la première guerre mondiale, et les éléments asiatiques, en conjonction et avec l’assistance de la Culture-Etat-Nation-Race-Peuple-Société du Juif partout dans le monde, l’emportèrent et réorientèrent la Bussie contre l’Europe. A partir de ce moment, et encore aujourd’hui en 1950, la Russie apparaît comme l’un des guides de la révolte des peuples de couleur contre la race européenne. -Mais ’les possibilités européennes existent encore à ’l’intérieur de -la Russie, parce que dans certaines couches de la population, l’adhésion au grand orga- nisme de la Culture Occidentale est un instinct, une Idées et aucune force matérielle ne pourra jamais l’anéantir, même si elle peut être temporairement réprimée et abaissée.

La première guerre mondiale montra, à ceux qui ne connaissent pas la différence, l’indépendance mutuelle de la Victoire militaire et de la Victoire politique. Ainsi, bien que la Russie ait été vaincue sur te champ de bataillet elle émergea de la guerre avec une puissance accrue et une plus grande influence sur les affaires du monde. Le Japon, qui ne prit pas militairement part à la guerre, fut un vainqueur pol itique de premier pian. Bien que la Grande-Bretagne fut soi-disant victorieuse dans ie combat, elle perdit sa puissance dans le Pacifique en faveur du Japon et de l’Amériquet dans l’hémisphère occidental au profit de l’Amérique, son hégémonie navale au profit du Japon et de l’Amérique, et son prestige mondial au profit de la révolte de couleur contre la race européenne. Le Raj européen-anglais en Inde fut complètement sapé par la guerre, et la mutinerie in- dienne victorieuse en 19*7 provenait directement de la première guerre mondiale.

Mais les retardateurs de Culture n’avaient pas fini leur travafi. Ils avaient trouvé une Europe qui contrôlait les 9/ 10èmes de la surface de la planète, Avec leur guerre suicidaire, ils avaient réduit l’empire à un point Où ’il contrôlait les 2/1(Ymes du monde, mais leurs potentialités et leurs instincts destructeurs n’étaient pas encore épuisés. ils conçurent une Société des Nations pour étrangler l’Europe et pour faire participer te monde entier à la direction des affaires internes de l’Europe ; ils affirmèrent que leur système de dégénérescence, de destruction et de mort était ’le système légal, et qu’il ne pourrait jamais être changé. La Loi n’existe pas pour exprimer et pour servir ia Viet non, ceslibéraux-communistes•démocrates disaient que la Vie existe pour servir da Loi. Ce légalisme inspiré de l’Ancien Testament était destiné à empêcher pour toujours l*Europe de se relever de la défaite générale de première guerre mondiale et de reconquérir le domaine mondial qui lui appartient en vertu de sa force de volonté* de sa capacité organisationnelle, de son besoin de s’exprimen de son ’instinct irrépressible, de son Destin et de sa Foi. ici, comme toujours, les différentes formes de la maladie de Aa CuÉture montrèrent leur affinité naturelle. L’Etat-Nation-Race juif déformeur de Culture com- pléta les efforts des retardateurs de Culture pour rabaisser et retarder l’ Europe, pour l’étrangler économiquement, et pour forcer la dispersion des populations à travers la terre, comme émigrants dés- espérés, accablés parla pauvreté, sans avenir. Tous les éléments maladifs s’unirent dans la négation et la haine de la grande Résurgence européenne de l’Autorité. La conquête du pays nègre sauvage dVAbyssinie par: la race européenne fut dia- boliquement représentée comme un « crime » par fa maladie démocrate-libéraie-communiste juive. Pendant que {’âme de ’l’Europe vibrait avec un espoir et une vigueur renouvelés à cette manifestation de la réaffirmation, éternellement jeune, de sa volonté et de son Destin, les éléments maladifs entreprirent la préparation d’une guerre traîtresse et honteuse pour détruire à jamais l’Empire Mondial européen, la patrie européenne, l’âme de l’Europe, et le Destin supérieur de l’Europe. Ils cherchèrent à commencer la guerre en Espagne en 1936. Le Bolchevisme russe envoya des agents et des armes, le Bolchevisme américain de Hollywood envoya une assistance militaire et finan- cière, le Bolchevisme juif envoya des dirigeants et des organisateurs. Le gang libéral-communiste-démocrate dans tout le monde Occidental} l’ennemi intérieur de [’Occident, se leva avec enthou- siasme, et de ses rangs jaillit un flot de conscrits voués à sa mission de destruction. Mais l’Europe réagit à punisson et stoppa la trinité bolchevique des ennemis extérieurs. La tentative suivante eut lieu sur la frontière européenne de Bohême en 1938. A nouveau, les quatre unités principales de l’Europe s’u- nirent pour empêcher la destruction de l’Empire et de l’organisme européens. En conséquence, l’attaque suivante fut préparée plus soigneusement, et précédée de l’organisation totale des éléments retardateurs de Culture pour préparer la suprême trahisont la créa- tion d’une seconde guerre mondiale sous la forme d*un combat insensé à l’intérieur de l’organisme européen. Le monde entier savait qu’une telle guerre, si elle se prolongeait, ne pouvait que ruiner (’Empire européen et tous les peuples et provinces de P Europe. Même les traîtres le savaient au fond de leurs âmes, mais un traître est fondamentalement aveugle. La trahison Nest rien d’autre que ilin- capacité transformée en résolution. Si cela n’était pas apparent pour eux avant la guerre, cela devint clair pendant la guerre. L’Architecte de ta guerre, le crypto-déformeur de Culture Roosevelt, affirma expressément ses deux buts de guerre à ses Churchiils, comme étant la destruction de l’Etat allemand et de i’Empire britannique, les deux moitiés du corps de l’Europe, les fondations et N’édifice de l’Empire européen.

Ce fut leur seconde guerre mondiale. Elle ne fut rendue possible que par la trahison de l’ennemi intérieur, le libéral-communiste-démocrate. Aucune force à l’intérieur de la Culture Occidentale ne pouvait même penser à s’opposer avec succès à la puissante vague du Destin déferlant sur l’Europe, la Résurgence de l’Autorité et de la Volonté de l’Imperium. Mais dans leur haine tortueuse, sombre et jalouse envers la noblesse et la grandeur, les libéraux-communistes-démocrates, les guerriers de classe et tes capitalistes financiers, les matérialistes et les parlementaristes, firent appel aux forces extérieures, les Bolchevismes de Washington, Moscou et Tel-Aviv, et les invitèrent à accomplir la destruction doni ils étaient eux-mêmes incapables. Le chauvinisme et le fanatisme étaient simplement des techniques, et ils ne pouvaient pas inspirer les Européens. Le poids du combat fut sup- porté par les forces extra-européennes, car les troupes européennes n’étaient simplement pas prêtes spirituellement à un combat contre l’organisme de l’Europe.

Les tactiques mêmes de la guerre furent marquées par la négation et la haine. Les forces extra-européennes, conduites par les déformeurs de Culture, appliquèrent le principe selon lequel le but de la guerre est de détruire la population civile de l’ennemi arbitrairement désigné. La force industrielle de l’Europe n’était pas diminuée, les armées étaient intactes, mais le Juif-Américain et l’Américain-Juif poursuivirent leur guerre contre les foyers et les familles, pendant que les forces de la Russie asiatique menaient la véritable guerre militaire. La guerre de revanche et de haine du haut des airs était un préliminaire à la victoire militaire de l’alliance américano-juive, mais cela n’importait pas, car leur mission n’était pas la victoire politique, mais la destruction totale, la destruction de la Culture-Peuple-Race-Société de l’Europe. Ainsi, l’assistance militaire à la Russie n’avait pas de base politique, mais fut donnée imprudemment, sans aucune pensée pour l’avenir, parce que l’alliance Washington-Tel Aviv ne pensait même pas à accroître sa propre puissance ou à construire un empire mondial pour elle-même, elle pensait simplement, uniquement, à détruire l’Empire, l’organisme, et le Destin de l’Europe. Par conséquent la juiverie américaine négocia une paix généreuse avec le Japon, ce qui était une reconnaissance de la victoire de la mission japonaise en Orient, et pour l’occupation du Japon une politique d’amitié, de bienveillance et de reconstruction fut mise en œuvre. Leur exploitation de la victoire fut aussi tortueuse et pervertie que leurs propres âmes. Leur grande oppression est l’inversion de toute vérité et la perversion de toute vie supérieure.

Au début de leurs efforts pour déclencher la seconde guerre mondiale sous la forme qu’ils lui donnèrent, ils trouvèrent une Europe qui était maîtresse de son propre territoire et d’un cinquième du monde. À la fin de leur guerre, ils purent contempler l’Europe qu’ils avaient créée. Une Europe dépouillée de son empire mondial et occupée par des forces extra-européennes, économiquement dépendante d’eux, comme une esclave devant son maître.

Dans cette Europe de démocratie libérale, les ennemis de l’Europe se mirent à exploiter leur victoire. Ivres de leur puissance, ils commencèrent à tuer en masse ceux qui s’étaient opposés à eux et qui avaient dévoué leurs vies à réaliser le Destin de l’Europe. Même dans le meurtre, ils ne purent pas être francs : ils durent inventer des raisons fondées sur l’Ancien Testament, des rituels légaux pour déguiser leurs meurtres. Ils inventèrent, et cherchèrent à implanter dans la Culture de l’Europe, le procédé du procès à grand spectacle. Ils s’en délectèrent, ils jubilèrent, ils prolongèrent leur grand procès mosaïque pendant une année. Ils cherchèrent à humilier par tous les moyens imaginables leurs victimes encore en vie, et dans la mort ils pensèrent priver leurs victimes de leur rang historique par l’astuce haineuse et stupide consistant à disperser leurs cendres dans la campagne. Ils mirent en pièce les traditions chevaleresques du traitement des prisonniers de guerre, et déformèrent la Convention de Genève en l’assortissant de la condition leur permettant de pendre comme criminel tout soldat qui s’était opposé à la victoire des forces américano-juives libérales-démocrates.

Plus ils étalent leur rituel mosaïque de meurtre légal, plus il devient évident pour l’Europe qu’il s’agit du face à face de deux mondes, et que ce conflit ne peut pas être réglé dans un .tribunal inspiré de l’Ancien Testament, mais qu’il grandira et se poursuivra, s’approfondira et s’intensifiera, jusqu’à ce que l’étranger à la Culture soit expulsé totalement et définitivement du sol sacré de l’Occident. Leur terreur s’étend sur tous les pays d’Europe, en dépit de leur affirmation qu’elle est limitée à la moitié occupée par l’URSS. La ruse consistant à montrer un visage souriant dans une partie de l’Europe et à concentrer l’hostilité sur une autre ne trompe personne. Tant que les retardateurs de Culture qui administrent l’Europe resteront dociles, accepteront une aide alimentaire américaine, une aide financière américaine, et des garnisons américaines, le régime de Washington sourira. Mais l’Europe a vu l’autre visage du juif-Américain et de l’Américain-Juif, dépourvu d’attrait, de sagesse, de principes — cruel, méprisant, et stupidement arrogant. Cette tentative de diviser l’Europe pourrait peut-être réussir si le sentiment de camaraderie était absent des populations européennes. Mais un millier d’années d’unité Culturelle, d’expériences communes dans tous les domaines des mêmes souffrances, même infligées par des mains européennes, ont uni les Européens indissolublement. Ils le savent maintenant plus que jamais auparavant, car ils l’ont appris à nouveau sous le fouet juif-américain.

Finalement, nous mettons à la charge de l’ennemi intérieur la destruction de l’Empire Mondial européen par son nationalisme vertical et son étatisme borné, et par sa soumission au Bolchevisme de Washington, Moscou, et à la Culture-État-Nation-Race-Peuple du Juif.

Il a ainsi détruit la puissance de tous les États européens, et a livré sol de l’Europe aux ennemis extérieurs.

Section III : La mission du Front de libération

L’Europe connaît l’identité de l’ennemi intérieur et ce dont il est responsable. Elle sait qu’il est le pire ennemi de l’Europe, parce qu’il se déguise en Européen, mais l’Europe a aussi des ennemis extérieurs envers lesquels elle doit adopter une position claire.

Les ennemis extérieurs sont le régime bolchevique de Moscou, le régime bolchevique judéo-américain de Washington, et la Culture-État-Nation-Race du juif, qui a maintenant créé un nouveau centre d’action à Tel-Aviv, un deuxième New York.

Les ennemis extérieurs sont aujourd’hui les arbitres de l’Europe. Ils ont imposé leur choix à la place du choix naturel de l’Europe, celui de l’Autorité et de la Foi : l’Europe, source de butin pour les forces extra-européennes ; l’Europe, réservoir de main d’œuvre à la disposition de l’employeur américain ; l’Europe, marché d’emprunts pour le financier de New York ; 1’Europe, colonie de mendiants attendant des miettes de la table de la riche Amérique ; l’Europe, site historique pour les colons de passage, un endroit où se passaient autrefois de grands événements ; l’Europe comme musée, comme mausolée ; l’Europe, collection moribonde de petits États et de peuples querelleurs ; l’Europe, entreprise en folie où chaque petite unité est opposée à toutes les autres ; l’Europe, population arriérée attendant d’être rééduquée par le clown mondial américain et le Juif sadique ; l’Europe, laboratoire pour les gigantesques expérimentations sociales de Moscou et les expériences génocidaires de New York et Tel-Aviv ; l’Europe, Messe Noire de procès à grand spectacle, de persécution rétrograde, de trahison, de terreur, de désespoir et de suicide.

Il y a juste cinquante ans, l’Europe était un fier organisme indépendant, sûr de lui-même et maître du monde. Le sol sacré de la Culture Occidentale est maintenant occupé par les Mongols, les Turkmènes et les Kirghizes d’Asie, par les Nègres d’Amérique, les Sénégalais d’Afrique, les juifs des trottoirs du monde entier. Voilà l’Europe démocratique, l’Europe libérale.

Mais cette situation est seulement externe, matérielle. L’âme de l’Europe ne peut pas être occupée, dirigée ou dominée par les étrangers à la Culture. Seul un matérialiste peut penser que la possession des attributs visibles de la puissance garantit la continuation éternelle du pouvoir. S’il en était ainsi, un petit nombre de castes et d’États aurait toujours dirigé le monde, depuis son commencement. Mais dans l’épreuve ultime, la puissance est le reflet de qualités intérieures, et ces qualités ne sont possédées par aucun des ennemis extérieurs de l’Europe. Leurs empires transitoires sont bâtis sur du sable, parce que, pour les soutenir, il n’y a pas d’âme supra-personnelle, pas de Mission Mondiale, pas de Destin. Même pendant nos courtes vies nous avons vu des empires surgir et disparaître, et le conglomérat de puissance temporaire de Moscou et de Washington suivra le même chemin.

Les ennemis extérieurs de l’Europe sont condamnés, tout comme l’est l’ennemi intérieur. Le temps joue contre l’ennemi intérieur, parce que l’Histoire ne peut pas retourner en arrière, même si pour un court instant les gâteux rétrogrades peuvent essayer de forcer l’Histoire à partager leur râle d’agonie.

Et il en ira de même avec ces choses primitives et hétérogènes que le barbare de Moscou et le Juif de Washington aiment à considérer comme des empires. Ils disparaîtront, comme ta brume matinale, sous les rayons brillants de l’Histoire. L’Avenir appartient seulement à ceux qui portent en eux-mêmes l’Impératif Intérieur de réaliser une Idée Mondiale, et il n’y a qu’une seule source à un tel Impératif. Il ne peut pas être inventé artificiellement, il doit être organique, et aucun homme ou groupe d’hommes ne peut le fabriquer. Il provient de l’origine cosmique et spirituelle de l’univers, elle-même venant de Dieu.

Donc, le Front de Libération proclame à présent ses deux grandes tâches devant l’Europe :

1 — L’expulsion complète de tout ce qui est étranger hors de l’âme et du soi de l’Europe, la purification de l’âme européenne des scories du matérialisme et du rationalisme du XIXème siècle avec leur culte de l’argent, leur démocratie libérale, leur dégénérescence sociale, leur parlementarisme, leur lutte des classes, leur féminisme, leur nationalisme vertical, leur capitalisme financier, leur étatisme borné, leur chauvinisme, le Bolchevisme de Moscou et Washington, la syphilis éthique de Hollywood, et la lèpre spirituelle de New York.

2 — La construction de l’Imperium de l’Europe et la réalisation de la volonté européenne, émanée du divin, de l’Impérialisme politique illimité.

À la place de la maladie de la Culture des non-Européens et des traîtres, il y aura les éternelles valeurs éthiques de l’Europe : l’Autorité, la Foi, la Discipline, le Devoir, l’Ordre, la Hiérarchie, la Fécondité, la Volonté de puissance.

Cette Proclamation est donc une Déclaration de Guerre.

Dans cette guerre, le Front de Libération parle au nom de l’Europe, il représente l’Europe, il est le gardien du Destin de l’Europe. Il est ainsi revêtu du manteau d’invincibilité supra-personnelle qui est l’attribut de l’organisme européen. Aucun massacre, aucun procès à grand spectacle, aucune terreur ou persécution ne peuvent toucher cette force ; les canons et les baïonnettes de Washington ne peuvent l’affaiblir, mais finalement elle les dissoudra. Elle rejettera les forces judéo-américaines à la mer, elle repoussera les armées asiatiques de Moscou jusque dans les profondeurs de l’Asie.

Dans ce combat, tous les anciens peuples, races et nations d’Europe sont unis, car dès le début cette guerre est seulement une guerre horizontale :

Race signifie maintenant, en Europe, posséder à la fois l’honneur et la fierté

Peuple désigne le sentiment collectif de tous les Européens.

Nation désigne maintenant l’organisme collectif de l’Europe.

Anglais, allemand, français, italien, espagnol : ce sont maintenant de simples noms géographiques et de simples variations linguistiques. Comme tous les autres riches produits de notre grande Culture, ils continueront à exister mais ils ne seront plus des termes politiques. Les cultures locales en Europe pourront être aussi diversifiées qu’elles le souhaitent, et elles jouiront d’une parfaite autonomie dans l’Empire européen, à présent que l’oppression du nationalisme vertical est mort. Quiconque cherche à perpétuer l’étatisme borné ou le nationalisme à l’ancienne mode est l’ennemi interne de l’Europe. Il joue le jeu des forces extra-européennes, il divise l’Europe et commet une trahison.

La trahison aujourd’hui n’a plus qu’une seule signification pour l’Europe : cela signifie servir des forces autres qu’européennes. Il n’existe plus qu’une seule trahison aujourd’hui : la trahison envers l’Europe. Les nations sont mortes, car l’Europe est née.

Le Front de Libération ne laissera pas l’Europe être distraite par la situation actuelle, dans laquelle les deux bolchevismes primaires de Washington et Moscou préparent une troisième guerre mondiale. Dans cette préparation, tes retardateurs de Culture, les ennemis intérieurs, les libéraux-communistes-démocrates sont à nouveau à leurs postes : d’une seule voix les Churchills, les Spaaks, les Lies, les de Gaulles, croassent que Washington va sauver l’Europe [de la menace] de Moscou, ou que Moscou va arracher l’Europe à Washington. Il n’y a rien qui justifie cette propagande. La réalité est que seule l’intervention américaine dans la seconde guerre mondiale a empêché l’Europe de détruire complètement la Russie bolchevique, en tant qu’unité politique. L’actuel Empire Russe est donc une création de l’Amérique. Jamais durant les cinq cent ans de l’histoire russe, la Russie ne fut capable de pénétrer en Europe sans aide. Elle n’envahit la Prusse du Grand Frédéric qu’avec l’appui de la France, de l’Autriche et de la Suède. Elle n’envahit la France en 1814 et 1815 qu’avec l’assistance de l’Angleterre, de l’Autriche et de la Prusse. Elle n’envahit l’Europe en 1945 qu’avec l’aide de l’Amérique. La Russie n’est une menace que pour une Europe divisée ; une Europe unie peut détruire la puissance russe au moment de son choix. C’est un mensonge grossier de dire que l’Europe ne peut pas se défendre elle-même contre la Russie. Pensent-ils que l’Europe puisse oublier ce qu’elle vient d’apprendre au prix du sang de millions de ses fils ? Pensent-ils que l’Europe puisse oublier que le régime judéo-américain, et lui seulement a amené l’Armée Rouge jusqu’au cœur de l’Europe ? Peuvent-ils penser que l’Europe puisse oublier que l’ennemi intérieur, avec sa démocratie libérale-communiste, a mené l’Europe dans ce gouffre ? L’Europe se souvient, et elle sait que le libéral-démocrate est une créature de l’abysse, l’esprit de négation qui recherche un abysse toujours plus profond. Il a détruit un Empire mondial, et maintenant il demande la confiance de l’Europe pour mener une nouvelle croisade.

Le programme de Washington est d’enrôler les Européens — ce qu’ils appellent cyniquement le « potentiel humain » de l’Europe — et d’épargner ainsi aux poltrons d’Amérique du Nord les pertes d’une dure campagne contre la Russie. Une stupidité abyssale est à l’origine de ce souhait. Pensent-ils vraiment que les Européens accompliront des prodiges militaires pour combattre un ennemi de l’Europe au profit d’un autre ? Pensent-ils qu’un Haut-Commandement américano-juif puisse inspirer les sentiments nécessaires à l’éveil des instincts héroïques d’un corps d’officier européens ?

Non, l’Europe n’est pas plus intéressée par ce projet de guerre que par un combat entre deux tribus nègres au Soudan.

Le combat européen est celui de la libération de notre sol sacré et de notre âme occidentale. C’est un combat horizontal, contre tous les ennemis de l’Europe, les ennemis intérieurs et les forces extra-européennes, quels qu’ils soient. Avant que l’Europe puisse mener une guerre verticale, elle doit se constituer en tant qu’Imperium de l’Europe, la Culture-État-Nation-Race-Peupie organique de l’Occident. Et si l’Europe fait la guerre, alors ce sera contre l’ennemi politique de son propre choix, et au moment de son choix. Dans ces décisions, le Juif, Moscou et Washington ne prendront aucune part. La propagande du Juif américain et de l’Américain juif ne trompe personne. Avec leurs discours sur le combat entre « l’Est » et « l’Ouest », ils espèrent entraîner les esprits faibles de l’Europe à coopérer avec eux. Mais pour nous, l’Occident est un mot contenant une Mission émanée du divin, un mot sacré, et il n’évoque pas l’Amérique, la Russie, ou le Juif, mais seulement le sol sacré de l’Europe et l’organisme européen.

Toutes les forces extra-européennes sur le sol européen sont des ennemis exactement dans les mêmes proportions et exactement au même degré. L’Europe ne combattra jamais pour une force extra-européenne ; l’Europe n’entrera jamais dans une relation où elle n’est pas le maître, l’éventualité d’une guerre entre des forces extra-européennes ne compte pas pour l’avenir de l’Europe.

Les structures de pouvoir primitives de Washington et de Moscou n’ont pas de Passé, et par conséquent pas d’Avenir. Elles sont sans Tradition, sans Mission Mondiale, sans Idée Nationale, sans Destin, sans unité organique, sans État, et sans possibilités impériales. Ces deux choses informes sont de simples et pâles caricatures de l’unique et véritable Mission Mondiale, qui est celle de l’Europe seule. Cette Mission ne vient pas de la volonté humaine, mais elle est une émanation directe de Dieu.

Dans ce grand combat pour la Libération de l’Europe, tous les Européens ayant de la race, de l’honneur et de la fierté sont des nôtres, quelle que soient leurs origines. Les seuls Européens exclus de nos rangs sont les traîtres à la Culture, la maladie de notre époque. Le Front de Libération lui-même est la forme provisoire de la Nation européenne, et il durera jusqu’à ce que la forme permanente de l’Imperium européen soit établie.

Dans la mission de Libération de l’Europe, la date exacte de la réussite finale est secondaire pour nous, précisément parce que nous savons que notre victoire est déjà déterminée.

Avec chaque décennie, chaque année, ce mouvement de la volonté européenne vers runion parfaite et le plein épanouissement qui sont son Destin devient plus fort. Notre volonté est intacte, notre résolution plus forte que le fût jamais une résolution européenne avant nous. Avec une sérénité parfaite nous entreprenons cette tâche, la plus grande de toutes celles auxquelles les Européens se sont jamais dévoués.

Aux baïonnettes et aux canons des forces extra-européennes, nous opposons une volonté plus dure que leur acier, qui brisera l’emprise de leurs armes et de leur puissance. Nous jetterons avec mépris l’ennemi intérieur dans la boue.

Un millénaire d’histoire européenne, de joie et de sacrifice, d’héroïsme et de noblesse, nous appellent à cette tâche. Au sang qui a coulé sur le sol sacré de l’Europe nous ajouterons le sang de nos ennemis. Nous continuerons jusqu’à ce que l’Europe soit libérée de ses ennemis, et que la bannière européenne flotte sur son propre sol, de Galway à Memel et du Cap Nord à Gibraltar.

Europe réveille-toi !


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