Différences entre les versions de « Johann Wolfgang von Goethe »

 
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== Citationes ==
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{{Image|Johann Wolfgang von Goethe|}}
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== Citations ==
  
"'''None are so hopelessly enslaved as those who falsely believe they are free.'''"
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<poem>„Der Jude liebt das Gold und fürchtet die Gefahr
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
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Er weiß mit leichter Müh, und ohne viel zu wagen [...]
:« Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être. »
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Doch finden sie durch Geld den Schlüssel aller Herzen
:*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
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Und kein Geheimnis ist, vor ihnen wohl verwahrt
::„Niemand ist mehr Sklave, als der sich für frei hält, ohne es zu sein.“
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Mit jedem handeln sie, nach einer eignen Art.
::*[http://de.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe], Bk. II, Ch. 5; source: Die Wahlverwandtschaften, Hamburger Ausgabe, Bd. 6 (Romane und Novellen I), dtv Verlag, München, 1982, p. 397 (II.5)
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Sie wissen jedermann durch Borg und Tausch zu fassen
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Der kommt nie los der sich nur einmal eingelassen [...]
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Es ist ein jeglicher in deinem ganzen Land
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Auf ein und andre Art mit Israel verwandt
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Und dieses schlaue Volk sieht Einen Weg nur offen
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'''So lang die Ordnung steht, so lang hats nichts zu hoffen.'''</poem>
  
« Qui ne sait pas tirer les leçons de trois mille ans vit au jour le jour. »
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Johann Wolfgang von Goethe, ''Das Jahrmarktsfest zu Plundersweilern'' (1778)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
 
  
"'''Which is the best government? That which teaches us to govern ourselves.'''"
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<poem>:« Sans grand effort et sans prendre de risque, il sait
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe], ''The Maxims and Reflections of Goethe'' as translated by Bailey Saunders (1893), Maxim 225
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:Tirer argent de tout pays par le négoce et l’intérêt. [...]
:« Quel est le meilleur gouvernement ? Celui qui nous enseigne à nous gouverner nous même. »
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:L’argent leur donne aussi la clef de tous les cœurs ;
:*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe], ''Maximes et réflexions'' (1833)
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:Aucun secret n’est sûr dès qu’ils en sont porteurs.
::„Welche Regierung die beste sei? Diejenige, die uns lehrt, uns selbst zu regieren.“
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:Il traite chacun à sa façon particulière,
::*[http://de.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe], ''Maximes et réflexions'' (1833)
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:Par crédit et par change ils tiennent le pauvre hère,
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:Il ne s’en sort jamais, qui s’y est pris une fois. [...]
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:Si dans ton pays, n’importe qui, untel,
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:Est, même de loin, un parent d’Israël,
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:Ce peuple rusé y fera sa carrière,
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:'''Mais tant que règne l’ordre, il ne pourra rien faire.''' »</poem>
  
« La culture intellectuelle peut toujours se développer, les sciences naturelles peuvent gagner toujours en étendue, en profondeur, l'esprit de l'homme peut s'élargir autant qu'il le voudra, on ne trouvera rien au-dessus de la haute doctrine morale qui brille et resplendit dans les Évangiles. »
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:Johann Wolfgang von Goethe, ''La Foire annuelle de Pillage-la-Ville'' (1778)
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Goethe Johann Wolfgang von Goethe], ''Conversations'', 1832
 
  
« C'est dans ma nature : j'aime mieux commettre une injustice que tolérer un désordre. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
 
:„Es liegt nun einmal in meiner Natur : ich will lieber eine Ungerechtigkeit begehen, als Unordnung ertragen.“
 
:*[http://de.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
 
  
« Mathematicians are like Frenchmen: whatever you say to them they translate into their own language, and forthwith it is something entirely different. »
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« Quand Ulysse parle de la mer immesurable, de la terre infinie, cela est si profondément senti, c’est vrai et humain, c’est à la fois renfermé dans des bornes étroites, et plein de mystère. À quoi me sert-il de pouvoir aujourd’hui avec chaque écolier répéter qu’elle est ronde ? Il n’en faut à l’homme que quelques mottes de terre pour soutenir sa vie, et moins encore pour y reposer ses restes. »
*[http://en.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
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{{Réf Livre
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|auteur=Johann Wolfgang von Goethe
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|titre=Les Souffrances du jeune Werther
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|année d'origine=1774
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|traducteur=Bernard Groethuysen
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|éditeur=Gallimard
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|collection=Folio
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|année=1973
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|ISBN=9782070364961
 +
|section=Livre deuxième
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|page=111}}
  
<poem>« Aucun homme
 
Ne doit se mesurer
 
Avec les dieux.</poem>
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe], ''Des limites de l'humanité'' (1789)
 
:<poem>„'''mit Göttern'''
 
:'''Soll sich nicht messen'''
 
:'''Irgend ein Mensch.'''“</poem>
 
:*[http://en.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe], ''Gränzen der Menschheit'' (1789), in ''Goethes Schriften. Achter Band'', G. J. Göschen. 1789. Seite 212–214
 
 
« La nature n'admet pas la plaisanterie ; elle est toujours vraie, toujours sérieuse, toujours sévère ; elle a toujours raison. Les fautes et les erreurs viennent toujours de l'homme. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe]
 
 
« '''Quand Ulysse parle de la mer immesurable, de la terre infinie, cela est si profondément senti, c'est vrai et humain, c'est à la fois renfermé dans des bornes étroites, et plein de mystère. A quoi me sert-il de pouvoir aujourd'hui avec chaque écolier répéter qu'elle est ronde ? Il n’en faut à l’homme que quelques mottes de terre pour soutenir sa vie, et moins encore pour y reposer ses restes.''' »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Johann_Wolfgang_von_Goethe Johann Wolfgang von Goethe], ''Les Souffrances du jeune Werther'' (1774), trad. Bernard Groethuysen, éd. Gallimard, coll. Folio, 1973 (ISBN 9782070364961), Livre deuxième, p. 111
 
 
== Citationes de Johann Wolfgang von Goethe ==
 
 
« Le monde de Goethe est passé. Le monde de Goethe est l'achèvement de plusieurs millénaires de l'histoire d'Occident... C'est le monde d'où le nôtre est sorti, mais dont le nôtre s'est déjà à ce point éloigné que Goethe paraît plus proche d'Homère que de nous. »
 
*[http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Jaspers Karl Jaspers]
 
 
== Bibliographia ==
 
 
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Version actuelle datée du 9 septembre 2023 à 20:49

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Citations

„Der Jude liebt das Gold und fürchtet die Gefahr
Er weiß mit leichter Müh, und ohne viel zu wagen [...]
Doch finden sie durch Geld den Schlüssel aller Herzen
Und kein Geheimnis ist, vor ihnen wohl verwahrt
Mit jedem handeln sie, nach einer eignen Art.
Sie wissen jedermann durch Borg und Tausch zu fassen
Der kommt nie los der sich nur einmal eingelassen [...]
Es ist ein jeglicher in deinem ganzen Land
Auf ein und andre Art mit Israel verwandt
Und dieses schlaue Volk sieht Einen Weg nur offen
So lang die Ordnung steht, so lang hats nichts zu hoffen.

— Johann Wolfgang von Goethe, Das Jahrmarktsfest zu Plundersweilern (1778)

« Sans grand effort et sans prendre de risque, il sait
Tirer argent de tout pays par le négoce et l’intérêt. [...]
L’argent leur donne aussi la clef de tous les cœurs ;
Aucun secret n’est sûr dès qu’ils en sont porteurs.
Il traite chacun à sa façon particulière,
Par crédit et par change ils tiennent le pauvre hère,
Il ne s’en sort jamais, qui s’y est pris une fois. [...]
Si dans ton pays, n’importe qui, untel,
Est, même de loin, un parent d’Israël,
Ce peuple rusé y fera sa carrière,
Mais tant que règne l’ordre, il ne pourra rien faire. »

— Johann Wolfgang von Goethe, La Foire annuelle de Pillage-la-Ville (1778)


« Quand Ulysse parle de la mer immesurable, de la terre infinie, cela est si profondément senti, c’est vrai et humain, c’est à la fois renfermé dans des bornes étroites, et plein de mystère. À quoi me sert-il de pouvoir aujourd’hui avec chaque écolier répéter qu’elle est ronde ? Il n’en faut à l’homme que quelques mottes de terre pour soutenir sa vie, et moins encore pour y reposer ses restes. »

— Johann Wolfgang von Goethe, Les Souffrances du jeune Werther (1774), trad. Bernard Groethuysen, éd. Gallimard, coll. « Folio », 1973 (ISBN 9782070364961), Livre deuxième, p. 111