Différences entre les versions de « Discussion:Ernst Jünger »

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« Le courage est toujours quelque chose de saint, un jugement divin entre deux idées. Défendre notre cause de plus en plus vigoureusement est conforme à la nature humaine. Notre suprême raison d’être est donc de lutter ; on ne possède vraiment que ce qu’on acquiert en combattant. »
 
« Le courage est toujours quelque chose de saint, un jugement divin entre deux idées. Défendre notre cause de plus en plus vigoureusement est conforme à la nature humaine. Notre suprême raison d’être est donc de lutter ; on ne possède vraiment que ce qu’on acquiert en combattant. »
 
*Ernst Jünger, La Guerre notre Mère (Der Kampf als inneres Erlebnis), 1922
 
*Ernst Jünger, La Guerre notre Mère (Der Kampf als inneres Erlebnis), 1922
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"Le long de la frontière où s'affrontent deux peuples civilisés, ce ne sont pas seulement  les explosifs et l'acier qui pèsent sur les plateaux de la balance ; c'est là que que se rencontrent et se croisent toutes les valeurs qui importent à ces deux nations."
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— Ernst Jünger, Le boqueteau 125

Version du 29 juillet 2023 à 15:10

« Toucher du bois, une superstition ? Chacun sait que les dieux habitent dans les arbres ! »

  • Ernst Jünger

« Le courage est toujours quelque chose de saint, un jugement divin entre deux idées. Défendre notre cause de plus en plus vigoureusement est conforme à la nature humaine. Notre suprême raison d’être est donc de lutter ; on ne possède vraiment que ce qu’on acquiert en combattant. »

  • Ernst Jünger, La Guerre notre Mère (Der Kampf als inneres Erlebnis), 1922

"Le long de la frontière où s'affrontent deux peuples civilisés, ce ne sont pas seulement les explosifs et l'acier qui pèsent sur les plateaux de la balance ; c'est là que que se rencontrent et se croisent toutes les valeurs qui importent à ces deux nations."

— Ernst Jünger, Le boqueteau 125