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Citations

« Si vous aimez votre peuple, vous êtes socialiste, si vous aimez votre nation, vous êtes nationaliste, soyez nationaliste-révolutionnaire pour unir les deux. »

— « Le vrai socialisme », François Duprat, Les Cahiers européens mensuels, nº 8, avril 1977


« Un parti révolutionnaire est, tout d’abord, une formation qui a pour but, non une vague participation au pouvoir, mais la conquête de l’État, en vue d’une transformation radicale de la société et du régime. »

— « Le parti révolutionnaire », François Duprat, Les Cahiers européens mensuels, nº 8, avril 1977


« L’impérialisme américain, je voudrais que l’on m’explique en quoi il est américain, à moins que l’on parvienne à me prouver, par exemple, que Kissinger état un intransigeant nationaliste américain... En fait, il s’agit d’un impérialisme sioniste et non point américain, qui va d’ailleurs à contre-courant des intérêts du peuple américain qui n’a pas plus envie de mourir pour Israël que les peuples européens. »

— « Réponse au camarade Gerber », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 162, 18 janvier 1977


« Toute colonisation efficiente a pour vrai objectif de faire éclater la cellule-base du groupe colonisé, afin d’atomiser la communauté et d’isoler les individus.

Le rejet du patriotisme aussi bien que la pornographie, la propagande contre la famille et contre la survie biologique de notre peuple, servent à abattre notre volonté d’auto-défense. »

— « Français, voici tes maîtres », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 2, octobre 1976


« Le nationalisme-révolutionnaire n’est rien de plus que le nationalisme authentique, celui qui prône, autrement que dans de belles formules de rhétorique, la volonté de combattre pour le service du peuple et pour la cause de la nation. Le nationalisme qui est l’instrument de guerre des travailleurs contre les exploiteurs, des opprimés contre leurs oppresseurs. »

— « Pour une ligne idéologique ferme, pour une pratique politique cohérente », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 139, 10 août 1976


« Nous avons la naïveté de croire qu’il n’existe pas seulement un État sioniste mais une réalité à tout le moins occidentale du sionisme en tant que force politique dominante.

Nous sommes contre l’État sioniste pour deux raisons et non pour une seule :

- parce que cet État est fondé sur la spoliation et le vol, et parce que la France doit avoir une politique d’amitié avec les pays arable ;
- parce que cet État est le bras séculier d’une force politique que nous avons à combattre au sein de notre propre pays. »
— « Nous sommes contre l’État sioniste », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 139, 10 août 1976


« Révolution : nous voulons détruire non pas seulement une forme politique en place, mais les structures économiques, sociales et mêmes mentales qui l’inspirent. Nous ne sommes donc pas des réformistes désireux d’améliorer quelque chose d’inamendable mais des révolutionnaires décidés à faire table rase de ces structures pour construire l’ordre nouveau anti-réactionnaire : notre combat est tourné vers l’avenir et non vers la reconstitution d’un mythique passé ; en outre , nos ennemis sont au pouvoir et nous n’entendons par revenir à une forme de société qui a permis leur victoire.

— « Vocabulaire et politique », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 128, 25 mai 1976


« La tâche première des nationalistes est d’expliquer aux Français qu’ils sont aujourd’hui dans la situation des peuples du tiers monde lorsque ceux-ci n’avaient pas d’existence nationale indépendante.

Retrouver l’identité nationale en mettant fin à la colonisation de notre pays, en éclairant le peuple et en l’organisant ensuite, telle est la mission des nationalistes. »

— « Discours marxiste et discours colonial », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 111, 27 janvier 1976


« Nous devons refuser la France actuelle, parce que ce n'est pas celle de notre peuple, de nos aïeux, la réalité historique et humaine qu’elle a été. Ce n’est plus qu’une France asservie, écrasée, colonisée et nous devons réveiller nos compatriotes. »

— « Discours marxiste et discours colonial », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 111, 27 janvier 1976


« La France n’est pas autre chose qu’une nation colonisée, menacée de perdre son identité nationale et notre peuple n’est qu’un jouet aux mains de pouvoirs étrangers. »

— « Une idéologie en construction », François Duprat, Les Cahiers européens, nº 59, 31 janvier 1975


Textes

Manifeste nationaliste-révolutionnaire - François Duprat