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Citations

« Là où Napoléon et Hitler ont échoué, c’est peut-être le fils de l’un de nos adversaires du Caucase et de Tcherkassy qui réussira en rassemblant autour de la Russie, guérie du virus communiste, tous les peuples européens pour entraîner le monde dans une nouvelle marche en avant. »

— « Pourquoi j’ai cru en Hitler », Jean Kapel, Histoire magazine, nº 19, septembre 1981


« Unie enfin, matériellement, moralement, militairement et diplomatiquement, forte de la conjonction de ses trois éléments constitutifs — la civilisation occidentale, le moteur germanique et la réserve humaine slave — l’Europe renaîtra, mieux préparées, plus perspicace. Celle fois, on ne l’arrêtera plus comme en 1945. »

— Léon Degrelle cité par Jean-Michel Charlier, Léon Degrelle persiste et signe (octobre 1976), éd. Jean Picollec, 1985, p. 430


« Avec toutes mes forces, jusqu’au dernier moment de mon existence, je lutterai pour que demeure vivant et exemplaire dans le cœur des jeunes ce que fut notre épopée, sa foi lumineuse, sa passion du don, jalonnée par le sacrifice de tant de nos camarades restés glacés dans les neiges de l’Est. »

— Léon Degrelle cité par Jean-Michel Charlier, Léon Degrelle persiste et signe (octobre 1976), éd. Jean Picollec, 1985, p. 430


« Quand je récapitule, je n’ai qu’un sentiment, c’est un immense regret, regret que nous n’ayons pas réussi, que nous n’ayons pas pu créer ce monde européen qui eut été le maître de l’univers pour toujours, qui assurait à la race blanche, la première des races, la grande domination de l’esprit. Et quand nous voyons ce qu’il y a en face, ce que trente ans de victoire des autres ont donné... Cette anarchie dans le monde... Cette débandade du monde blanc... Cette désertion à travers l’univers... Quand nous voyons dans nos propres pays la décomposition des mœurs, la chute de la patrie, la chute de la famille, la chute de l’ordre social... Quand nous voyons cet appétit des biens matériels qui a succédé à la grande flamme de l’idéal qui nous animait... Eh bien, vraiment, entre les deux, nous avions choisi le bon côté ! [...]

La petite Europe misérable d’aujourd’hui, de ce Marché commun étriqué, ça peut pas donner le bonheur aux hommes ! La société de consommation pourrit l’humanité au lieu de la grandir ! Alors nous autres au moins nous avons rêvé à quelque chose de grandiose, et nous n’avons qu’un désir, c’est que cet esprit-là renaisse, et, avec mes forces et jusqu’au dernier moment de mon existence, je lutterai pour cela, pour que ce qui fut notre combat, notre martyr, soit un jour la résurrection du monde ! »

— Léon Degrelle cité par Jean-Michel Charlier, Léon Degrelle persiste et signe (octobre 1976), éd. Jean Picollec, 1985, p. 429


« Nous ne sortirons de cette déchéance que par un immense redressement moral, en réapprenant aux hommes à aimer, à se sacrifier, à vivre, à lutter et à mourir pour un idéal supérieur.

En un siècle où on ne vit que pour soi, il faudra que des centaines, des milliers d’hommes ne vivent plus pour eux, mais pour un idéal collectif, consentant pour lui, à l’avance, tous les sacrifices, toutes les humiliations, tous les héroïsmes.

Seuls comptent la foi, la confiance brûlante, l’absence complète d’égoïsme et d’individualisme, la tension de tout l’être vers le service, si ingrat soit-il, n’importe où, n’importe comment, d’une cause qui dépasse l’homme, lui demandant tout, ne lui promettant rien.

Seuls comptent la qualité de l’âme, la vibration, le don total, la volonté de hisser par-dessus tout un idéal, dans le désintéressement le plus absolu.

L’heure vient où, pour sauver le monde, il faudra la poignée de héros et de saints qui feront la Reconquête. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 221-222


« Il y a sur la terre tant de choses médiocres, basses ou laides, qu’on finirait par être un jour submergé par elles si on ne portait pas en soi le feu qui brûle le laid, le consume et nous purifie.

L’art est notre salut intérieur, notre jardin secret qui sans cesse nous rafraîchit et nous embaume.

Poésie, peinture, sculpture, musique, n’importe quoi, mais s’évader du banal, s’élever au-dessus de la poussière dessèchante, créer le grand, au lieu de subir le petit, faire jaillir cette étincelle d’extraordinaire que chacun de nous possède, et la convertir en un grandiose incendie, dévorant, inextinguible. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 208-209


« Aimons notre misère quand même, puisqu’elle nous élève, nous prépare à des destins qui réclament des cœurs purs et forts. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 182


« La mort est en face. La mort est partout. Et c’est sans doute pour cela que nous comprenons mieux que d’autres la grandeur de la vie. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 168


« Un peuple riche, composé de millions d’individus, mais égoïstement isolés, est un peuple mort.

Un peuple pauvre où chacun reconnait intelligemment ses limites et ses obligations communautaires, obéit et travaille en équipe, est un peuple-vie. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 138


« La foi ne vaut qu’en tant qu’elle conquiert, l’amour qu’en tant qu’il brûle, la charité qu’en tant qu’elle sauve. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 100


« Brève ou longue, la vie ne vaut que si nous n’avons pas à rougir d’elle à l’instant où il faudra la rendre. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 42


« La facilité endort l’idéal. Rien ne le redresse mieux que le fouet de la vie dure ; elle nous fait deviner la profondeur des devoirs à assumer, de la mission dont il faut être digne.

Le reste ne compte pas.

La santé n’a aucune importance.

On est pas sur terre pour manger à l’heure, dormir à temps, vivre cent ans ou d’avantage.

Tout cela est vain et sot.

Une seule chose compte : avoir une vie utile, affiler son âme, être penché sur elle à chaque instant, à surveiller ses faiblesses et à exalter ses élans, servir les autres, jeter autour de soi le bonheur et la tendresse, donner le bras à son prochain, pour s’élever tous en s’aidant l’un l’autre. »

— Léon Degrelle, Les Âmes qui brûlent (1964), éd. À la feuille de Chêne, 1964, p. 40-41


Textes

Bibliographie

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