Différences entre les versions de « Corneliu Zelea Codreanu »

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Version du 28 juillet 2013 à 14:53

Corneliu Zelea Codreanu.jpg

Modèle:Column

Action

« Ta parole est celle des faits. Agis ! Ne parle pas. »

"The law of silence: Speak little. Say only what you must. Speak only when necessary. Your oratory should be deeds, not words. You accomplish: let others talk."

Heroism

"The Politician's goal is to build a fortune, ours is to build our homeland flowering and strong. For her we will work and we will build. For her we will make each Romanian a hero, ready to fight, ready to sacrifice, ready to die."

« C'est par ses héros que vit un peuple et non par ses majorités lâches et inertes. Pour eux, peu importe de vaincre ou de mourir, car lorsqu'ils meurent, le peuple tout entier vit de leur mort et s'honore de leur martyre. Ils brillent dans l'Histoire comme des images d'or, que le soleil sur les hauteurs éclaire au crépuscule, tandis qu'en bas, sur les plaines, si vastes et si nombreuses soient-elles, s'étend le voile de l'oubli et de la mort. »

« Regardez les droit dans les yeux, tous ces tyrans ! Subissez avec résignation tous les coups, supportez toutes tortures, parce que le sacrifice de nous tous sera la fondation de fer des vies sacrifiées et des âmes torturées pour notre victoire. Pour ceux d'entre nous qui tomberont, nous aurons leur gloire héroïque et leurs tombes ! Mais ceux qui nous tueront porteront la marque des traîtres et seront accusés de génération en génération. »

« Seule la domination absolue de l'esprit sur le corps est la condition normale et la prémisse de toute force vraie, de tout héroïsme véritable. »

De ces quelques lignes émouvantes, il faut retenir un message essentiel : l'humanité a besoin « d'une école de grande élévation et de grande moralité chrétienne » ; et « douleur après douleur, souffrance après souffrance, supplice après supplice, blessure après blessure sur nos corps et dans nos âmes, et tombe après tombe, ainsi nous vaincrons... »

Nationalism

"Fascism is preoccupied by the clothing (namely the forms of state organization), National-Socialism by the body (namely the racial eugenics), whereas Legionarism is preoccupied by something much deeper: by the soul (namely by its strengthening through the cultivation of Christian virtues and its preparation with final salvation in mind, salvation dealt with by the Christian Church in the most perfect fashion)."

« Nous construirons un homme nouveau issu de l'école légionnaire. De hauts remparts de vertu le sépareront du reste du monde. Il restera à l'abri des souffles pernicieux de la lâcheté, de la corruption et des basses passions, qui tuent tant les individus et étouffent les nations. »

« La terre est la base, le support de la vie d'une nation. La nation, comme un arbre, a ses racines enfoncées dans la terre du pays, d'où elle tire les substances nécessaires à sa vie. Il n'existe pas de peuple qui puisse vivre sans terre, comme il n'existe pas d'arbre qui puisse vivre suspendu en l'air. Dieu a fait des lois qui règlent la vie des peuples : la loi du territoire en est une. Dieu a fixé à chaque peuple un territoire déterminé afin qu'il puisse y vivre, croître, s'y développer et s'y créer sa civilisation originale. »

« Les foules ont parfois un contact passager, une minute de vision avec le peuple du passé et ses morts. Elles ressentent alors l'instinct de la grandeur de la Nation. Et ce contact est si fort, les remuant comme un tremblement de terre, que les foules, bouleversées, pleurent. »

« Au-delà de la nation, nous reconnaissons des principes éternels et immuables, au nom desquels on doit être prêt à combattre, à mourir et à tout subordonner, avec au moins la même détermination qu'au nom de notre droit de vivre et de défendre notre vie. La vérité et l'honneur, par exemple, sont des principes métaphysiques que nous mettons plus haut que notre nation elle-même. »

« Par notre action hardie, nous rompons avec la mentalité qui domine ce siècle. Nous tuons en nous-mêmes un monde pour en construire un autre, un monde plus élevé atteignant aux cieux. Le règne absolu de la matière est brisé pour être remplacé par celui de l'esprit et des valeurs morales. Nous ne nions pas et ne nierons pas le rôle et la nécessité de la matière dans le monde, mais nous nions et nierons toujours son droit à la prééminence. »

« Ce pays meurt d'un manque d'hommes, pas d'un manque de programmes. [...] Ce n'est pas des programmes que nous devons avons, mais des hommes, des hommes nouveaux. »

« A la place de l'homme faible et abattu qui plie à chaque brise, un homme qui est bien trop commun dans la politique et dans d'autres domaines, nous devons créer pour cette nation un homme qui ne plie pas, qui soit inflexible. »

« Il ne suffit pas de lutter pour vaincre, mais il faut apporter, soutenir un esprit permanent de sacrifice au service de la nation, il faut se rappeler qu'à l'idée d'élite est attachée l'idée de sacrifice, de pauvreté, de vie stricte, et que là où l'idée de sacrifice prend fin, l'élite disparaît. »

« Il existe, parmi tous ceux qui servent leur peuple dans les diverses parties du monde, un lien de sympathie, de même qu'il existe un tel lien parmi ceux qui travaillent à la destruction des peuples. »

Quotes about Corneliu Zelea Codreanu

"There was suddenly a hush in the crowd. A tall, darkly handsome man dressed in the white costume of a Rumanian peasant rode into the yard on a white horse. He halted close to me, and I could see nothing monstrous or evil in him. On the contrary. His childlike, sincere smile radiated over the miserable crowd, and he seemed to be with it yet mysteriously apart from it. Charisma is an inadequate word to define the strange force that emanated from this man. He was more aptly simply part of the forests, of the mountains, of the storms on the snow-covered peaks of the Carpathians, and of the lakes and rivers. And so he stood amid the crowd, silently. He had no need to speak. His silence was eloquent; it seemed to be stronger than we, stronger than the order of the prefect who denied him speech. An old, whitehaired peasant woman made the sign of the cross on her breast and whispered to us, "The emissary of the Archangel Michael!" Then the sad little church bell began to toll, and the service which invariably preceded Legionary meetings began. Deep impressions created in the soul of a child die hard. In more than a quarter of a century I have never forgotten my meeting with Corneliu Zelea Codreanu."

"In the fight against the communism in history, only Codreanu didn't give up. He was a new kind of Jesus."

"Through a group of Legionaries who part comes towards us a young, tall, slender man, with an uncommon expression of nobleness, frankness and energy imprinted on his face : azure grey eyes, open forehead, genuine Roman-Aryan type : and, mixed with virile traits, something contemplative, mystical in the expression. This is Corneliu Codreanu, the leader and founder of the Romanian 'Iron Guard', the one who is called 'assassin', 'Hitler's henchman', 'anarchist conspirator', by the world press, because, since 1919, he has been challenging Israel, and the forces which are more or less in cahoots with it, at work in the Romanian national life."

"There is no doubt, that in this world, there are all sorts of people who look nice, but are empty inside; who do not feel either moral or spiritual aspirations in addition to the physical gifts with which nature blessed them ... But Corneliu Codreanu, his magnificient physique corresponds to an exceptional inner wholeness. Exclamations of admiration from men left him indifferent. Praise angered him. He had only a fighter's greatness and the ambition of great reformers... The characteristic of his soul was goodness. If you want to penetrate the initial motive which prompted Corneliu Codreanu to throw in a fight so hard and almost desperate, the best answer is that he did it out of compassion for suffering people. His heart bled with thousands of injuries to see the misery in which peasants and workers struggled. His love for the people - unlimited! He was sensitive to any suffering the working masses endured. He had a cult for the humble, and showed an infinite attention to their aspirations and their hopes. The smallest window, the most trivial complaint, were examined with the same seriousness with which he addressed grave political problems."

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